ak (29 avril 2014) disait:
FWQ1STAR (29 avril 2014) disait:
Il y a une vraie solution, c'est la prévention
c'est ce qui est proposé... mettre les 100 000 000 000 de la répression, dans la prévention...
pour le reste, je vomi un coup et je te laisse.
visiblement t'as strictement rien compris. bien sur que c'est un reportage pro légalisation... avec des personnes qui travaillent depuis plus de 30 ans dans les addictions... qui sont sur le terrain tous les jours... et oui, si ont propose ça, c'est qu'on y croit dur comme fer! parce que le toxico qui a "choisi" de choper le sida... il vit au milieu de 60'000'000 de personnes...
mais j'abandonne avec toi...
Bonjour,
En effet, j'avais mal compris. Avec ton post, je comprends qu'en fait tu ne cherches pas forcément l'efficacité et le fait de diminuer la consommation de drogue, tu cherches juste à imposer et mettre en place une idéologie, ton idéologie.
Alors en effet, si le but est de présenter des réportages pro-légalisation, et surtout de n'écouter que les arguments qui vont dans ton sens, alors effectivement la discussion est totalement vaine.
Si on ajoute à ça ceux qui insultent parce qu'on propose un projet de société plus qu'un cataplasme sur une jambe de bois ...
Au final, je retiens ta position idéologique que l'on peut résumer ainsi: l'échec de la guerre contre la drogue n'est pas évident puisque pendant qu'on interdit, par le fait, on ne peut pas savoir si une légalisation serait plus efficace. En reprenant tes propos, il faudrait au moins "essayer pour voir et savoir". Tu es donc prêt à prendre le risque d'une banalisation et donc peut-être d'une explosion de la consommation pour "essayer" et pour appliquer ta solution idéologique.
Je respecte ta position, tu as le droit de porter une idéologie, je regrette que tu ne supportes pas une quelconque contradiction et n'ai pas la démarche de publier ausi des arguments qui ne suivent pas ton sens.
atlantico.fr
Dan Véléa
Le Docteur Dan Véléa est psychiatre addictologue à Paris. (il doit savoir de quoi il parle):
L'Espagne et les Pays-Bas sont deux nations différentes, appartenant à deux cultures bien distinctes.
A partir de là, on peut effectivement mettre en cause un facteur sociologique. Le caractère latin est connu pour ses penchants festifs et parfois excessifs, voire extrêmes. Néanmoins, tout ne se résume pas à un simple problème d'identité culturelle.
Il ne faut pas oublier que les Pays-Bas ont commencé à tolérer le cannabis bien plus tôt, en 1976. Les débuts n'étaient pas ce que sont les temps actuels : les Pays-Bas ont été confrontés à une terrible et violente hausse de la consommation. Les junkies erraient dans les rues tandis que les gens consommaient sans réfléchir. Un important travail de réflexion et de prévention a été réalisé avec l'ensemble du corps médical, afin de sensibiliser au mieux les usagers. De plus, les Hollandais sont soumis à une consommation très réglementée.
Comment la consommation évoluerait en France, en se basant sur ce raisonnement ?
Prenons appui sur une loi toute simple : celle énoncée par Sully Ledermann, qui concerne avant tout l'alcool, mais peut s'appliquer au cannabis. Cette loi explique un principe simple :
"plus l'accessibilité à un produit et un comportement est grande, plus grands seront les risques et les excès." En partant de ce principe, on peut logiquement déduire que la légalisation ou la dépénalisation encourageraient la consommation.
Lire la Page 2 aussi.
lexpress.fr
Légaliser ou dépénaliser le cannabis ne serait donc pas un bon moyen de mettre fin au trafic et de tarir une source de revenus du crime organisé ?
Non.
Prenons encore l'exemple des Pays-Bas. La dépénalisation de la consommation du cannabis n'y a pas fait disparaître le crime organisé. Celui-ci s'est simplement adapté, et a réussi à prendre pied dans les coffee shops, tout en gardant la main sur la culture du cannabis. On peut faire un parallèle avec la prostitution: en Allemagne, où les maisons closes ont une activité légale, elles sont pourtant sous la coupe des mafias.
Autre exemple avec l'alcool: sa vente et la consommation sont légales, ce qui n'empêche pas les trafics.
Vous dites qu'
après 20 ans de hausse continue, la consommation de drogues illicites connait un léger tassement, voire une baisse. Comment expliquer ce phénomène? La dépénalisation du cannabis peut-elle entraîner une hausse de la consommation?
Je ne sais pas si la dépénalisation peut entrainer ou non une hausse de la consommation, mais on peut observer que les modes de consommation changent. On note qu'au Royaume-Uni, où les pratiques sont souvent en avance sur le reste de l'Europe, les consommateurs délaissent le cannabis et la cocaïne, qui ont une mauvaise image, notamment chez les jeunes. Les vidéos de stars "défoncées" qui circulent sur les sites internets et les smartphones n'y sont sans doute pas pour rien.
En conséquence,
on note une baisse de la consommation de ces drogues illicites, au profit des drogues "licites" que sont certains médicaments détournés de leur usage thérapeutique.
Déjà, aux Etats-Unis, le trafic de médicaments est de moins en moins artisanal, et de mieux en mieux organisé, notamment par les mafias italo-américaines.
lesoir.be
Et des tas d'autres articles ..
Alors insulter les gens parce qu'ils ont un avis différent du votre, c'est une manière de faire, il ne vous reste plus qu'a affuter les insultes, car il y a beaucoup de monde "en face"
inscrit le 06/02/03
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