Ouais, 2 mois après une fracture ouverte au bras c'est quand même impressionnant...
Sinon allez Julien!!! Joli première manche!
Sinon allez Julien!!! Joli première manche!
Blacksite ( 7 janv. 2017) disait:
«Quand je m’entraîne avec les hommes, j’en bats la moitié».
Blacksite ( 7 janv. 2017) disait:
Il me semble que la natation synchronisée a longtemps été interdite aux hommes...
Maintenant faut affuter ses carres pour découper les piquets
instagram.com
Blacksite ( 9 janv. 2017) disait:
Très mauvaise passe aussi pour l'équipe autrichienne. La première Autrichienne, Ricarda Haaser termine 23e. Le précédent "record" éatait une 22e place en 1985.
klappaar ( 9 janv. 2017) disait:
Quelqu'un connait les protocoles anti dopage dans le ski? Comment la fédé lutte contre ça? Ont-ils un suivi biologique comme les cyclistes?
L'émergence soudaine de jeunes qui ont à 20ans la puissance et l'endurance d'un homme/femme de 25-30 ans ... je trouve cela pour le moins étrange (indépendamment d'un talent précoce possible)
klappaar ( 9 janv. 2017) disait:
Quelqu'un connait les protocoles anti dopage dans le ski? Comment la fédé lutte contre ça? Ont-ils un suivi biologique comme les cyclistes?
L'émergence soudaine de jeunes qui ont à 20ans la puissance et l'endurance d'un homme/femme de 25-30 ans ... je trouve cela pour le moins étrange (indépendamment d'un talent précoce possible)
klappaar ( 9 janv. 2017) disait:
Quelqu'un connait les protocoles anti dopage dans le ski? Comment la fédé lutte contre ça? Ont-ils un suivi biologique comme les cyclistes?
L'émergence soudaine de jeunes qui ont à 20ans la puissance et l'endurance d'un homme/femme de 25-30 ans ... je trouve cela pour le moins étrange (indépendamment d'un talent précoce possible)
bonagva ( 9 janv. 2017) disait:
klappaar ( 9 janv. 2017) disait:
Quelqu'un connait les protocoles anti dopage dans le ski? Comment la fédé lutte contre ça? Ont-ils un suivi biologique comme les cyclistes?
L'émergence soudaine de jeunes qui ont à 20ans la puissance et l'endurance d'un homme/femme de 25-30 ans ... je trouve cela pour le moins étrange (indépendamment d'un talent précoce possible)
A priori les règles sont sinon identiques, du moins très proches ...
Quand à l'apogée de la forme, elle est très variable d'un individu à un autre et peux singulièrement varier d'une saison à l'autre voir à l'intérieur même de la saison.
Et le ski n'est pas qu'une question de puissance, il y a tout l'aspect bagage technique et l'apogée de celui-ci est aussi variable que la forme physique et peut ou pas coïncider avec elle.
Et si tu ajoutes tout l'aspect matériel et environnement, bref, il y a tellement de variables ...
Du coup, qu'une Shiffrin gagne à 17 ans ou un Moelgg à 34 ans (en slalom !), est remarquable mais pas à proprement parler suspect.
La seule fois où je me suis dit qu'il y avait *vraiment* une couille dans le potage c'est quand Janica Kostelic (la soeur d'Ivica) a pris une quinzaine de kilos de muscles d'une année sur l'autre, soit en 8 mois ...
nikota ( 9 janv. 2017) disait:
klappaar ( 9 janv. 2017) disait:
Quelqu'un connait les protocoles anti dopage dans le ski? Comment la fédé lutte contre ça? Ont-ils un suivi biologique comme les cyclistes?
L'émergence soudaine de jeunes qui ont à 20ans la puissance et l'endurance d'un homme/femme de 25-30 ans ... je trouve cela pour le moins étrange (indépendamment d'un talent précoce possible)
Etrange? Pas tant que ça... Comme c'est bien dit juste au dessus par d'autres, il faut pas oublier que les programmes de musculation assez poussés se sont répandus à tous les sports, programmes sur plusieurs années, spécifiques à chaque athlète, avec des suivis minutieux, tout ça n'existaient pas ou à peine il y'a encore 15 ans.. On a toujours sorti des gars avec un super touché de neige comme Grange et d'autres, là on sort peut être des gars qui sont techniques, mais aussi beaucoup plus costaud et aggressifs.
Ils sont répérés de plus en plus jeune, avec de meilleurs méthodes de détection, des clubs locaux de mieux en mieux équipé, les régions/départements qui soutiennent parfois leurs jeunes champions, les mômes se professionnalisent plus tôt, avec de meilleurs coachs, mieux formés, voire mieux payés... Tout ça compte...
Et puis il y a la part de la préparation mentale qui a longtemps été oublié, les nutritionnistes, les sponsors plus présents, qui te permettent de pas te soucier d'argent et de te focaliser sur ta prépa, tes objectifs, etc..;
Bref, avant d'envisager le dopage, ll y a plein de facteurs à considérer...
squier ( 9 janv. 2017) disait:
Effectivement, s'il suffisait de se doper dans le ski, il y aurait 8 russes chez les 10 1ers
klappaar ( 9 janv. 2017) disait:
squier ( 9 janv. 2017) disait:
Effectivement, s'il suffisait de se doper dans le ski, il y aurait 8 russes chez les 10 1ers
La nationalité de Shiffrin ne me rassure pas ... c'est pas comme si Florence Griffith Joyner avait été américaine et comme si les sportifs de sports US (baseball, foot, basket ...) avaient une espérance de vie à 45 ans (j'exagère à peine)
nikota ( 9 janv. 2017) disait:
klappaar ( 9 janv. 2017) disait:
Quelqu'un connait les protocoles anti dopage dans le ski? Comment la fédé lutte contre ça? Ont-ils un suivi biologique comme les cyclistes?
L'émergence soudaine de jeunes qui ont à 20ans la puissance et l'endurance d'un homme/femme de 25-30 ans ... je trouve cela pour le moins étrange (indépendamment d'un talent précoce possible)
Etrange? Pas tant que ça... Comme c'est bien dit juste au dessus par d'autres, il faut pas oublier que les programmes de musculation assez poussés se sont répandus à tous les sports, programmes sur plusieurs années, spécifiques à chaque athlète, avec des suivis minutieux, tout ça n'existaient pas ou à peine il y'a encore 15 ans.. On a toujours sorti des gars avec un super touché de neige comme Grange et d'autres, là on sort peut être des gars qui sont techniques, mais aussi beaucoup plus costaud et aggressifs.
Ils sont répérés de plus en plus jeune, avec de meilleurs méthodes de détection, des clubs locaux de mieux en mieux équipé, les régions/départements qui soutiennent parfois leurs jeunes champions, les mômes se professionnalisent plus tôt, avec de meilleurs coachs, mieux formés, voire mieux payés... Tout ça compte...
Et puis il y a la part de la préparation mentale qui a longtemps été oublié, les nutritionnistes, les sponsors plus présents, qui te permettent de pas te soucier d'argent et de te focaliser sur ta prépa, tes objectifs, etc..;
Bref, avant d'envisager le dopage, ll y a plein de facteurs à considérer...
klappaar ( 9 janv. 2017) disait:Il vaut mieux s'interroger que de ne pas le faire. Concernant Shiffrin, il faut déjà savoir qu'elle gagne le topolino à 14-15 ans en 2010, à la fois en slalom et en géant. En slalom, elle a mis 4,5 sec à la 2ème. Elle gagne la même année la Whilstler cup au Canada. En gros, c'était déjà à l'époque la meilleure jeune au monde qui confirme en faisant médaille de bronze aux championnats du monde juniors de slalom à seulement 15 ans. C'est pourquoi la FIS l'a autorisé à courir sa 1ère coupe du monde à 15 ANS alors que l'âge minimum requis est de 16 ans. Puis elle fait un 1er top 10 dès son 2ème slalom de coupe du monde à Aspen et fait un podium à Lienz un mois après.
squier ( 9 janv. 2017) disait:
Effectivement, s'il suffisait de se doper dans le ski, il y aurait 8 russes chez les 10 1ers
La nationalité de Shiffrin ne me rassure pas ... c'est pas comme si Florence Griffith Joyner avait été américaine et comme si les sportifs de sports US (baseball, foot, basket ...) avaient une espérance de vie à 45 ans (j'exagère à peine)
tcsa ( 9 janv. 2017) disait:
nikota ( 9 janv. 2017) disait:
klappaar ( 9 janv. 2017) disait:
Quelqu'un connait les protocoles anti dopage dans le ski? Comment la fédé lutte contre ça? Ont-ils un suivi biologique comme les cyclistes?
L'émergence soudaine de jeunes qui ont à 20ans la puissance et l'endurance d'un homme/femme de 25-30 ans ... je trouve cela pour le moins étrange (indépendamment d'un talent précoce possible)
(...)
Ils sont répérés de plus en plus jeune, avec de meilleurs méthodes de détection, des clubs locaux de mieux en mieux équipé, les régions/départements qui soutiennent parfois leurs jeunes champions, les mômes se professionnalisent plus tôt, avec de meilleurs coachs, mieux formés, voire mieux payés... Tout ça compte...
Et puis il y a la part de la préparation mentale qui a longtemps été oublié, les nutritionnistes, les sponsors plus présents, qui te permettent de pas te soucier d'argent et de te focaliser sur ta prépa, tes objectifs, etc..;
Bref, avant d'envisager le dopage, ll y a plein de facteurs à considérer...
Là, je veux bien des exemples concrets parce que comme ça vu de loin c'est, concernant le ski plutôt n'importe quoi
klappaar ( 9 janv. 2017) disait:
Ce qui est bizarre, c'est que tout le monde se posait des questions sur Hermann Maier, mais là, personne n'a de doute. Alors, honnêtement, je ne connais pas la carrière de Shiffrin, peut-être qu'a 13ans elle mettait déjà des adultes minables mais bon ... on a eu tellement de surprise.
Par contre le dopage peu utile dans un sport "technique", désolé mais on nous l'a vendu dans le foot et on voit bien que le dopage est utile dans tous les sports. Ne serait-ce que pour pouvoir s'entrainer plus. Celui qui s'entraine plus progressera plus
tcsa (10 janv. 2017) disait:
Détection plus précoce?
bonagva (10 janv. 2017) disait:
klappaar ( 9 janv. 2017) disait:
Ce qui est bizarre, c'est que tout le monde se posait des questions sur Hermann Maier, mais là, personne n'a de doute. Alors, honnêtement, je ne connais pas la carrière de Shiffrin, peut-être qu'a 13ans elle mettait déjà des adultes minables mais bon ... on a eu tellement de surprise.
Qu'elle soit dopée ou pas, je n'en sais rien (et toi non plus) mais ce qui est certain est que son son style de ski n'est pas en puissance: c'est beaucoup de fluidité, d'agilité, des appuis très courts, un timing parfait et un positionnement sur ses skis toujours irréprochable. C'est d'abord un modèle de technique de ski.
De plus, son corps n'a pas pratiquement pas bougé depuis ses débuts.
Donc, sauf preuve du contraire, je ne vois vraiment pas de raisons de crier au loup ...
Et pour la comparer à Herminator, faut quand même y aller ...
Par contre le dopage peu utile dans un sport "technique", désolé mais on nous l'a vendu dans le foot et on voit bien que le dopage est utile dans tous les sports. Ne serait-ce que pour pouvoir s'entrainer plus. Celui qui s'entraine plus progressera plus
Ce n'est pas que ce n'est pas utile, c'est juste que l'aspect physique n'est pas suffisant en ski et que, du coup, les bénéfices du dopage n'ont pas la même importance qu'en vélo, natation ou haltérophilie ...
Quand à la précocité, ce n'est pas nouveau, en tous temps il y a eu des phénomènes.
Pour n'en citer qu'une que je connais un peu, Erika Hess, qui s'est retrouvée en Coupe du Monde à 16 ans et a volontairement terminé sa carrière à 25 pour devenir maman et, cerise sur le gâteau, sans pépins de santé majeurs durant sa carrière.
Ça nous fait quand même 8 globes de cristal, 31 victoires et 76 podiums en seulement 10 ans de Coupe du Monde ...
Et quand elle ouvre une course populaire, à plus de 50 ans, elle met toujours la pâtée aux quelques U16 présents ...
tcsa (10 janv. 2017) disait:
Du concret s'il te plaît. Parce que dit ainsi, ça ressemble à de la foutaise à du blablablatage de quelqu'un qui parlerait de ce qu'il ne connais pas.
Quelle région à financé quoi? Pour aider quel coureur.
Qu'est ce qui se fait comme soutien qui n'existait pas au siècle dernier?
Détection plus précoce? C'est à dire ? Qui détecte qui? A quel moment et par quelle méthode ? Et avant c'était comment ?
Coût d'une section ski dans un collège par exemple ? En quoi cela constitue un soutien ? Soutien à qui?
klappaar (10 janv. 2017) disait:
Blacksite (10 janv. 2017) disait:
Armand Marchant je suppose.
tu supposes bien
bonagva disait:Le ski en Suisse est passé d'un statut de sport national au rang de sport tout ce qu'il y a de plus banal.
nikota (10 janv. 2017) disait:
tcsa (10 janv. 2017) disait:
Du concret s'il te plaît. Parce que dit ainsi, ça ressemble à de la foutaise à du blablablatage de quelqu'un qui parlerait de ce qu'il ne connais pas.
Quelle région à financé quoi? Pour aider quel coureur.
Qu'est ce qui se fait comme soutien qui n'existait pas au siècle dernier?
Détection plus précoce? C'est à dire ? Qui détecte qui? A quel moment et par quelle méthode ? Et avant c'était comment ?
Coût d'une section ski dans un collège par exemple ? En quoi cela constitue un soutien ? Soutien à qui?
Bon mettre plein de questions comme ça ça veut rien dire. Tu contestes des choses évidentes (détection plus précoce, qualité des process de détection et d'entrainements, soutien indirects divers...).
Le concret...? Je dis en substance que les choses se sont améliorés depuis 20 ans sur les méthodes, la détection, le soutien où encore l'accompagnement des sportifs... Tu réponds blablablatage sans rien apporter... Prouve moi que les choses depuis 20 ans se sont empirées, ou ne se sont pas améliorées avant de critiquer...
Parce que les aides financières (régionales/nationales) dont je parle sont très concrètes, et ma liste plus haut est assez exhaustive, tu n'a qu'à vérifier, comme pour la retraite des sportifs, il y a des textes de loi, tu peux tout trouver facilement, et ils n'existaient pas tous au siècle dernier ces textes, témoignages d'une prise de conscience de l'état sur la nécessité de mieux accompagner les sportifs dans leurs disciplines et après, pour leurs reconversions. Je dis pas que c'est parfait, mais que avant, tout ça n'existait pas ou à peine.
sports.gouv.fr
L'exemple du financement d'équipements comme des stades permanent d'entrainement, leur enneigement de culture garanti, ne sort pas de nulle part, toutes les stations ne sont pas privées, et beaucoup ont recours à des demandes auprès de la région ou encore de l'Europe pour financer des équipements dédiés pour skieurs amateurs, ou pro. Si tu consultes les appels d'offres sur marchés publics des stations de ski ou des comdecom gérant ces stations, avec part de financement régional, ça fait quelques années que j'en voit passer des financements pour stade de slalom permanent, enneigeurs dédié, etc. La région aide, c'est indéniable. Autre exemple, les appels à projets lancés par des régions, comme pour les stations PACA récemment, et les 100 millions de la région pour les stations du sud (en lien avec le programme Alcotra ( &programme smart mountains)). Bref, la région met des sous, et ça aide indirectement les filères ski et donc les jeunes, leurs clubs, et futurs pros.
Regarde aussi un peu ce que finance une région, y'a pas que des routes hein... Regarde la répartition des sommes dans les budgets primitifs des régions en moyenne, tu seras étonné. L'enseignement, l'apprentissage, le sport, le transports, tout ça ça tient une grosse part, et sert à nos jeunes sportifs en herbe... Et beaucoup de tout ça n'était pas possible il y a 20 ans parce qu'on avait as encore fait un effort de décentralisation des régions, qu'elles n'avaient alors pas d'autonomie ou de budgets et de moyens. Bien sur qu'on est encore en retard, mais du boulot a été fait et permet le soutien concret sous différentes formes de nos sportifs:
- Les parcours d’excelences sportives depuis 2009 (PES) (avec évaluation, détection plus poussée, préparation, etc)
- Les orientations nationales du ministère chargé des sports et les directions régionales de le jeunesse, des sports et de la cohésion sociale (va regarder ce qui se fait sur celle de Rhone-Alpes c'est pas trop mal)
- Aménagement scolaire, universitaire ou professionnel de sportifs qui existait pas avant
- Le suivi médical réglementaire (suivi de terrain, prévention, etc.)
- En Rhone Alpes en 2012, 62% des sportifs de haut niveau était en formation, 84% chez les jeunes (tout ça c'est financé en totalité ou en partie)
- Les listes Jeunes, Elite, et Senior pour les catégories emplois et formations
- Les pôles France, Espoirs, toutes les structures associés et les centres de formation des clubs professionnels, soutenus et dépendant des régions.
- Sponsoring, parrainage, partenariat d'image ou autres types de conventions (souvent en nature) passées entre le sportif et les entités administratives (CR, comdecom, clubs, ville, station...)
- Je passe sur les modalités d’organisation du suivi, de l’orientation, de la formation et de l’insertion pro, et le soutien objectif du conseil régional (valable dans bcp de régions), des DTN et fédérations, des rectorats, universités et grandes écoles ainsi que des réseaux d’entreprises régionales, des conventions d’insertion professionnelle régionales, qui tous apportent un pierre à l’édifice, parce que la région rassemble et fédère ces acteurs pour favoriser l'éclosion de pro de haut niveau....
- Le partenariat entre DRJSCS et Conseil regional et la mutualisation des moyens pour intervenir sur le financement du sport de haut niveau et le suivi individuel des sportifs dès leur intégration aux filières.
- Le mécénat ainsi que les dispositifs de défiscalisation pour les entreprises qui financent le sport de haut niveau, ou embauche un sportif.
- La DRJSCS participe aussi au financement de l’encadrement sportif et médical. Le partenariat existant par exemple entre le Conseil régional Rhône-Alpes (CRRA) et l’état permet aussi d’allouer des aides dans le domaine du matériel, des déplacements ou des stages.
- La DRJSCS et le conseil régional participent aussi financièrement au soutien scolaire des élèves, et des structures.
A ce titre, il faut également souligner la collaboration de la DRJSCS avec les rectorats, qui à leur tour peuvent flécher des aides sur les établissements scolaires référents des Parcours Excellence Sportive.
Bref, tous les dispositifs ci-dessus sont plus ou moins récents et concrets, je ne défend pas le système français, ni ne dit que les régions font tout, juste je constate des choses qui ce sont améliorées pour les sportifs sur pas mal d'aspects. Il faut conserver des réserves toutefois, il y a encore du chemin à faire.
Enfin, les méthodes de detection ou d'entrainements se sont améliorées, c'est évident, ne serait-ce que parce que la technologie à fait un bon depuis 20ans (le contesterais-tu?) (suivi vidéo, suivi en temps réel, suivi statistiques des performances des mômes sur plusieurs années, pilotage de ces performances, indices et indicateurs en tout genre, tests physiques et psy à foison, programmes d'entrainement spécifiques, programmes de développement liés à la morphologie, aux pathologies, méthodes de récupération, oui on détecte mieux, on prépare mieux, on forme mieux coachs et sportifs, ça se voit dans le ski, le foot, le rugby, bref un peu partout). Ce qui ne veut pas dire que toutes ces méthodes sont parfaites ou n'ont pas de défauts, voire d'externalités négatives. Désolé pour le pavé !!
ak (11 janv. 2017) disait:
lematindusoir.ch
la photo avec collombin est mythique
alors ok, c'est pas l'actualité mais un peu quand même
inscrit le 01/12/12
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