Moi, plus j'avance moins je me prends la tête finalement... Quand je pense à la pression alimentaire que je me mise pour mon premier gros objectif (Saintexpress 2014), le nombre de renard que j'ai posé avant et pendant n'était finalement du qu'a mon stress
Il faut se connaître et connaître les réactions des ses boyaux.
Donc, la semaine d'avant
pas de nouveauté alimentaire, je reste en terrain conquis: j'évite les trucs qui pourrait être lourd/gazeux à digérer (choux, légumineuses, etc.), l'alcool, les plats cuisinés/fast food, la viande rouge, je lève le pied sur le café aussi et mollo sur le sucre ajouté (sucre de coco et ou miel a la place si possible)
Puis je charge avec du basique: pâtes complètes, riz basmati, quinoa, sardines/thon à l'huile d'olives, huile de noix.
Pour moi l'entraînement c'est aussi être capable de courir à jeun, après un repas un peu lourd, sans boisson, etc. Pas forcément autant poussé que lors d'une course mais quand même faut aussi préparer le corps de ce côté là. Quand je pars en sortie longue, je ne me suis toute façon pas pris la tête avec un protocole alimentaire non plus.
Pour le
pendant, je pense que l'on est encore plus différent... entre le stress, la fatigue, notre métabolisme, l'objectif chrono, etc. faut vraiment
essayer des trucs. Moi pour l'instant je m'en sors super bien: je tourne à l'eau du robinet, une compote pour 1h, une barre céréale pour 2h, sur les Allobroges, j'ai pas eu besoin de plus entre les ravito.
Si pas de ravito c'est des noix (cajou, Brésil, Amazonie, noisette, amande, etc.) et du saucisson en plus (pour les Allobroges, je n'y ai pas touché ).
inscrit le 07/08/14
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