Bott. (31 mai 2012) disait:
Ensuite, la question doit se poser autrement. Tu sembles dire que c'est l'industrie qui a effectué un lavage de cerveau du consommateur. Si le marketing et la publicités sont des armes redoutables pour faire consommer toujours plus, toujours mieux, j'ai deux questions :
1. Est ce que tu fais ou non partie des gens qui consomment du business du divertissement
2. Est ce que dans les tribues primitives, il n'existe pas une organisation, des habitudes, des coutumes qui font qu'à un moment, la vie est rythmée par autre chose que pécher, chasser, se nourir, se reproduire, dormir? Est ce que la nature humaine n'est pas ainsi faite?
Pour le 1, la réponse est bien évidemment oui ! Mais je vais aussi te répondre que je ne peux avoir envie que de ce qui existe.
Par exemple, je n'ai jamais eu envie de coucher avec une fille à six seins. Si il s'avèrait qu'elle se mettent à apparaître sur le marché, peut-être que cela m'érectionnerait.
En réalité, selon moi, la nature humaine est d'avoir envie de tout ce qui est disponible. Pour continuer sur l'exemple cul, Gengis Khan ne s'est jamais posé la question de la légitimité du viol de la femme de l'ennemi, l'offre était là, nul loi ne l'interdisait, hop un petit coup vite fait.
Donc pour ton petit deux, je dirai que l'homme veut tout ce qu'il voit ou tout ce dont il connait l'existence. C'est à la loi de réfréner sa volonté de s'accaparer ce qui passe à portée de sa main.
droogies (31 mai 2012) disait:
Avant de balancer ce genre d'affirmation définitive,
faut définir ce qui tient du travail et du divertissement.
le développement des sociétés modernes va de paire avec l'esclavagisme?
Le travail, c'est l'activité nécessaire à ta vie, le divertissement c'est une activité non nécessaire à ta survie.
Après pour l'esclavagisme, je ne comprends pas ce que tu veux dire.
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