Le quatar, les emirats, l'arabie saoudite (pas de majuscule pour les despotes) les réclament.
L'actualité du ski alpin
francbord (15 févr.) disait:
Le quatar, les emirats, l'arabie saoudite (pas de majuscule pour les despotes) les réclament.
avant, ils se seront déjà entrainés à climatiser des stades de foot de 40 000 places.... Je ne peux pas croire que nos amis canadiens se désintéressent du ski alpin et qu'ils n'ont pas regarder aujourd'hui Mlle SHIFFRIN gagner le SG
Paradoxalement, seules les compétitions sous hangar semblent avoir leur faveurs avec rediffusions fréquentes, commentaires..
je n'ai pu avoir aucun direct d'alpin et une fraction de la descente et du sg féminin , et quand je dis une fraction, c'est à peine le premier tiers du parcours, et de un seul concurrent, que ce soit sur les chaines francophones ou anglophones. Quant aux discussions dans la station et l'intérêt pour le ski alpin aux jeux, c'est assez réduit, bien que les écrans à disposition soient bien alimentés par d'autres disciplines.
je n'ai pu avoir aucun direct d'alpin et une fraction de la descente et du sg féminin , et quand je dis une fraction, c'est à peine le premier tiers du parcours, et de un seul concurrent, que ce soit sur les chaines francophones ou anglophones. Quant aux discussions dans la station et l'intérêt pour le ski alpin aux jeux, c'est assez réduit, bien que les écrans à disposition soient bien alimentés par d'autres disciplines.
LeKeke (15 févr.) disait:
ak (15 févr.) disait:
on en profite pour féliciter pierre vaultier
Ah bon !? Je ne savais pas qu'il était bon aussi en patinette one-foot (sur le long plat du haut) et dans les bosses toutes gelées !
eh oui
rares sont les sportifs en carrière à venir se frotter là haut 
ben lui, il a osé... et avec brio! 
Je pense qu'il y a un "souci" avec la diffusion de l'alpin, en particulier les épreuves de vitesse. Je pense que techniquement assurer sa diffusion ne doit pas être facile (beaucoup de caméras nécessaires) et, en plus, cela se fait en extérieur et la plupart des journalistes n'ont pas envie de se geler dehors. Ils vont au plus simple et diffusent ce qui est facile à diffuser pour eux.
C'est surtout une question de gros sous, maintenant que les villes à la montagne sont construites, plus beaucoup d'intérêt pour les financiers de tous poils de se fatiguer. Cela va peut être changer si les chinois découvrent l'alpin.
Shiffrin zappe le Super-G
Le programme infernal auquel les athlètes sont soumis en raison des nombreuses courses différées a motivé Mikaela Shiffrin, sacrée championne olympique de géant aujourd’hui, à renoncer au Super-G de samedi. La skieuse de Vail entend se concentrer totalement sur le slalom de demain où elle défendra le titre conquis il y a quatre ans à Sotchi. En s’alignant en Super-G, Shiffrin aurait dû disputer trois courses en trois jours. Elle souhaite s’accorder un jour «off» avant de remettre l’ouvrage sur le métier en descente et en combiné.
TooSki
Le programme infernal auquel les athlètes sont soumis en raison des nombreuses courses différées a motivé Mikaela Shiffrin, sacrée championne olympique de géant aujourd’hui, à renoncer au Super-G de samedi. La skieuse de Vail entend se concentrer totalement sur le slalom de demain où elle défendra le titre conquis il y a quatre ans à Sotchi. En s’alignant en Super-G, Shiffrin aurait dû disputer trois courses en trois jours. Elle souhaite s’accorder un jour «off» avant de remettre l’ouvrage sur le métier en descente et en combiné.
TooSki
CITWC : les jeunes Romandes poursuivent sur leur lancée
La station saint-galloise de Pizol près de Bad Ragaz accueille ces jours-ci une étape de la Arnold Lunn World Cup (CITWC), avec deux géants au programme. A l’instar de l’étape de Megève du week-end dernier, plusieurs jeunes skieuses romandes ont enregistré de bons résultats lors de la première épreuve.
Chez les filles, si le podium a été trusté par des représentantes des Grisons, Elise Lattion du SC Reppaz Gd-St-Bernard a fini à une magnifique 4e place. Un peu plus loin, Marine Fatton du SC Heremencia a terminé 11e, Anna Sofie Dörig du SC Brigerbeg 13e et Céline Sarrasin du SC Val-Ferret 14e.
Le classement provisoire de la discipline est conduit par un trio ex-aequo, suivi de Clara Masserey du SC Arpettaz (4e à 8 points) et de la Verbiérane Zara Maillard (5e à 40 points), qui ne se sont pas alignées aujourd’hui. On trouve encore au 7e rang Mathilde Dugast du SC Arpettaz (éliminée aujourd’hui en 1e manche) et au 8e Norina Mooser du SC Edelweiss Jaun.
TooSki
La station saint-galloise de Pizol près de Bad Ragaz accueille ces jours-ci une étape de la Arnold Lunn World Cup (CITWC), avec deux géants au programme. A l’instar de l’étape de Megève du week-end dernier, plusieurs jeunes skieuses romandes ont enregistré de bons résultats lors de la première épreuve.
Chez les filles, si le podium a été trusté par des représentantes des Grisons, Elise Lattion du SC Reppaz Gd-St-Bernard a fini à une magnifique 4e place. Un peu plus loin, Marine Fatton du SC Heremencia a terminé 11e, Anna Sofie Dörig du SC Brigerbeg 13e et Céline Sarrasin du SC Val-Ferret 14e.
Le classement provisoire de la discipline est conduit par un trio ex-aequo, suivi de Clara Masserey du SC Arpettaz (4e à 8 points) et de la Verbiérane Zara Maillard (5e à 40 points), qui ne se sont pas alignées aujourd’hui. On trouve encore au 7e rang Mathilde Dugast du SC Arpettaz (éliminée aujourd’hui en 1e manche) et au 8e Norina Mooser du SC Edelweiss Jaun.
TooSki
JO-2018 / Ski alpin – Estelle Alphand : "Après la première manche c’était cuit"
Après une première manche ratée sur le géant des Jeux olympiques de PyeongChang remporté par Mikaela Shiffrin, Estelle Alphand a renversé la tendance sur la deuxième manche pour signer le meilleur temps, un centième devant Tessa Worley. La Haut-Alpine, qui porte les couleurs de la Suède, a terminé 16e au final.
Vous avez réussi à faire une meilleure 2e manche sur ce géant olympique après une première manquée ?
"Oui, c’était bien meilleur. Quand on ne s’arrête pas ça va bien mieux ! Je savais qu’après la première manche (26e) c’était cuit. J’ai juste skié libérée en essayant de donner le meilleur. Ça a marché, c’est cool. "
Que s’est-il passé dans la première manche ?
"Je fais un petit intérieur dans le mur et après je perds un peu la ligne. Et sur un mouvement de terrain je décroche, je suis limite de rater la porte. C’est dommage mais ça reste les Jeux, il faut jouer."
Dans quel état d’esprit étiez-vous pour vos premiers JO ?
"Plutôt bien. J’ai essayé de prendre ça comme une coupe du monde normal, il y a les mêmes filles au départ et puis la piste est super belle. Il n’y avait qu’à se faire plaisir. Mais c’est vrai que ce premier départ on l’a attendu depuis quelques jours, ça fait du bien de courir."
Vous serez aussi au départ du slalom ce vendredi. Avec quelles ambitions ?
"Je ne me suis pas fixé d’objectif de résultat. Je vais essayer de donner le meilleur de moi-même. On verra où ça mène."
TooSki
Après une première manche ratée sur le géant des Jeux olympiques de PyeongChang remporté par Mikaela Shiffrin, Estelle Alphand a renversé la tendance sur la deuxième manche pour signer le meilleur temps, un centième devant Tessa Worley. La Haut-Alpine, qui porte les couleurs de la Suède, a terminé 16e au final.
Vous avez réussi à faire une meilleure 2e manche sur ce géant olympique après une première manquée ?
"Oui, c’était bien meilleur. Quand on ne s’arrête pas ça va bien mieux ! Je savais qu’après la première manche (26e) c’était cuit. J’ai juste skié libérée en essayant de donner le meilleur. Ça a marché, c’est cool. "
Que s’est-il passé dans la première manche ?
"Je fais un petit intérieur dans le mur et après je perds un peu la ligne. Et sur un mouvement de terrain je décroche, je suis limite de rater la porte. C’est dommage mais ça reste les Jeux, il faut jouer."
Dans quel état d’esprit étiez-vous pour vos premiers JO ?
"Plutôt bien. J’ai essayé de prendre ça comme une coupe du monde normal, il y a les mêmes filles au départ et puis la piste est super belle. Il n’y avait qu’à se faire plaisir. Mais c’est vrai que ce premier départ on l’a attendu depuis quelques jours, ça fait du bien de courir."
Vous serez aussi au départ du slalom ce vendredi. Avec quelles ambitions ?
"Je ne me suis pas fixé d’objectif de résultat. Je vais essayer de donner le meilleur de moi-même. On verra où ça mène."
TooSki
Blacksite (15 févr.) disait:
JO-2018 / Ski alpin – Estelle Alphand : Quand on ne s’arrête pas ça va bien mieux !
C'est pas faux
Chapeau bas pour la 2ème manche : effectivement meilleur temps, la seule à passer sous les 1:09
Et elle met 17 secondes à la turque Ozlem CARIKCIOGLU
data.fis-ski.com
Message modifié 2 fois. Dernière modification par squier, 15/02/2018 - 20:20
C'est en même temps dommage, on regrette d'autant plus sa mauvaise première manche.
Vous imaginez l'affaire si elle était montée sur le podium des JO ? Quelques mois seulement après avoir été au fond du trou.
En tout cas une chose est sûre, elle est vraiment très rapide.
Vous imaginez l'affaire si elle était montée sur le podium des JO ? Quelques mois seulement après avoir été au fond du trou.
En tout cas une chose est sûre, elle est vraiment très rapide.
Wendy Holdener en argent elle aussi !
Le slalom olympique de Yongpyong n’a pas vraiment obéi au scénario auquel tout le monde s’attendait, ou presque. En effet, à l’issue de la première manche, c’est Wendy Holdener qui pointait en tête, avec 20 centièmes d’avance sur Frida Hansdotter et 40 sur une autre Suédoise, Anna Swenn Larsson. Et Mikaela Shiffrin? Elle n’était que 4e, diminuée vraisemblablement par le virus qui frappe actuellement certains athlètes en Corée.
L’exploit de la seconde manche est à mettre au crédit de l’Autrichienne Katharina Gallhuber, son chrono extraordinaire lui permettant de gagner 6 rangs au classement final, synonyme de médaille de bronze. Visiblement tendues par l’enjeu, Hansdotter et Holdener ne parvenaient pas à se libérer totalement. Si bien que l’expérimentée Suédoise s’est imposée pour 5 minuscules centièmes. Dommage pour la Schwytzoise, qui n’est passée qu’à un cheveu de la victoire, mais cette splendide médaille d’argent vient d’ores et déjà couronner une saison exceptionnelle.
Quant aux deux autres Suissesses engagées, si elles n’ont guère brillé en première manche, se sont reprises sur le second tracé, Denise Feierabend terminant à une honorable 14e place, deux rangs devant Michelle Gisin.
TooSKi
Le slalom olympique de Yongpyong n’a pas vraiment obéi au scénario auquel tout le monde s’attendait, ou presque. En effet, à l’issue de la première manche, c’est Wendy Holdener qui pointait en tête, avec 20 centièmes d’avance sur Frida Hansdotter et 40 sur une autre Suédoise, Anna Swenn Larsson. Et Mikaela Shiffrin? Elle n’était que 4e, diminuée vraisemblablement par le virus qui frappe actuellement certains athlètes en Corée.
L’exploit de la seconde manche est à mettre au crédit de l’Autrichienne Katharina Gallhuber, son chrono extraordinaire lui permettant de gagner 6 rangs au classement final, synonyme de médaille de bronze. Visiblement tendues par l’enjeu, Hansdotter et Holdener ne parvenaient pas à se libérer totalement. Si bien que l’expérimentée Suédoise s’est imposée pour 5 minuscules centièmes. Dommage pour la Schwytzoise, qui n’est passée qu’à un cheveu de la victoire, mais cette splendide médaille d’argent vient d’ores et déjà couronner une saison exceptionnelle.
Quant aux deux autres Suissesses engagées, si elles n’ont guère brillé en première manche, se sont reprises sur le second tracé, Denise Feierabend terminant à une honorable 14e place, deux rangs devant Michelle Gisin.
TooSKi
JO-2018 / Ski alpin : Frida Hansdotter championne olympique de slalom, Mikaela Shiffrin quatrième
Frida Hansdotter est devenue ce vendredi championne olympique de slalom. A 32 ans, la Suédoise remporte sa première médaille olympique. Elle devance Wendy Holdener, meilleur temps de la première manche, de cinq centièmes et l'Autrichienne Katharina Gallhuber. Comme en première manche, Mikaela Shiffrin n'a pas trouvé la clé pour s'imposer. L'Américaine échoue à la quatrième place, à 0"40.
Grandissime favorite, l’Américaine Mikaela Shiffrin a échoué vendredi dans sa moisson olympique, butant à la quatrième place du slalom des Jeux olympiques de PyeongChang remporté par la Suédoise Frida Hansdotter, devant la Suissesse Wendy Holdener.
Vainqueur du petit globe de cristal de slalom en 2016, Hansdotter, deuxième après la première manche, a devancé de seulement 5 petits centièmes la Suissesse Wendy Holdener, qui avait terminé en tête du première passage.
À 32 ans, la skieuse de Norberg devient la deuxième Suédoise sacrée dans cette épreuve, après Anja Pärson en 2006.
Il s’agit de son premier titre majeur, après avoir terminé à chaque fois sur le podium du slalom (1 fois 2e, 2 fois 3e) lors des trois derniers Mondiaux.
Le slalom, qui s’est déroulé sous le soleil, avait été annulé mercredi en raison du fort vent qui soufflait sur la piste de Yongpyong.
Au terme d’un magnifique retour, l’Autrichienne Katharina Gallhuber, seulement 9e après la première manche, est venue, grâce à un second passage de feu, priver Shiffrin de la médaille de bronze, pour huit centièmes. La skieuse de 20 ans, vice-championne du monde juniors en 2016, comptait cette saison six tops 10.
C’est la première fois que l’Autrichienne monte sur le podium d’un slalom mondial. "Je suis sans voix, je monte pour la première fois sur un podium d’une grande course et c’est aux Jeux olympiques. Je n’aurais jamais imaginé cela", a confié la jeune Autrichienne.
SkiChrono
Frida Hansdotter est devenue ce vendredi championne olympique de slalom. A 32 ans, la Suédoise remporte sa première médaille olympique. Elle devance Wendy Holdener, meilleur temps de la première manche, de cinq centièmes et l'Autrichienne Katharina Gallhuber. Comme en première manche, Mikaela Shiffrin n'a pas trouvé la clé pour s'imposer. L'Américaine échoue à la quatrième place, à 0"40.
Grandissime favorite, l’Américaine Mikaela Shiffrin a échoué vendredi dans sa moisson olympique, butant à la quatrième place du slalom des Jeux olympiques de PyeongChang remporté par la Suédoise Frida Hansdotter, devant la Suissesse Wendy Holdener.
Vainqueur du petit globe de cristal de slalom en 2016, Hansdotter, deuxième après la première manche, a devancé de seulement 5 petits centièmes la Suissesse Wendy Holdener, qui avait terminé en tête du première passage.
À 32 ans, la skieuse de Norberg devient la deuxième Suédoise sacrée dans cette épreuve, après Anja Pärson en 2006.
Il s’agit de son premier titre majeur, après avoir terminé à chaque fois sur le podium du slalom (1 fois 2e, 2 fois 3e) lors des trois derniers Mondiaux.
Le slalom, qui s’est déroulé sous le soleil, avait été annulé mercredi en raison du fort vent qui soufflait sur la piste de Yongpyong.
Au terme d’un magnifique retour, l’Autrichienne Katharina Gallhuber, seulement 9e après la première manche, est venue, grâce à un second passage de feu, priver Shiffrin de la médaille de bronze, pour huit centièmes. La skieuse de 20 ans, vice-championne du monde juniors en 2016, comptait cette saison six tops 10.
C’est la première fois que l’Autrichienne monte sur le podium d’un slalom mondial. "Je suis sans voix, je monte pour la première fois sur un podium d’une grande course et c’est aux Jeux olympiques. Je n’aurais jamais imaginé cela", a confié la jeune Autrichienne.
SkiChrono
Message modifié 1 fois. Dernière modification par Blacksite, 16/02/2018 - 09:24
vonderberg
Le 16 févr. 2018 - 10:52
ak (16 févr.) disait:
bon, ok, c'est pas tout à fait de l'alpin
C'est pas grave, personnellement je ne t'en veux vraiment pas!
vonderberg
Le 16 févr. 2018 - 10:56
squier (16 févr.) disait:
Mlle SHIFFIN a du manger du chien sans le savoir et son corps n'a pas supporté
27 ans / 31 ans / 35 ans : elle a le temps d'en regagner
C'est sûr qu'elle pourra regagner le titre en slalom à une prochaine olympiade. En attendant, elle élargit et varie sa collection (géant en attendant peut-être d'autres médailles), ce qui n'est pas plus mal que de rester scotcher sur une seule discipline.
vonderberg
Le 16 févr. 2018 - 11:06
Surprise, ce n'est pas un norvégien qui gagne en super-G, mais il y en a quand même un sur le podium :
JEUX OLYMPIQUES JO-2018 / Ski alpin : Blaise Giezendanner quatrième du super-G, Matthias Mayer titré
Au terme d’une course superbe de suspense et d’engagement, Blaise Giezendanner a pris la quatrième place du super-G des Jeux olympiques de PyeongChang. Le titre revient à Matthias Mayer. L’Autrichien, qui s’offre le deuxième titre olympique de sa carrière, devance le Suisse Beat Feuz et le Norvégien Kjetil Jansrud.
À peine avait-il franchi la ligne d'arrivée, qu'il a pointé ses deux index vers le ciel. En direction de David Poisson, décédé tragiquement le 13 novembre dernier lors d’un entraînement à Nakiska au Canada. Blaise Giezendanner a, un instant, cru pouvoir offrir à "Kaillou" une médaille olympique. Et tenir aussi sa revanche, six mois après avoir quitté les Bleus lors du stage estival à La Parva au Chili, un genou en vrac (lésion du ligament latéral internet et rupture opartielle du ligament criosé antérieur). Mais tour à tour, Matthias Mayer puis Beat Feuz venait mettre fin à son rêve. Le skieur de Chamonix échoue finalement à la quatrième place de ce super-G olympique à 0"38 de la tête, et deux dixièmes du podium.
A lire aussi : Blaise Giezendanner, quatrième du super-G : "J’aurais sûrement des regrets ce soir"
Deuxième titre olympique pour Matthias Mayer
Photo AFP
Photo AFP
Car ce vendredi, les maîtres de la vitesse se sont à nouveau illustrés à Jeongseon. Matthias Mayer devient champion olympique du super-G, 20 ans après la médaille d'argent de son père, à Calgary, derrière Franck Piccard. Il met également fin au règne des Norvégiens qui dominaient l’épreuve depuis 2002. Mayer succède à son compatriote Hermann Maier comme dernier vainqueur non-norvégien, à Nagano en 1998.
Mayer, titré en descente à Sotchi en 2014, devient au passage le deuxième skieur à avoir remporté l’or olympique dans les deux épreuves de vitesse, avec le Norvégien Aksel Lund Svindal (5e vendredi), vainqueur de la descente jeudi.
L’Autrichien, incroyable d’engagement sous le grand ciel bleu coréen, devance de 13 centièmes Beat Feuz, qui s’offre sa deuxième médaille olympique après le bronze sur la descente la veille. Kjetil Jansrud monte aussi pour la deuxième fois en deux jours sur le podium, récoltant le bronze après avoir été argenté jeudi.
Adrien Théaux est 15e à 1"32. Maxence Muzaton, sur une piste où il s'était blessé il y a deux ans, signe le 18e temps à 1"64, après une descente de tous les risques. Le skieur de La Plagne (Savoie) devance Brice Roger, 19e à 1"64.
> Les résultats complets
Muzaton : "Pas de regret"
Maxence Muzaton : "Il fallait jouer. Moi en super-G cette année je n’ai pas marqué dans les 30, je n’avais pas de complexe à avoir, il fallait skier libéré. C’était un tracé exigeant, il fallait être malin, moi j’ai essayé de pousser de partout, je ne voulais pas avoir de regret. Je n’en ai pas parce que j’ai essayé. Au départ, j’avais bien envie d’y aller, j’ai suivi la course jusqu’au dossard 20, j’ai vu la course de Blaise, pendant un moment j’y ai bien cru. C’est motivant."
Adrien Théaux : "C’est moyen, même pas bon du tout. C’est mon plus mauvais super-G de la saison. Ça s’explique comme hier, sauf qu’aujourd’hui il n’y avait pas de vent, tant mieux. Je n’ai pas les bons réglages, que ce soit sur mon matériel et sur ma technique. Aujourd’hui, j’avais encore beaucoup d’envie, j’ai essayé de tout donné, comme d’habitude, j’ai essayé de le faire intelligemment, avec un peu de fluidité, mais j’étais beaucoup trop court et je marque trop les appuis. Sur d’autres neiges ça marche très bien mais sur une neige comme ça, ça ne marche pas du tout et le chrono n’a pas du tout aimé."
Brice Roger : "Blaise (Giezendanner) ne passe vraiment pas loin, il a fait un gros run. C’est dommage, la médaille nous aurait fait du bien, mais c’est le jeu. Ce sont ses premiers JO, il apprend. Moi j’ai bien attaqué et puis j’ai fait deux erreurs de trajectoire qui me coûtent très cher. La piste est exigeante, les écarts étaient très serrés. J’étais fatigué après la descente de jeudi (8e), j’ai eu du mal à me remettre sous pression. J’ai tout donné quand même."
Valentine Perazio, à PyeongChang (Corée du Sud)
La stat' qui parle
4
La quatrième place de Blaise Giezendanner dans ce super-G n'est pas seulement la meilleure marque personnelle du Chamoniard. Jamais, depuis la victoire de Franck Piccard aux Jeux 1988 à Calgary, un skieur français ne s'était aussi bien classé dans le super-G olympique! P.Laf.
Patrick Lafayette
A lire aussi
JEUX OLYMPIQUES JO-2018 - Blaise Giezendanner, 4e du super-G : "J’aurai sûrement des regrets ce soir"
Le 16/02/2018 à 04:07
Auteur : V.J.
SkiChrono
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Au terme d’une course superbe de suspense et d’engagement, Blaise Giezendanner a pris la quatrième place du super-G des Jeux olympiques de PyeongChang. Le titre revient à Matthias Mayer. L’Autrichien, qui s’offre le deuxième titre olympique de sa carrière, devance le Suisse Beat Feuz et le Norvégien Kjetil Jansrud.
À peine avait-il franchi la ligne d'arrivée, qu'il a pointé ses deux index vers le ciel. En direction de David Poisson, décédé tragiquement le 13 novembre dernier lors d’un entraînement à Nakiska au Canada. Blaise Giezendanner a, un instant, cru pouvoir offrir à "Kaillou" une médaille olympique. Et tenir aussi sa revanche, six mois après avoir quitté les Bleus lors du stage estival à La Parva au Chili, un genou en vrac (lésion du ligament latéral internet et rupture opartielle du ligament criosé antérieur). Mais tour à tour, Matthias Mayer puis Beat Feuz venait mettre fin à son rêve. Le skieur de Chamonix échoue finalement à la quatrième place de ce super-G olympique à 0"38 de la tête, et deux dixièmes du podium.
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Deuxième titre olympique pour Matthias Mayer
Photo AFP
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Car ce vendredi, les maîtres de la vitesse se sont à nouveau illustrés à Jeongseon. Matthias Mayer devient champion olympique du super-G, 20 ans après la médaille d'argent de son père, à Calgary, derrière Franck Piccard. Il met également fin au règne des Norvégiens qui dominaient l’épreuve depuis 2002. Mayer succède à son compatriote Hermann Maier comme dernier vainqueur non-norvégien, à Nagano en 1998.
Mayer, titré en descente à Sotchi en 2014, devient au passage le deuxième skieur à avoir remporté l’or olympique dans les deux épreuves de vitesse, avec le Norvégien Aksel Lund Svindal (5e vendredi), vainqueur de la descente jeudi.
L’Autrichien, incroyable d’engagement sous le grand ciel bleu coréen, devance de 13 centièmes Beat Feuz, qui s’offre sa deuxième médaille olympique après le bronze sur la descente la veille. Kjetil Jansrud monte aussi pour la deuxième fois en deux jours sur le podium, récoltant le bronze après avoir été argenté jeudi.
Adrien Théaux est 15e à 1"32. Maxence Muzaton, sur une piste où il s'était blessé il y a deux ans, signe le 18e temps à 1"64, après une descente de tous les risques. Le skieur de La Plagne (Savoie) devance Brice Roger, 19e à 1"64.
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Muzaton : "Pas de regret"
Maxence Muzaton : "Il fallait jouer. Moi en super-G cette année je n’ai pas marqué dans les 30, je n’avais pas de complexe à avoir, il fallait skier libéré. C’était un tracé exigeant, il fallait être malin, moi j’ai essayé de pousser de partout, je ne voulais pas avoir de regret. Je n’en ai pas parce que j’ai essayé. Au départ, j’avais bien envie d’y aller, j’ai suivi la course jusqu’au dossard 20, j’ai vu la course de Blaise, pendant un moment j’y ai bien cru. C’est motivant."
Adrien Théaux : "C’est moyen, même pas bon du tout. C’est mon plus mauvais super-G de la saison. Ça s’explique comme hier, sauf qu’aujourd’hui il n’y avait pas de vent, tant mieux. Je n’ai pas les bons réglages, que ce soit sur mon matériel et sur ma technique. Aujourd’hui, j’avais encore beaucoup d’envie, j’ai essayé de tout donné, comme d’habitude, j’ai essayé de le faire intelligemment, avec un peu de fluidité, mais j’étais beaucoup trop court et je marque trop les appuis. Sur d’autres neiges ça marche très bien mais sur une neige comme ça, ça ne marche pas du tout et le chrono n’a pas du tout aimé."
Brice Roger : "Blaise (Giezendanner) ne passe vraiment pas loin, il a fait un gros run. C’est dommage, la médaille nous aurait fait du bien, mais c’est le jeu. Ce sont ses premiers JO, il apprend. Moi j’ai bien attaqué et puis j’ai fait deux erreurs de trajectoire qui me coûtent très cher. La piste est exigeante, les écarts étaient très serrés. J’étais fatigué après la descente de jeudi (8e), j’ai eu du mal à me remettre sous pression. J’ai tout donné quand même."
Valentine Perazio, à PyeongChang (Corée du Sud)
La stat' qui parle
4
La quatrième place de Blaise Giezendanner dans ce super-G n'est pas seulement la meilleure marque personnelle du Chamoniard. Jamais, depuis la victoire de Franck Piccard aux Jeux 1988 à Calgary, un skieur français ne s'était aussi bien classé dans le super-G olympique! P.Laf.
Patrick Lafayette
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Le 16/02/2018 à 04:07
Auteur : V.J.
SkiChrono
Strike
youtube.com
Lara Gut pour arbitrer le duel Vonn-Goggia en Super-G ?
Après la belle journée d’aujourd’hui pour le ski helvétique, le Super-G féminin de la nuit prochaine offre aux athlètes suisses une nouvelle occasion de s’illustrer, à commencer par Lara Gut, qui mène le classement de la Coupe du monde de la discipline.
Le Super-G est aujourd’hui le terrain où la skieuse de Comano s’exprime le mieux, même si elle laissera volontiers l’étiquette de favorite à Lindsey Vonn et à Sofia Goggia. L’Américaine, particulièrement motivée à l’idée de briller au pays du Matin Calme où son grand-père a combattu pendant la guerre de Corée, n’a jusqu’ici remporté que le bronze en 2010, ce qu’elle doit considérer comme indigne de son standing.
Sofia Goggia partira elle comme à son habitude avec le couteau entre les dents. Ça passera ou ça cassera, advienne que pourra ! Mais si elle arrive en bas en signant une copie sans faute, le podium lui tend les bras.
Parmi les principales outsiders, on peut citer la tenante du titre Anna Veith pour laquelle, comme pour Lara Gut, le Super-G est devenu la meilleure discipline, la championne du monde en titre Nicole Schmidhofer, la Liechtensteinoise Tina Weirather, l’Allemande Viktoria Rebensburg ou encore l’Italienne Federica Brignone.
Les autres Suissesses engagées, Jasmine Flury, Michelle Gisin et Corinne Suter peuvent agréablement surprendre dans une discipline où jamais aucune Suissesse ne s’est imposée, le meilleur résultat helvétique remontant à 1988 (Michela Figini 2e), l’année où le Super-G a fait son apparition dans le programme olympique.
TooSki
Après la belle journée d’aujourd’hui pour le ski helvétique, le Super-G féminin de la nuit prochaine offre aux athlètes suisses une nouvelle occasion de s’illustrer, à commencer par Lara Gut, qui mène le classement de la Coupe du monde de la discipline.
Le Super-G est aujourd’hui le terrain où la skieuse de Comano s’exprime le mieux, même si elle laissera volontiers l’étiquette de favorite à Lindsey Vonn et à Sofia Goggia. L’Américaine, particulièrement motivée à l’idée de briller au pays du Matin Calme où son grand-père a combattu pendant la guerre de Corée, n’a jusqu’ici remporté que le bronze en 2010, ce qu’elle doit considérer comme indigne de son standing.
Sofia Goggia partira elle comme à son habitude avec le couteau entre les dents. Ça passera ou ça cassera, advienne que pourra ! Mais si elle arrive en bas en signant une copie sans faute, le podium lui tend les bras.
Parmi les principales outsiders, on peut citer la tenante du titre Anna Veith pour laquelle, comme pour Lara Gut, le Super-G est devenu la meilleure discipline, la championne du monde en titre Nicole Schmidhofer, la Liechtensteinoise Tina Weirather, l’Allemande Viktoria Rebensburg ou encore l’Italienne Federica Brignone.
Les autres Suissesses engagées, Jasmine Flury, Michelle Gisin et Corinne Suter peuvent agréablement surprendre dans une discipline où jamais aucune Suissesse ne s’est imposée, le meilleur résultat helvétique remontant à 1988 (Michela Figini 2e), l’année où le Super-G a fait son apparition dans le programme olympique.
TooSki
Vraiment touchante Ledecka à l’arrivée : "No, it's not possible, there must be a mistake ...". Bon pour apprécier ce moment de grâce, il fallait regarder le broadcast Internet sans la voix des commentateurs beuglant comme des gros veaux !
Une ex snowboardeuse la meuf !
Une ex snowboardeuse la meuf !
La surprise Ester Ledecka, Lara Gut en larmes
Après l’étonnante 4e place de l’ultra-favorite Shiffrin en slalom, le ski alpin féminin a été au centre d’une nouvelle (très) grosse sensation avec le succès inattendu d’Ester Ledecka en super-G. Au niveau des chiffres, la Tchèque de 23 ans ne compte que 19 départs en Coupe du Monde avec comme meilleur résultat une 7e position obtenue en descente à Lake Louise cette saison. Ce samedi pourtant sur la neige coréenne, elle a fait voler en éclats tous les pronostics possibles suite à une course quasi-parfaite. Celle qui pratique en parallèle… le snowboard au plus haut niveau (double médaillée mondiale) a réalisé certainement l’un des exploits les plus importants dans la discipline lors de JO.
Cette incroyable performance s’inscrit en plus dans un scénario assez fou qui a vu la jeune Ledecka ne devancer l’Autrichienne Anna Veith 2e que pour un minuscule centième. Pour la Salzbourgeoise, cette médaille d’argent est un superbe résultat après son retour de blessure initié cette saison. Sur la troisième marche du podium, on retrouve la Liechtensteinoise Tina Weirather qui a glané aujourd’hui sa première breloque olympique.
La grande perdante du jour se trouve peut-être dans le camp helvétique en la personne de Lara Gut, 4e ce samedi pour seulement un centième. La Tessinoise n’a pourtant pas déméritée sur le parcours de Jeongseon mais un manque de vitesse dans la partie médiane du tracé ainsi qu’un saut final mal négocié, lui ont empêché d’accrocher une deuxième médaille à son cou. Cruel pour la skieuse de Comano qui n’a pu retenir ses larmes dans l’aire d’arrivée mais qui devra vite se ressaisir pour les épreuves de descente et du combiné. Concernant les autres Suissesses en lice, l’Obwaldienne Michelle Gisin a terminé à une belle 9e place alors que ses camarades Corinne Suter et Jasmine Flury ont été plus discrètes, finissant respectivement 17e et 27e.
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Après l’étonnante 4e place de l’ultra-favorite Shiffrin en slalom, le ski alpin féminin a été au centre d’une nouvelle (très) grosse sensation avec le succès inattendu d’Ester Ledecka en super-G. Au niveau des chiffres, la Tchèque de 23 ans ne compte que 19 départs en Coupe du Monde avec comme meilleur résultat une 7e position obtenue en descente à Lake Louise cette saison. Ce samedi pourtant sur la neige coréenne, elle a fait voler en éclats tous les pronostics possibles suite à une course quasi-parfaite. Celle qui pratique en parallèle… le snowboard au plus haut niveau (double médaillée mondiale) a réalisé certainement l’un des exploits les plus importants dans la discipline lors de JO.
Cette incroyable performance s’inscrit en plus dans un scénario assez fou qui a vu la jeune Ledecka ne devancer l’Autrichienne Anna Veith 2e que pour un minuscule centième. Pour la Salzbourgeoise, cette médaille d’argent est un superbe résultat après son retour de blessure initié cette saison. Sur la troisième marche du podium, on retrouve la Liechtensteinoise Tina Weirather qui a glané aujourd’hui sa première breloque olympique.
La grande perdante du jour se trouve peut-être dans le camp helvétique en la personne de Lara Gut, 4e ce samedi pour seulement un centième. La Tessinoise n’a pourtant pas déméritée sur le parcours de Jeongseon mais un manque de vitesse dans la partie médiane du tracé ainsi qu’un saut final mal négocié, lui ont empêché d’accrocher une deuxième médaille à son cou. Cruel pour la skieuse de Comano qui n’a pu retenir ses larmes dans l’aire d’arrivée mais qui devra vite se ressaisir pour les épreuves de descente et du combiné. Concernant les autres Suissesses en lice, l’Obwaldienne Michelle Gisin a terminé à une belle 9e place alors que ses camarades Corinne Suter et Jasmine Flury ont été plus discrètes, finissant respectivement 17e et 27e.
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Message modifié 1 fois. Dernière modification par Blacksite, 17/02/2018 - 11:16
Peut être supprimer ces JO
Il y en a que 3 qui se réjouissent mais des dizaines en pleurs, déprimés qui en auront pour des mois à s'en remettre
Il y en a que 3 qui se réjouissent mais des dizaines en pleurs, déprimés qui en auront pour des mois à s'en remettre
Message modifié 1 fois. Dernière modification par squier, 17/02/2018 - 11:28
Pourtant, les conditions semblent régulières sur toutes les courses jusqu'à présent. C'est la première grande surprise et toutes les filles derrières elle sont des cadors de la Coupe du Monde. En plus, elle fait plein de petites fautes sur sa course, certainement dues au fait qu'elle allait super vite.
Comme on a dit, tout se joue sur une course, donc finalement tout peut arriver. On peut très bien se retrouver avec un podium complètement farfelu (une snowboardeuse qui s'incruste on ne sait comment et Anna Veith qui revient de nulle part) ou alors un ordre respecté. Lara Gut a commis quelques erreurs, comme ça lui est déjà arrivé cette saison en Coupe du Monde. Quant à Weirather, elle aurait pu gagner comme finir dixième... comme en Coupe du Monde.
C'est plus l'importance qu'on accorde à des Jeux artificiels qui est un problème. Mais tous les athlètes sont quand même favorables à ces jeux. Alors...
C'est plus l'importance qu'on accorde à des Jeux artificiels qui est un problème. Mais tous les athlètes sont quand même favorables à ces jeux. Alors...
Blacksite (17 févr.) disait:
Comme on a dit, tout se joue sur une course, donc finalement tout peut arriver. On peut très bien se retrouver avec un podium complètement farfelu (une snowboardeuse qui s'incruste on ne sait comment et Anna Veith qui revient de nulle part) ou alors un ordre respecté. Lara Gut a commis quelques erreurs, comme ça lui est déjà arrivé cette saison en Coupe du Monde. Quant à Weirather, elle aurait pu gagner comme finir dixième... comme en Coupe du Monde.
C'est plus l'importance qu'on accorde à des Jeux artificiels qui est un problème. Mais tous les athlètes sont quand même favorables à ces jeux. Alors...
Oui, on dit souvent que c'est ce qui fait la magie des jeux. Tout peut arriver. Les athlètes le demandent parce que leur sport est très peu médiatisé auprès du grand public, y compris l'alpin. Ils ont besoin d'un minimum de visibilité.
LeKeke (17 févr.) disait:
Les gars, faut arrêter de focaliser sur la plastique des filles. Vous pourriez vous intéresser aussi un peu aux résultats des garçons. Marc Dutroux, sors de ce corps !
Malheureusement elles sont souvent mise de coté dans les médias dans le sport en général. C'est top d'avoir des filles avec un top niveau comme cela, et de promouvoir le sport chez les filles.
On est bien d'accord. Mais, tu sembles déçu qu'une concurrente qui ne fait pas partie du gotha du ski et qui n'est pas une gravure de mode comme les deux autres sur le podium vienne chambouler tout ce bel ordonnancement, non ? Mais contrairement à d'autres courses Olympiques dans le passé (Bill Johnson RIP ou même Kabou Crétier que j'admire car il a su sortir LE run, le jour J dans une course de légende; cf le crash d'Hermann Maier), la fille gagne à la régulière. Et je pense qu'on en reparlera dans le futur ...
Non, je n'ai rien contre le physique de la gagnante qui est d'ailleurs très jolie.
C'est juste que ça m'embête qu'elle ait gagné. Elle aurait pu gagner dans les épreuves techniques ça aurait été bien.
Pour Anna Veith c'est bien qu'elle soit de retour, mais là aussi, le jour tombe mal.
On aurait dû avoir :
1. Weirather
2. Veith (ou n'importe qui d'autre)
3. Ledecka (ou n'importe qui d'autre)
C'est juste que ça m'embête qu'elle ait gagné. Elle aurait pu gagner dans les épreuves techniques ça aurait été bien.
Pour Anna Veith c'est bien qu'elle soit de retour, mais là aussi, le jour tombe mal.
On aurait dû avoir :
1. Weirather
2. Veith (ou n'importe qui d'autre)
3. Ledecka (ou n'importe qui d'autre)
Message modifié 1 fois. Dernière modification par Blacksite, 17/02/2018 - 16:52
LesMenuiresCestTop
Le 17 févr. 2018 - 17:05
Blacksite (17 févr.) disait:
une snowboardeuse qui s'incruste on ne sait comment
Pour savoir comment, il suffit de regarder la vidéo...
Cette snowboardeuse-skieuse est mon idole absolue (un peu parce que je pratique le ski et le snow alpin avec le même plaisir). Elle aime les deux sports, et du coup ne se pose pas de question : elle s'essaie dans les deux disciplines. Le pire c'est qu'en plus, là c'est un superG, mais jusqu'à présent c'est en slalom que je l'avais vue finir dans les 30 l'an dernier. Donc même en ski c'est une polyvalente. J'espère qu'elle va cartonner en snowboard la semaine prochaine !
C'est une extra terrestre
Elle a 2 fiches FIS : SB et AS
Entre 2 calendriers FIS à gérer (en janvier, elle a fait une manche coupe d'Europe !!), les voyages, les entrainements...
Je demande l'ouverture d'une enquête
Pour le plaisir, effectivement, on peut faire les 2 mais en pro c'est autre chose...
Elle a 2 fiches FIS : SB et AS
Entre 2 calendriers FIS à gérer (en janvier, elle a fait une manche coupe d'Europe !!), les voyages, les entrainements...
Je demande l'ouverture d'une enquête
Pour le plaisir, effectivement, on peut faire les 2 mais en pro c'est autre chose...
Message modifié 1 fois. Dernière modification par squier, 17/02/2018 - 17:20
bonagva
Le 17 févr. 2018 - 17:22
Pas une totale inconnue en alpin non plus, elle a quand même fini 7 en descente à Lake Louise, donc elle sait glisser ...
fis-ski.com
LesMenuiresCestTop
Le 17 févr. 2018 - 18:00
Pour en apprendre beaucoup sur elle et son organisation, un article du Times :
nytimes.com
En particulier, l'avis de ses entraineurs est intéressant.
Il parait que Shiffrin lui avait prêté ses skis de SG "magiques". Elles ont le même équipementier, Atomic. Tout s'explique finalement !
Message modifié 1 fois. Dernière modification par LeKeke, 17/02/2018 - 18:10
FIS: Jasmina Suter s'impose dans les Grisons
La Schwytzoise de 22 ans a remporté le premier des deux géants prévus dans la station de Savognin devant un trio autrichien composé d'Elisabeth Reisinger 2e, Ariane Rädler 3e et Michaela Heider 4e. Des skieuses de la "Wunderteam" qui ont fait très fort pour cette épreuve puisqu'elles sont au total sept dans le top 10, accompagnées encore par les Suissesses Nathalie Gröbli et Lindy Etzensperger, respectivement 5e et 8e. Derrière cette armada autrichienne, on retrouve notamment l'Obwaldienne Priska Nufer 11e, la Grisonne Stephanie Jenal 12e ou encore la Fribourgeoise Noémie Kolly 14e.
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La Schwytzoise de 22 ans a remporté le premier des deux géants prévus dans la station de Savognin devant un trio autrichien composé d'Elisabeth Reisinger 2e, Ariane Rädler 3e et Michaela Heider 4e. Des skieuses de la "Wunderteam" qui ont fait très fort pour cette épreuve puisqu'elles sont au total sept dans le top 10, accompagnées encore par les Suissesses Nathalie Gröbli et Lindy Etzensperger, respectivement 5e et 8e. Derrière cette armada autrichienne, on retrouve notamment l'Obwaldienne Priska Nufer 11e, la Grisonne Stephanie Jenal 12e ou encore la Fribourgeoise Noémie Kolly 14e.
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JO-2018 / Ski alpin : Jennifer Piot, trente ans après sa grand-mère
Jennifer Piot a terminé 20e du super-G des Jeux olympiques ce samedi à PyeongChang. Les premiers JO de la skieuse de l’Alpe d’Huez, trente ans après… sa grand-mère engagée aux Jeux paralympiques de Séoul en 1988 en tir à l'arc.
L’histoire de famille se poursuit. Jennifer Piot, 30 ans après sa grand-mère maternelle aux Jeux paralympiques de Séoul, a participé aux JO ce samedi à PyeongChang (20e du super-G), à deux heures de route de la capitale coréenne. "J’ai son pin’s qu’elle avait ramené de Séoul, raconte la skieuse de l’Alpe d’Huez. J’ai toujours su qu’elle avait fait les Jeux paralympiques. Je l’ai toujours connue en fauteuil roulant et j’ai toujours été assez admirative. Elle a fait tout le sport qu’elle pouvait, elle s’est toujours débrouillée, j’étais admirative de ce qu’elle pouvait faire. Le sport, ça la rendait heureuse. Pour moi, vivre les Jeux ça a toujours été un rêve. J’ai grandi là-dedans, dans l’amour du sport, du dépassement de soi, chercher ses limites, travailler tout le temps. C’est de famille."
La Franc-Comtoise Christiane Pape, décédée en 2016, avait disputé l’épreuve du tir à l’arc à Séoul, il y a trente ans. "Quand elle est décédée, je suis allée aider ma mère à vider un peu l’appartement. Il y avait un carton avec ses affaires des Jeux, il y avait des sacs France Olympique. A ce moment-là, vu ma saison, pour moi les Jeux étaient encore loin. Mais j’ai vu ce petit pin’s Séoul, je l’ai accroché sur le ruban de ma médaille d’or des Mondiaux juniors et je me suis dit : « Tu as été capable de le faire une fois, aller… » Quand j’ai été sélectionnée, j’ai pris ce pin’s."
Jennifer Piot, 25 ans, a désormais encore un rendez-vous olympique : la descente mercredi 21 février.
SkiChrono
Jennifer Piot a terminé 20e du super-G des Jeux olympiques ce samedi à PyeongChang. Les premiers JO de la skieuse de l’Alpe d’Huez, trente ans après… sa grand-mère engagée aux Jeux paralympiques de Séoul en 1988 en tir à l'arc.
L’histoire de famille se poursuit. Jennifer Piot, 30 ans après sa grand-mère maternelle aux Jeux paralympiques de Séoul, a participé aux JO ce samedi à PyeongChang (20e du super-G), à deux heures de route de la capitale coréenne. "J’ai son pin’s qu’elle avait ramené de Séoul, raconte la skieuse de l’Alpe d’Huez. J’ai toujours su qu’elle avait fait les Jeux paralympiques. Je l’ai toujours connue en fauteuil roulant et j’ai toujours été assez admirative. Elle a fait tout le sport qu’elle pouvait, elle s’est toujours débrouillée, j’étais admirative de ce qu’elle pouvait faire. Le sport, ça la rendait heureuse. Pour moi, vivre les Jeux ça a toujours été un rêve. J’ai grandi là-dedans, dans l’amour du sport, du dépassement de soi, chercher ses limites, travailler tout le temps. C’est de famille."
La Franc-Comtoise Christiane Pape, décédée en 2016, avait disputé l’épreuve du tir à l’arc à Séoul, il y a trente ans. "Quand elle est décédée, je suis allée aider ma mère à vider un peu l’appartement. Il y avait un carton avec ses affaires des Jeux, il y avait des sacs France Olympique. A ce moment-là, vu ma saison, pour moi les Jeux étaient encore loin. Mais j’ai vu ce petit pin’s Séoul, je l’ai accroché sur le ruban de ma médaille d’or des Mondiaux juniors et je me suis dit : « Tu as été capable de le faire une fois, aller… » Quand j’ai été sélectionnée, j’ai pris ce pin’s."
Jennifer Piot, 25 ans, a désormais encore un rendez-vous olympique : la descente mercredi 21 février.
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Suissesses placées lors du premier entrainement
Trois Suissesses se sont positionnées dans le top 10 à l'issue du premier des trois entrainements en vue de la descente de mercredi en les personnes de Michelle Gisin 6e à 0''88 ainsi que de Corinne Suter et de Joana Hählen, toutes deux à égalité avec le 9e temps à 1''12. Tout devant, c'est l'Américaine Lindsey Vonn qui a signé le meilleur chrono devant l'Autrichienne Ramona Siebenhofer 2e à 0''18 et sa compatriote Alice McKennis 3e à 0''53. Plus compliqué en revanche pour Jasmine Flury et Lara Gut qui ont réalisé le même temps à plus d'une seconde et demi de la Nord-Américaine alors que Wendy Holdener 37e à 3''57, qui s'entraine en vue du combiné, a fini loin derrière sa rivale Mikaela Shiffrin 23e à 1''97.
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Trois Suissesses se sont positionnées dans le top 10 à l'issue du premier des trois entrainements en vue de la descente de mercredi en les personnes de Michelle Gisin 6e à 0''88 ainsi que de Corinne Suter et de Joana Hählen, toutes deux à égalité avec le 9e temps à 1''12. Tout devant, c'est l'Américaine Lindsey Vonn qui a signé le meilleur chrono devant l'Autrichienne Ramona Siebenhofer 2e à 0''18 et sa compatriote Alice McKennis 3e à 0''53. Plus compliqué en revanche pour Jasmine Flury et Lara Gut qui ont réalisé le même temps à plus d'une seconde et demi de la Nord-Américaine alors que Wendy Holdener 37e à 3''57, qui s'entraine en vue du combiné, a fini loin derrière sa rivale Mikaela Shiffrin 23e à 1''97.
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EC : Aline Danioth au pied du podium en Allemagne
À Bad Wiesse, en Bavière, le premier des deux slaloms Coupe d'Europe au programme du week-end a vu la jeune Aline Danioth prendre la 4e place. L'Uranaise a réalisé une belle remontée lors de la seconde manche en gagnant six rangs, terminatn au final à onze centièmes du podium. La victoire est revenue à la Suédoise Charlotta Säfvenberg devant la Norvégienne Kristin Gjelsten Haugen 2e et l'Italienne Roberta Midali 3e. Les autres représentantes helvétiques sont au-delà du top 15 avec pour commencer Carole Bissig 17e, notre jeune blogueuse Camille Rast 22e, Elena Stoffel 23e, Bettina Schneeberger 26e, Lorina Zelger 28e et Charlott Lingg 29e. Moins de réussite en revanche pour les deux Suissesses les plus expérimentées de l'équipe, la Vaudoise Charlotte Chable et la Grisonne Rahel Kopp, qui ont chacune connu l'élimination lors de la deuxième manche.
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À Bad Wiesse, en Bavière, le premier des deux slaloms Coupe d'Europe au programme du week-end a vu la jeune Aline Danioth prendre la 4e place. L'Uranaise a réalisé une belle remontée lors de la seconde manche en gagnant six rangs, terminatn au final à onze centièmes du podium. La victoire est revenue à la Suédoise Charlotta Säfvenberg devant la Norvégienne Kristin Gjelsten Haugen 2e et l'Italienne Roberta Midali 3e. Les autres représentantes helvétiques sont au-delà du top 15 avec pour commencer Carole Bissig 17e, notre jeune blogueuse Camille Rast 22e, Elena Stoffel 23e, Bettina Schneeberger 26e, Lorina Zelger 28e et Charlott Lingg 29e. Moins de réussite en revanche pour les deux Suissesses les plus expérimentées de l'équipe, la Vaudoise Charlotte Chable et la Grisonne Rahel Kopp, qui ont chacune connu l'élimination lors de la deuxième manche.
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