titomy
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Oliver_64 (11 nov.) disait:

Leo_Lev (11 nov.) disait:

Oliver_64 (11 nov.) disait:

Il y a quelque chose que je ne pige pas là 🤔
Tu nous parle d'un niveau de ski élevé voir Jupitérien et en même temps de deux semaines de ski par an..😳
De toute façon, vous pouvez voir mon niveau de ski dans les vidéos que j'ai envoyées. Je fais du ski depuis l'âge de 3 ans, avec un niveau différent chaque année. Ces deux dernières années, quand je vivais au Kazakhstan juste à côté de la station de ski, j'avais entre 30 et 50 jours de ski pur par an.

Quelle vidéo ?
J'ai parcouru l'ensemble de ton topic mais je n'arrive pas à ta vidéo

drive.google.com
Leo_Lev
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Oui, je comprends que les rencontres en personne sont sans aucun doute plus fructueuses (c’est d'ailleurs de cette manière que j’ai trouvé presque toutes les personnes au Kazakhstan), mais il y a ici le problème de la barrière linguistique et du petit nombre de personnes d'un niveau adéquat que je vois. Et finalement, je n’ai que deux semaines dans cette station, et il est assez difficile de trouver les cinq personnes que je vois parfois, en train de monter ou de skier, les aborder et leur expliquer à l'aide d'un traducteur ce que j’attends d’eux.

P.S. Voici le lien vers Google Drive –htt ps://drive.google.com/drive/u/1/folders/1Eg7UuQXRbmdx1BXE4NoFi8EJsFa4c-rk il suffit de supprimer l’espace au début pour qu'il fonctionne. Il y a une vidéo du FWQ3 (avec une descente, disons, peu impressionnante), un couloir que j’ai descendu il y a longtemps, ainsi que quelques récentes aventures. Poster cela directement ici pose problème, car je n’ai pas trouvé d’hébergeur vidéo permettant de télécharger de si gros fichiers et de créer un lien vers eux...
Juste ici
Oliver_64
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Thanks 😉
Leo_Lev
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Tchak-Tchak (11 nov.) disait:

Le bon sens devrait te dire qu'un ski qui dérape vers le bas sur une pente raide en neige dure, c'est vraiment pas une bonne idée pourtant :D
Tu es adulte, tu es libre de tes choix :)
Eh bien, c'est justement ça, pour la neige molle, il vaut mieux laisser plus de peau, tout comme pour la neige dure. Et d'ailleurs, même en poudreuse, il y a des zones soufflées, littéralement lissées par le vent jusqu'à la glace. Mais bon, tant pis, je vais probablement céder à l'opinion publique et couper la peau comme d'habitude.
Oliver_64
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Si tu glisses en arrière c'est un problème de technique avant tout (angle, position hanches/pieds, inclinaison ski,..etc). C'est subtil !
Gardes bien les carres libres pour le dur 🙏

Je fais impasse du running gag avec les peaux montées à l'envers 🙃
Leo_Lev
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Oliver_64 (11 nov.) disait:

Si tu glisses en arrière c'est un problème de technique avant tout (angle, position hanches/pieds, inclinaison ski,..etc). C'est subtil !
Gardes bien les carres libres pour le dur 🙏

Je fais impasse du running gag avec les peaux montées à l'envers 🙃
Peu importe en général, car je viens juste de finir de couper les peaux, mais quand même, lorsque vous êtes sur de la neige dure avec une forte pente, la peau ne touche pas la neige. Seul le carre et une petite partie du ski sont en contact. Bien sûr, quand la peau ne touche pas la neige, le ski glisse vers l'arrière. J’ai du mal à imaginer comment corriger cela avec la technique… À moins que mes os disparaissent soudainement et que je puisse placer ma jambe à l’angle souhaité… 🤣. Et puis, sur ce type de neige, il est clairement plus efficace de mettre les skis sur le sac et de continuer à pied.
Hellsass
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Y a une nouveauté, sans doute bientôt disponible, mais très cher, et ça s'appellerait des "couteaux"
Oliver_64
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Peu importe en effet..😁
Bref, bon ski ⛷️
titomy
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Leo_Lev (11 nov.) disait:

ak (11 nov.) disait:

Ouais, et si possible avant de faire des trucs qui sortent un peu de l’ordinaire. Je veux savoir comment réagira mon compagnon en cas de coup de stress
Puis-je considérer cela comme le premier message sur le sujet, ou bien on se moque encore de moi?

La confiance dans des situations dangereuses mérite une solidarité assez spéciale. Si ton coéquipier manifeste la moindre faiblesse, tu peux oublier. Skier en groupe reste un engagement solide où le niveau doit rester équivalent.
Message modifié 1 fois. Dernière modification par titomy, 12/11/2024 - 01:31
Leo_Lev
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titomy (12 nov.) disait:

Leo_Lev (11 nov.) disait:

ak (11 nov.) disait:

Ouais, et si possible avant de faire des trucs qui sortent un peu de l’ordinaire. Je veux savoir comment réagira mon compagnon en cas de coup de stress
Puis-je considérer cela comme le premier message sur le sujet, ou bien on se moque encore de moi?

La confiance dans des situations dangereuses mérite une solidarité assez spéciale. Si ton coéquipier manifeste la moindre faiblesse, tu peux oublier. Skier en groupe reste un engagement solide où le niveau doit rester équivalent.
Soit je n'ai pas bien compris ce que vous avez écrit, soit nos opinions divergent catégoriquement. En plus des dizaines de randonnées et des mois que j'ai passés en montagne, j'ai aussi guidé des groupes en montagne (je parle ici de randonnées estivales). Le groupe avance presque toujours au rythme du membre le plus lent. Si quelqu'un est fatigué ou a commis une erreur, c'est l'occasion de l'aider et de lui expliquer ce qu'il a mal fait, et surtout, comment il aurait dû faire. Les points importants sont d'ailleurs discutés et répétés avant la randonnée (ou la traversée de la ligne). La faiblesse entraîne l'aide des autres membres, et ensuite chacun décide s'il veut continuer à marcher avec cette personne. Bref, je doute de pouvoir bien expliquer cela, je n'ai jamais été particulièrement éloquent, mais selon votre logique, dans quelques générations, il n'y aura plus personne avec un niveau suffisant. Bon sang, si mon coéquipier dit après six heures d'ascension : "Non, mec, désolé, j'ai peur/ça me semble trop dangereux/je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée", je dirai : "D'accord, retournons sans problème" et j'en tiendrai compte. Oui, bien sûr, un certain niveau de compétence de base est nécessaire (au moins ce qui est requis pour survivre), mais une erreur ne signifie pas une exclusion immédiate du groupe, du moins chez moi. Quant à un niveau identique, je trouve même difficile de dire quoi que ce soit là-dessus. Il n'y a pas de personnes avec un niveau de compétence identique. Certains sont meilleurs, d'autres moins, et c'est normal.
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Tout dépend du risque encouru. Si tu te retrouves sur une montagne dangeureuse, tes exigences seront bien plus accrues.
Message modifié 1 fois. Dernière modification par titomy, 12/11/2024 - 02:24
ak
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Leo_Lev (12 nov.) disait:

titomy (12 nov.) disait:

Leo_Lev (11 nov.) disait:

ak (11 nov.) disait:

Ouais, et si possible avant de faire des trucs qui sortent un peu de l’ordinaire. Je veux savoir comment réagira mon compagnon en cas de coup de stress
Puis-je considérer cela comme le premier message sur le sujet, ou bien on se moque encore de moi?

La confiance dans des situations dangereuses mérite une solidarité assez spéciale. Si ton coéquipier manifeste la moindre faiblesse, tu peux oublier. Skier en groupe reste un engagement solide où le niveau doit rester équivalent.
Soit je n'ai pas bien compris ce que vous avez écrit, soit nos opinions divergent catégoriquement. En plus des dizaines de randonnées et des mois que j'ai passés en montagne, j'ai aussi guidé des groupes en montagne (je parle ici de randonnées estivales). Le groupe avance presque toujours au rythme du membre le plus lent. Si quelqu'un est fatigué ou a commis une erreur, c'est l'occasion de l'aider et de lui expliquer ce qu'il a mal fait, et surtout, comment il aurait dû faire. Les points importants sont d'ailleurs discutés et répétés avant la randonnée (ou la traversée de la ligne). La faiblesse entraîne l'aide des autres membres, et ensuite chacun décide s'il veut continuer à marcher avec cette personne. Bref, je doute de pouvoir bien expliquer cela, je n'ai jamais été particulièrement éloquent, mais selon votre logique, dans quelques générations, il n'y aura plus personne avec un niveau suffisant. Bon sang, si mon coéquipier dit après six heures d'ascension : "Non, mec, désolé, j'ai peur/ça me semble trop dangereux/je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée", je dirai : "D'accord, retournons sans problème" et j'en tiendrai compte. Oui, bien sûr, un certain niveau de compétence de base est nécessaire (au moins ce qui est requis pour survivre), mais une erreur ne signifie pas une exclusion immédiate du groupe, du moins chez moi. Quant à un niveau identique, je trouve même difficile de dire quoi que ce soit là-dessus. Il n'y a pas de personnes avec un niveau de compétence identique. Certains sont meilleurs, d'autres moins, et c'est normal.



Le: « retournons sans problème » ne me parait pas si évident que ça dans pleins de situations…
marc
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Leo_Lev (11 nov.) disait:

Oliver_64 (11 nov.) disait:

Si tu glisses en arrière c'est un problème de technique avant tout (angle, position hanches/pieds, inclinaison ski,..etc). C'est subtil !
Gardes bien les carres libres pour le dur 🙏

Je fais impasse du running gag avec les peaux montées à l'envers 🙃
Peu importe en général, car je viens juste de finir de couper les peaux, mais quand même, lorsque vous êtes sur de la neige dure avec une forte pente, la peau ne touche pas la neige. Seul le carre et une petite partie du ski sont en contact. Bien sûr, quand la peau ne touche pas la neige, le ski glisse vers l'arrière. J’ai du mal à imaginer comment corriger cela avec la technique… À moins que mes os disparaissent soudainement et que je puisse placer ma jambe à l’angle souhaité… 🤣. Et puis, sur ce type de neige, il est clairement plus efficace de mettre les skis sur le sac et de continuer à pied.


Est ce que tu serais capable de descendre une pente raide en neige dure ou gelée de manière controlée et en sécurité si ton ski n'avait pas de carres ?

La réponse est clairement non pour tout le monde.

Si tu recouvres les carres avec les peaux c'est comme si tu n'avais plus de carres.
Vu qu'elles sont recouvertes par les peaux tu ne peux plus les faire mordre la neige, résultat tu dévisses et tu te retrouves en bas de la pente.

Si c'est vraiment dur les couteaux sont très utiles.

Et si c'est raide tout du long, sur du béton qui porte à pied, alors les crampons sont un bien meilleur choix, c'est bien plus sécuritaire et moins fatiguant.