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Test Völkl The Grizzly 2010
15 tests Völkl The Grizzly.
Donnez-nous votre avis !Note moyenne : 9,1/10
Le ski polyvalent
Profil du testeur :
40 ans | 1,75m | 93kg | Confirmé / expert | Saint-Ismier
Taille testée : 163
Conditions du test : Durée : 2 heures | Météo : Neige | Neige : 2 cm de fraîche
Taille testée : 163
Conditions du test : Durée : 2 heures | Météo : Neige | Neige : 2 cm de fraîche
Un ski facile, qui permet de tourner court en 179 (testé en 179 et en 184), avec des changements de carre super rapide pour un ski de cette largeur.
Un vrai plaisir, on accélère, il accroche...on accélère encore, il accroche toujours…
La seule limite, c'est le bas de la piste qui approche. Moins physique que le Crusade (autre ski accrocheur et qui tourne facile) testé ce weekend, il met en confiance. Un ski qui permet de skier tranquille ou d'attaquer en grandes courbes.
Si ce ski marche en hors piste, dans la trafolle ou la poudre, alors ce serait Le ski polyvalent. A suivre...
Un vrai plaisir, on accélère, il accroche...on accélère encore, il accroche toujours…
La seule limite, c'est le bas de la piste qui approche. Moins physique que le Crusade (autre ski accrocheur et qui tourne facile) testé ce weekend, il met en confiance. Un ski qui permet de skier tranquille ou d'attaquer en grandes courbes.
Si ce ski marche en hors piste, dans la trafolle ou la poudre, alors ce serait Le ski polyvalent. A suivre...
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Un commentaire
Sur piste :
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Sur du béton, piste vide, c'est un rail, quelle que soit la position (sur les languettes ou bien droit) il accroche.
Le seul truc, c'est qu'il faut anticiper l'arrêt: c'est pas un ski qui se met en dérapage facilement.
Si on a les cuisses, et pas peur des grosses accélérations, c'est vraiment génial.
Dans la peuf:
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Testé dans 40 cm de peuf, c'est limite. J'ai plusieurs fois plongé et enfoncé une spatule.
Dans de la neige moins profonde, ou de la neige de printemps, ils vont très bien à condition de toujours garder le contrôle (parce que très accrocheurs)
Dans la trafolle:
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Ils passent bien, mêmes réglés en mode souple.
Le plus dur, c'est de s'arrêter car ils dérapent pas du tout.
Au final, c'est des skis géniaux pour la piste damnée, la trafolle, avec une limite pour la profonde (89 au patin, pas de miracle)
Le nom est parfaitement justifié. Mieux vaut skier en ours avec une bonne réserve au niveau des cuisses.