Test Rossignol Sin 7 2016

64 tests Rossignol Sin 7.

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Note moyenne : 7,5/10
caparene

A trop en vouloir partout, on est bon nulle part.

Rossignol Sin 7
Avis sélectionné
Profil du testeur : 56 ans | 1,74m | 80kg | Expert | Paris
Taille testée : 180
Acheté : 350€ en ligne
Conditions du test : Toutes conditions (croutée, piste velours, 50 de fraîche,...), 17 jours par an sur 2 ans.

Points forts

Assez légers, portage facilité.

Points faibles

Moyen dans tous les compartiments.

Paire destinée à tempérer l'ardeur de Scott Stunt (111 au patin en 174), la promesse de ces Sin 7 était de parvenir au même plaisir, mais sans l'effort. Pari perdu.

Faciles, presque patauds en vitesse de croisière, les skis s'avèrent instables dès les premières accélérations en piste sauf extrême vigilance. La croutée impose sa loi et, malgré un patin conséquent, les skis peinent à se piloter "en surface". Quant à la fraîche (si, si, nous avons de quoi depuis 4 ans...), elle se laisse sillonnée sans grand enthousiasme sauf si l'attaque est franche.

Finalement, par rapport à la cible visée (les skieurs assez bons à bons), le programme de ces skis s'avère inversé.

La consigne de synthèse : rester faible sur piste, ne pas mollir hors piste.

Cerise cosmétique sur l'échec technique : la déco rebutante que seuls les fidèles de la marque excusent ! Quels que soient votre niveau de ski et votre nombre de jours de forfait par an, à moins de dénicher cette paire à moins de 300 € fixations comprises, vous serez décu !

Pour qui ?

Grands calmes et doux rêveurs qui passent plus de temps à admirer le paysage qu'à chercher à le dominer.
5/10
Accessibilité & confort
Performance grandes courbes
Performance petites courbes
Performance trafole
Aptitudes piste
Aptitudes freestyle

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