Test K2 Pettitor 2013

Avant ces skis, je skiais avec des skis loué depuis tout petit, je me débrouillais bien partout et dans toutes les conditions. Me voilà sur les pistes avec ces mastodontes, la largeur du ski vous donne l'impression d'en avoir 2 même chose sur le poids. Aujourd'hui, ça fait 6 ans que je les ai, j'ai pu les tester en long et en large.

Poow

Première impression ça fait bizarre, mais directement parti dans la grosse poudre, on se laisse guidé par ces skis et vous font flotté comme si l'on surfait sur une vague, c'est magique. On sent qu'ils sont dans leur élément ayant jamais trop freeridé auparavant je me suis vite senti à l'aise. Aujourd'hui encore, je les utilise encore les jours de poudre et je prends toujours autant de plaisir.

Piste

Sur la piste rien de fou par contre, vu la largeur du patin pas de miracle va falloir pencher pour tourner, c'est comme gros 4x4 en ville, on peut y aller, mais c'est pas fait pour ça. Cependant, ils restent cool pour se promener et je prends quand même du plaisir et ils sont stable à haute vitesse.

Freestyle

Niveau Freestyle a oublié à part pour de petit grab, 180 voir 360 mais sinon à 3.9 kg le ski c'est difficile d'envoyer plus gros et les skis n'en feront qu'a leur tête si vous avez pas les cuisses pour les remettre dans le droit chemin.

Rando

Pour la randonnée, c'est encore une fois par leur terrain, j'ai tout de même monté une fixe rando à plateau qui me permet de rejoindre des spot mais avec leur grosse surface de frottement et leur poids préparer vos cuisses !

Qualité & Style

Niveau style, ils sont très beau avec un dessin discret sur le topsheet et une semelle flashi tri-colore qui reprend le dessin du topsheet, j'adore. Je ne comprends pas où est passer le designer de chez k2 en voyant ce qu'ils nous font aujourd'hui. Niveau qualité le topsheet est de bonne qualité même chose pour le ski en général. À noter que le top sheet est chiant à reboucher avec le dessin en trois couleurs.

Je les ride encore dans la poudre avec toujours autant de plaisir, c'est un peu comme une grand mère qui nous fait toujours les mêmes plat qui sont toujours aussi bon. Je l'ai changerai le jour où je les casserai.