Maxx640
Maxx640

inscrit le 04/05/07
38 messages
thierRydeUp (13 décembre 2007 13 h 58) disait:

Le joint ça peut pas être bon pour le ski, sinon il y aurai un team jamaïcain en FS.


Ils ont un team de bobsleigh, non? :)
thierRydeUp
thierRydeUp

inscrit le 05/10/07
972 messages
Matos : 1 avis
Oui il avait un team de bobsleigh (mais je savais pas l'écrire) et au dernier JO, il y avait 1 rastarockect embarqué dans un équipage canadien qui a été médaillé. Mais ca existe pas encore le bobsleigh FS en park, et en BC ça déjauge pas assez.
kamshc
kamshc

inscrit le 08/10/05
48 messages
Stations : 6 avis
grandsteack (13 décembre 2007 14 h 19) disait:

theSTYLER39 (12 décembre 2007 21 h 25) disait:

Mais laissez les voir tranquille!!! J'en entend un, un peu au dessus, qui dit que les pros sont des models pour des gamins de 12 ans, et qu'ils donnent une mauvaise image... Candide ou TH par exemple c'est leur vie! C'est leur vie privée et ça ne regarde personne. Je pense pas que leur objectif est de diffuser une image d'eux comme étant des gros bédaveurs! Ils fument, ils ont le droit, et je voit vraiment pas pourquoi on profiterait soit disant moins de la montagne... Alors yen a qui fument, yen a qui fument pas, mais arretons de caricaturer et de catégoriser! Apres la sécurité : OK la ya probleme c'est vrai.

Sinon pour repondre au sujet, sur le bedot et les freestylers, euh moi perso j'ai pas forcément l'impression qu'ils fument plus que les autres. Soit, ils l'affichent plus, suffit de voir comment les gens n'ont pas peur de fumer dans le snowpark.


si tu dis que TH ou candide ont le droit, tu te trompes. légalement la weed est interdite en France (et aux states pour TH). je ne discuterais pas de la loi, ici on parle de ski et de skieurs.
leur statut de star du ski fait qu'ils ont, que tu le veuille ou pas, un impacte sur le public qui les regarde. je trouve malheureux de démocratiser le surnom de candweed...
je me souviens d'un ITRW de pep fujas qui disait qu'il ridait beaucoup mieux depuis qu'il avait arrêter de bédav. continue-t-il ? je n'en sais rien, mais il a publiquement exprimé son désaccord sur ce point. je trouve qu'en terme de modèle, c'est plus sain.
oui sur un snowpark, ça bédav plus. parce que c'est une zone réservée à un certains type de pratiquant et que y'a moins de chance de se faire emmerder. tout en sachant que sur une session backcountry, ya encore moins de monde.

grandsteack, qui fuma, et ne fume plus, parce que ça ne sert ç rien.


+1
Tmac42
Tmac42

inscrit le 11/06/07
283 messages
matbzh68 (12 décembre 2007 22 h 03) disait:

ola olé
fumer c'est mal voyez
http://nsa01.casimages.com/img/2007/12/12/mini_0712120943221812877.jpg

Moi je dis pratiques ceux qui veulent sans atteindre autrui (nuire et influencer)!
Faut juste connaitre ses limites.....

Sur ceux bonne soirée
Et sujet buzz qui se retrouve bizarement dans cette partie


Servietsky ca c'est un bon!
benJ7
benJ7

inscrit le 06/10/05
221 messages
Matos : 2 avis
grandsteack (13 décembre 2007 14 h 19) disait:

grandsteack, qui fuma, et ne fume plus, parce que ça ne sert ç rien.

T'as raison çà ne sert pas plus à quelque chose que de boire une bière ou un verre de vin. En omettant le côté illégal, je ne vois pas la différence, et pourtant personne n'ira dire que boire un verre ne sert à rien.
j0j0
j0j0

inscrit le 02/07/05
2709 messages
benJ7 (13 décembre 2007 16 h 55) disait:

grandsteack (13 décembre 2007 14 h 19) disait:

grandsteack, qui fuma, et ne fume plus, parce que ça ne sert ç rien.

T'as raison çà ne sert pas plus à quelque chose que de boire une bière ou un verre de vin. En omettant le côté illégal, je ne vois pas la différence, et pourtant personne n'ira dire que boire un verre ne sert à rien.


un verre de vin par repas c'est bon pour la santé :)
alors qu'une clope bof :)
benJ7
benJ7

inscrit le 06/10/05
221 messages
Matos : 2 avis
j0j0 (13 décembre 2007 17 h 22) disait:

un verre de vin par repas c'est bon pour la santé :)
alors qu'une clope bof :)

Ok pour le vin, d'ailleurs j'adore çà, je viens d'une région viticole. Mais un verre de bière ? :)
Demonium1
Demonium1

inscrit le 06/02/06
55 messages
la drogue c'est de la merde ,surtout quand y en a plus ...
tenshu
tenshu

inscrit le 30/12/05
1598 messages
Maxx640 (13 décembre 2007 14 h 54) disait:

thierRydeUp (13 décembre 2007 13 h 58) disait:

Le joint ça peut pas être bon pour le ski, sinon il y aurai un team jamaïcain en FS.


Ils ont un team de bobsleigh, non? :)



t'es mort man ? ^^



lol jdis ca jdis rien..
scratchtaz
scratchtaz

inscrit le 02/01/04
922 messages
Matos : 1 avis
La bière c'est bon pour les courbatures et le joint c'est bon pour ne pas avoir mal quand tu prends des chocs. Ah oui aussi pour la créativité le joint. Demande aux handballeurs...
Non non je vous promets je ne fume pas et pourtant...
Freesuisse
Freesuisse

inscrit le 24/11/05
5612 messages
Matos : 1 avis
Demonium1 (13 décembre 2007 17 h 35) disait:

la drogue c'est de la merde ,surtout quand y en a plus ...


Ben ouais quuuuooooiiiiiii
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
freeheel_rider (12 décembre 2007 21 h 48) disait:






A méditer...sachant que l'on parle surtout du toxico et non du petit consomateur comme la plupart des gens je pense.






et à partir de quand t'es "toxico" selon toi?
SSSKI
SSSKI

inscrit le 15/01/07
318 messages
a partir du moment ou tes vraiment dependant selon moi
et pr le cana, faut vraiment pousser pr etre dépendant
darkridor
darkridor

inscrit le 15/06/05
4733 messages
Matos : 1 avis
c'est pa de la drogue le cannabis si on ne considere pas l'alcool ou les medoc comme en etant !!
dajou
dajou

inscrit le 02/06/06
1028 messages
SSSKI (13 décembre 2007 19 h 23) disait:

a partir du moment ou tes vraiment dependant selon moi
et pr le cana, faut vraiment pousser pr etre dépendant

Blaireau!
tu tends pas compte que t'es dependant!
j'arrete quand je veux!
mytho!
grandsteack
grandsteack

inscrit le 21/11/06
477 messages
la bière, ça désaltère ! (slogan du jour)

pour le vin, ça a déjà été dit mais un verre par jour est (parait-il, je ne suis pas médecin) bon pour la santé.
karamazofaucunlien
karamazofaucunlien

inscrit le 07/10/06
31K messages
Matos : 8 avis
Oui mais un verre par jour, ça pourrait pas s'apparenter a de l'alcolisme? :)
freeheel_rider
freeheel_rider

inscrit le 05/11/04
391 messages
ak (13 décembre 2007 18 h 45) disait:

freeheel_rider (12 décembre 2007 21 h 48) disait:






A méditer...sachant que l'on parle surtout du toxico et non du petit consomateur comme la plupart des gens je pense.





il n'y a pas vraiment de vrai definition je pense

qu'il y a addiction quand le mec est incapable de se controler son comportement et qu'il poursuit sa prise malgrès les conséquence néfast e de celui ci

mia sil faut prendre en compte tout l'environnement

sachant ausi que je dirai que tu es toxico à partir du moment ou tu as perdu la maitrise de ta consomation t que tu deviens progressivement dépendant avec des répercussion sur ta vie sociale (qui se détériore).

et à partir de quand t'es "toxico" selon toi?
karamazofaucunlien
karamazofaucunlien

inscrit le 07/10/06
31K messages
Matos : 8 avis
La toxicomanie (du grec toxikon = poison et mania = folie)[1] se traduit par un usage répété et excessif d'une ou plusieurs subtances toxiques (analgésiques et/ou psychotropes) sans justification thérapeutique. Cet usage s'accompagne d'un désir incontrolable de continuer à consommer le produit, accompagné d'accoutumance et de dépendance.[2]

Selon l'OMS, la définition stricte de la toxicomanie correspond à quatre éléments :

Une envie irrépressible de consommer le produit (Voir l'article détaillé addiction);
une tendance à augmenter les doses (Voir l'article détaillé tolérance);
une dépendance psychologique et parfois physique ;
des conséquences néfastes sur la vie quotidienne (émotives, sociales, économiques).

Merci Wikipedia.
grandsteack
grandsteack

inscrit le 21/11/06
477 messages
c'est bon ça, ça veut dire que je ne suis plus alcoolique ...
patron une bière pour feter ça ^^
karamazofaucunlien
karamazofaucunlien

inscrit le 07/10/06
31K messages
Matos : 8 avis
Oh ben oui mais si on commence a considerer la biere comme de l'alcool moi je demande "mais où on va là?" :)
SSSKI
SSSKI

inscrit le 15/01/07
318 messages
dajou (13 décembre 2007 20 h 27) disait:

SSSKI (13 décembre 2007 19 h 23) disait:

a partir du moment ou tes vraiment dependant selon moi
et pr le cana, faut vraiment pousser pr etre dépendant

Blaireau!
tu tends pas compte que t'es dependant!
j'arrete quand je veux!
mytho!


b moi jte dis que jai vraiment bcp fumé pendant un moment et que depuis septembre jen ai plus touché, jai plus touché a rien, et jai pas de problemes avec ça (aucune prétention genre regardez moi jai la classe car je fume). Donc pour dire que pour etre dépendant du canabis, faut yaller quand meme

C'est pas une drogue si tu compte pas l'alcool, le tabac et les médoc comme des drogues comme dit plus haut
karamazofaucunlien
karamazofaucunlien

inscrit le 07/10/06
31K messages
Matos : 8 avis
C'est clair que c'est plus facile de "décrocher" de la fumette que de bien d'autres substances, mais bon je dis pas ça dans le but d'inciter ou de minorer l'impact de cette drogue.
Personellement je vis beaucoup mieux depuis que je suis "clean".

Après, chacun trouves sa propre vérité...
G@utier
G@utier

inscrit le 06/10/06
40 messages
Bah en tout cas les gars, je sais vraiment pas comment vous faites pour rider apres vous être enfumés.
Perso, quand je suis perché quand je ride, ça me fait les jambes toutes moles. Alors de là a être plus performant sur un kicker...
Ca aurait plutot tendance a me faire partir en vrille dans tous les sens. Ah la c'est sur c'est de suite plus "créatif". :p
theSTYLER39
theSTYLER39

inscrit le 17/05/06
1973 messages
SSSKI tu as fumé beaucoup comment? Parce que ça dépend de ce qu'on entend par "beaucoup"... Pour pas qu'on se fasse des fausses idées.
dajou
dajou

inscrit le 02/06/06
1028 messages
theSTYLER39 (13 décembre 2007 21 h 57) disait:

SSSKI tu as fumé beaucoup comment? Parce que ça dépend de ce qu'on entend par "beaucoup"... Pour pas qu'on se fasse des fausses idées.

ça se trouve tu fume encore!
beaucoup comment,combien par jour?
a lalalala................
h2opolo
h2opolo

inscrit le 21/02/05
1178 messages
Matos : 3 avis
On dit enormement de merde sur ce post, le nombre de joints? LOL, ca depend si tu mets du tabac ou pas :P Faut arretez de dire de la merde... Il n y a pas que le cana qui a des valeurs medicales au vas ou ....
h2opolo
h2opolo

inscrit le 21/02/05
1178 messages
Matos : 3 avis
Dependant au bout de 5 joins par jour????? moi je dis nan, celui au quel on est devient le plus vite dependant c est celui du dodo...
ZeMoua
ZeMoua

inscrit le 16/05/06
1660 messages
Stations : 1 avis
h2opolo disait:
ca depend si tu mets du tabac ou pas :p

... non rien ;) !
didav
didav

inscrit le 10/01/07
4361 messages
Matos : 3 avis
kamshc (12 décembre 2007 20 h 51) disait:

soit dit en passant je vois pas trop comment on peux apprecier la montagne en etant high... rien de mieux que d'avoir l'esprit bien clair, ce qui sous entend aussi, de pas etre encore cuité de la veille ou defoncé a je ne sais quelle merde...
si ce que certains d'entre vous disent sur les pro et leur habitudes de defonce avant et pendant les rides, je n'ai aucun respect pour ces gens la. En temps que professionnels et "vitrine" de notre sport, c'est une honte d'afficher ce genre de chose. Ya des gosses de 12 ans qui sont fan de ses gens (suivez mon regard...) et on se retrouve avec des momes de cet age (donc qui n'ont pas les clefs pour gerer ce genre d'habitude) qui fume des bedos... je trouve ça triste comme exemple. mais la encore ça n'engage que moi, ne fumant plus un pet depuis 8 ans et n'ayant jamais touché a n'importe quelle autre drogue.


+1
pourquoi fumer des bédos en montagne? la beauté des cimes enneigées ne serait elle plus suffisante? :p
Tchi
Tchi

inscrit le 04/01/07
3408 messages
Matos : 1 avis
SSSKI (13 décembre 2007 19 h 23) disait:

a partir du moment ou tes vraiment dependant selon moi
et pr le cana, faut vraiment pousser pr etre dépendant


Lol... Y'a des questions simples à se poser, mais aussi ouvrir les yeux et éviter de se mentir à soi-même...

Le premier truc que vous faîtes en rentrant du boulot / cours? Vous rouler votre spliffe et vous le griller tranquillement avachi chez vous?

Quand vous commencez à être en rupture de stick, vous cherchez quand à vous réaprovisionner? Au bout de 2 semaines de dèche ou avant d'être en rade?

Vous vous rapellez de vos rêves? Vous avez les yeux "collés" quand vous vous réveillez?

Pour ceux qui ont stop la bédave, vous fumiez des clopes avant? A quelle fréquence? Et à quelle fréquence maintenant que vous ne touchez plus au cana? :)

Faut pas se voiler la face, le cana ne provoque pas de dépendance physique, tout du moins pas au début. La dépendance psychologique est quand à elle bien la, et n'est pas "minime" contrairement à ce que l'on veut bien laisser entendre.

Ah oui, posez vous la question en toute honnêteté avec vous-même... Vous fumez pour quoi? Par plaisir? Ou par habitude?
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
10 Chapitre 8 : La personne toxicodépendante
« J’ai le diagnostic, j’ai le traitement, il ne me manque que l’ordonnance »
Les mensonges qui tuent les drogués, p.242
Ce chapitre est consacré à la personne toxicodépendante. J’aurais pu utiliser le terme de toxicomane, ou encore de personne ayant des problèmes liés à sa consommation de drogue, ou encore, personne ayant un comportement toxicomaniaque. J’ai choisi le terme de personne toxicodépendante, car c’est celui que nous utilisons le plus fréquemment, avec mes collègues, au sein de l’association Argos. Ce chapitre est le cœur de cette recherche. Il défini et différencie tout d’abord le toxicomanie, la dépendance physique et psychique. Il se consacre ensuite au profil des personnes concernées par ce travail et une analyse de leurs réponses. Ce chapitre se termine par trois interviews et leurs analyses.
La personne toxicodépendante :
Toxicomanie : du grec toxikon, poison dont les flèches étaient enduites, et mania, folie. (Richard, Senon, 1999 : 406)
Ils sont proches de nous et pourraient être presque nous. La différence, c'est que nous, gens ordinaires, réussissons à nous rattraper, ou à nous renormaliser après une épreuve, un ratage, un coup dur. Eux, souvent, ils ne s'en sortent plus. Après une maladie, une transgression, une échappée, une séparation, un chômage, après toutes les misères de la vie ordinaire, ils descendent juste au-dessous du seuil de la vie normale et ils sont condamnés à y demeurer. Ils sont en général sans éclats, anonymes, hors mode, sans projecteurs d'actualité, dans la grisaille de la banalité. Et surtout, ils sont seuls.
Les personnes toxico-dépendantes sont très généralement considérées comme exclues. Certaines vivent dans la marginalité totale (il ne s’agit pas de l’ensemble des toxicomanes genevois, estimés à environ 2'500) et n’ont même plus accès aux petits boulots. (Ils sont concurrencés, aujourd’hui, dans des associations de réinsertion, par les chômeurs en fin de droits.) Il s’agit souvent de gens qui étaient déjà fragilisés, avant de tomber dans la toxico-dépendance. On peut noter l’augmentation de leur nombre d’une part et la complexité croissante de leur situation d’autre part. Cette dernière caractéristique est généralement liée au rétrécissement du marché du travail (y compris celui des petits boulots) qui obère gravement le versant professionnel de la réinsertion. Mais à côté de facteurs externes (économiques surtout), on distingue également des facteurs internes d’exclusion, liés au niveau de formation initial, au degré d’intégration culturel, ou encore à la solidité de la structure psychologique de la personne.
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
Une autre caractéristique générale propre à ces situations est qu’il est très difficile aujourd’hui d’en sortir, de « remonter la pente ». La démultiplication des vitesses au sein de notre société qui peut être comparée à un TGV, duquel il peut arriver que l’on doive descendre (suite à une rupture quelconque), mais qui s’éloigne à une telle vitesse que l’on est très vite, et définitivement, « distancié ». C’est que l’exclusion procède par « cumul de handicaps » et par enchaînement. Les personnes exclues paraissent d’abord être fragiles sur certains plans, comme l’intégration sociale et/ou familiale, le niveau de formation, etc., puis « basculent » à la suite d’une rupture, qui arrive très souvent (mais pas seulement) par le licenciement.
On pourrait distinguer trois mécanismes d’entrée dans la pauvreté que l’on retrouve largement dans les situations décrites pour Genève : l’empêchement, le basculement et la reproduction.
L’empêchement concerne surtout les jeunes dont le bas niveau de formation risque de les maintenir durablement aux portes de l’emploi stable, et donc dans des situations de précarité financière dont il sera difficile de sortir. Le basculement peut concerner toute personne en difficultés sur quelque plan que ce soit ; les ruptures interviennent le plus souvent au niveau de l’emploi et de la famille. Enfin, la reproduction ne constitue pas véritablement un mode d’entrée dans ces situations, puisqu’elle concerne des personnes dont la situation actuelle semble s’inscrire dans une histoire plus longue, des personnes généralement issues de familles restées à l’écart des phases de croissance antérieures. L’exclusion possède ainsi une faculté auto-génératrice, très souvent liée à la reproduction des difficultés scolaires, mais aussi à l’éloignement durable de tout réseau socio-relationnel relevant d’un autre milieu.
On peut noter enfin que, la plupart du temps, le dernier stade de ce processus d’exclusion n’est pas la marginalité totale (apparemment peu importante en nombre), mais surtout la dépendance, à l’égard des services sociaux principalement
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
10.1 Définitions
Il faut bien comprendre le contexte dans lequel on se situe. En effet, les contextes de consommation ne sont pas du tout les mêmes quand il s'agit d'usage, d'abus ou de dépendance.
« Toute substance qui, introduite dans l’organisme vivant, peut modifier une ou plusieurs de ses fonctions »
Dans un premier temps, dès 1957, l’O.M.S. a proposé deux définitions : l’une de la toxicomanie, en référence à toutes les substances soumises à contrôle et restriction dans les conventions internationales, l’autre, de l’accoutumance, en référence à des substances dont l’usage abusif présente un danger supposé moindre et qui ne tombent pas sous l’application de ces règlements (O.M.S., Série de rapports techniques, n° 116, 1957).
10.1.1 L’usage
L'usage est évidemment celui que l'on connaît pour l'alcool. Des millions et des millions de personnes consomment de l'alcool dans le monde et ne deviendront jamais des consommateurs excessifs, des « abuseurs » et donc des personnes dépendantes. Par conséquent, cet usage n'aboutit pas à des complications ou des dommages.
10.1.2 L’accoutumance
L’accoutumance à été définie comme « un état résultant de la consommation répétée d’une drogue ». Ses caractéristiques sont notamment :
· un désir (mais non une obligation) de continuer à prendre de la drogue à cause de la sensation de bien-être qu’elle engendre;
· peu ou pas de tendance à augmenter les doses;
· une certaine dépendance psychique à l’égard des effets de la drogue, mais l’absence de dépendance physique et par conséquent, pas de syndrome d’abstinence;
· les effets nuisibles qui, s’ils existent, concernent avant tout l’individu.
La définition de l’accoutumance contient la notion de dépendance psychique ou état dans lequel une drogue produit « un sentiment de satisfaction et une pulsion psychique à prendre la drogue de façon continue ou périodique pour obtenir du plaisir ou éviter un état de malaise ». (Eddy, Halback, Isbell, 1965 : 32, 723)
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
10.1.3 La toxicomanie
La toxicomanie a été définie comme « un état d’intoxication chronique ou périodique engendré par la consommation répétée d’une drogue, naturelle ou synthétique ». Ses caractéristiques sont notamment :
· un invincible désir du besoin de continuer à consommer de la drogue et de se la procurer par tous les moyens;
· une tendance à augmenter les doses;
· une dépendance d’ordre psychique et généralement physique à l’égard des effets de la drogue;
· des effets nuisibles à l’individu et à la société.
la toxicomanie fait appel à quatre notions distinctes:
L’accoutumance, la dépendance physique ou « état d’adaptation qui se manifeste par des troubles physiques intenses lorsque l’administration de la drogue est suspendue... Ces troubles, c’est-à-dire les syndromes de sevrage et d’abstinence, se composent de groupes de symptômes et de signes de nature psychique et physique qui sont caractéristiques de chaque type de drogue ». (EDDY et all., op. cit. supr.); la tolérance ou « phénomène d’adaptation caractérisé par une réponse diminuée à la même quantité d’une drogue donnée » (EDDY et all., op. cit. supr.). De plus, et c’est très important, cette définition fait appel à la notion de « danger social ». Bien vite cependant, on s’aperçut que ces définitions n’étaient pas opérationnelles, eu égard aux buts pour lesquels elles avaient été construites. (Varenne, 1971 : 27). Par exemple : le cannabis, les hallucinogènes, la cocaïne... ne provoquent pas (ou n’engendrent qu’exceptionnellement) de dépendance physique... alors que ces substances entrent dans la catégorie des substances soumises aux contrôles internationaux les plus sévères, puisqu’elles entrent dans la catégorie légale des « stupéfiants » Ou encore, l’usage abusif d’autres substances comme certains barbituriques ou l’alcool peut entraîner une dépendance psychique et une dépendance physique avec syndrome de sevrage, une tolérance de la part de l’organisme ... et de plus il présente un « danger social » évident. Ces substances sont donc susceptibles d’engendrer une toxicomanie, bien que n’étant pas sujettes à contrôle ni réglementations sévères.
Dès lors, dans un deuxième temps, se rendant compte de l’insuffisance et de l’inadéquation à certains cas des définitions proposées, et se basant sur le fait que le critère commun aux deux états (toxicomanie et accoutumance) est la dépendance, un Comité d’experts de l’O.M.S. chercha à approfondir cette notion.
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
10.1.4 La dépendance
En 1963, la définition suivante fut proposée : « état qui résulte de l’absorption périodiquement ou continuellement répétée d’une certaine drogue. Ses caractéristiques varient suivant les drogues ... », et il fut recommandé de substituer le terme « dépendance » aux termes « toxicomanie » et « accoutumance ». Suggestion retenue au niveau international, et en conséquence dans les modifications apportées en 1975 à la loi régissant la matière.
Cette nouvelle définition obligeait de décrire les caractéristiques des divers types de dépendances, selon les divers types de « drogues » Vers cette époque d’ailleurs, le « problème de drogue » prenait des proportions inquiétantes dans certains pays industrialisés et il n’était plus possible de ne pas tenir compte que certaines personnes « se droguent » aussi bien avec des « drogues » illicites qu’avec des médicaments obtenus de manière licite ou non, ou avec diverses substances obtenues en toute facilité dans n’importe quelle droguerie (solvants pour peinture, vernis à ongle, colle pour plastique, détachants ménagers) ou magasin quelconque.
On ne pouvait donc limiter la liste des « types de drogues » aux seules substances envisagées par les réglementations internationales ou législations nationales concernant les « stupéfiants ».
A ce sujet, un détail retient l’attention. Les définitions qui précèdent avaient été établies en anglais, langue dans laquelle le mot « drug » signifie aussi bien « médicament » que « drogues ».
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
alors je comprendrais tout a fait que vous ne vouliez pas tout lire... mais si le sujet vous interresse c'est assez complet :-)

source: mon boulot :-)
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
et si vous avez des questions précises... n'hésitez pas... ici ou en mp ...
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
10.1.5 La pharmacodépendance
Et, peu après 1969, année au cours de laquelle les experts de l’O.M.S. produisirent une définition de la pharmacodépendance, à savoir (O.M.S.; Série de Rapports Techniques, n° 407, 1969) : « Etat psychique et quelquefois également physique résultant de l’interaction entre un organisme vivant et un médicament, se caractérisant par des modifications du comportement et par d’autres réactions, qui comprennent toujours une pulsion à prendre le médicament de façon continue ou périodique afin de retrouver ses effets psychiques et quelquefois d’éviter la malaise de la privation. Cet état peut s’accompagner ou non de tolérance. Un même individu peut être dépendant de plusieurs médicaments », il fut spécifié qu’il fallait entendre, par « médicament (ou drogue) », « toute substance qui, introduite dans l’organisme vivant, peut modifier une ou plusieurs de ses fonctions », et que cette définition était « volontairement plus large que celles qui s’appliquent aux substances toujours administrées dans l’intérêt du sujet » (O.M.S., 1973).
En fait, après maints détours, on en était arrivé à faire un grand bond en avant en acceptant de revenir 3.000 ans en arrière, époque à laquelle, chez les Anciens Grecs, le mot pharmakon désignait indifféremment un remède qui guérit ou une substance qui tue, c’est-à-dire un médicament, une drogue ou un poison.
Dès lors, dans un troisième temps, le point de vue scientifique et la réalité sociale objective ayant résolument pris le pas sur les préoccupations juridiques et judiciaires, les experts de l’O.M.S., amalgamant « drogues » et « médicaments » et retenant la notion de dépendance, furent amenés à produire une définition enfin satisfaisante, à savoir celle de « substance engendrant une dépendance ».
Par « substance engendrant une dépendance », il faut entendre :
« toute substance pouvant produire dans un organisme vivant un état de dépendance psychique ou physique, ou les deux. Cette substance peut être utilisée à des fins médicales ou non médicales sans produire nécessairement de dépendance; les caractéristiques de celle-ci, une fois qu’elle sera installée, seront fonction du type de substance employé » ... « Un tel état n’est pas forcément nocif en soi, il existe cependant plusieurs types de substances qui, par la propriété qu’elles ont de stimuler ou de déprimer le système nerveux central ou de troubler la perception, l’humeur, la pensée, le comportement ou la fonction motrice, sont généralement considérées comme capables, dans certaines conditions d’emploi, de donner lieu à des problèmes pour l’individu, la santé publique et la société ».
Le glissement sémantique qui va de « morphinisme » à « morphinomanie », puis à « toxicomanie », correspond à un changement d’attitude radical. En devenant morphinomane, le morphinisme cesse d’être un phénomène privé, concernant essentiellement ceux qui en sont atteints, pour devenir un fléau social. Les morphinomanes ne sont plus seulement des malades, mais de dangereux prosélytes, qu’il va falloir mettre hors d’état de nuire. Cette transformation d’un usage purement privé en activité antisociale s’achève lorsque la presse invente, à la fin du XIXe siècle, le terme de « toxicomanie » pour désigner tous ceux qui abusent des drogues non traditionnelles en Occident. De la référence à un produit de prédilection, on est passé à la description d’une déviance : l’abus, forcément pervers, d’un produit toxique. (Mino, Arsever, 1996 : 82-83)
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
10.1.6 Dépendance physique
Selon une des hypothèses cherchant à expliquer les phénomènes de dépendance, le toxicomane cherche à maintenir des taux de drogue(s) suffisant(s) dans l’organisme, non seulement pour éprouver le plaisir et l’euphorie que procure la drogue du moins pendant un certain temps, mais aussi pour prévenir l’inconfort du sevrage, voire les douleurs physiques dues à celui-ci. Les substances psychoactives ne seraient pas consommées pour leurs effets positifs de renforcement mais pour les effets aversifs qu’elles viennent soulager, voire pour compenser des défaillances neurobiologiques induisant des états anxieux ou dépressifs (elles constituent alors une automédication). Nombre de données, expérimentales et cliniques, contredisent cette interprétation. D’une part, l’animal et l’homme commencent à s’administrer des produits addictifs ou continuent à le faire en l’absence de toute dépendance physique. D’autre part, il ne suffit pas d’induire expérimentalement une dépendance physique pour qu’un animal spontanément non appétant consomme la drogue. De plus, chez l’homme, notamment chez le sujet alcoolique, les périodes où le besoin de consommer est maximal sont souvent dissociées de celles où les symptômes de sevrage sont les plus sévères. Inversement, divers produits peuvent induire un syndrome de sevrage sans pour autant être addictifs. Par ailleurs, les études cliniques ont bien montrés que le traitement du sevrage est de peu de secours pour le traitement global de la dépendance. Enfin, l’hypothèse de l’automédication fait implicitement de la dépendance physique la simple conséquence de la tolérance, ce qui n’est pas toujours le cas.
Le substratum neurobiologique de la dépendance physique est loin d’être totalement établi. Certains auteurs ont proposé l’hypothèse selon laquelle dépendance physique et psychique seraient virtuellement indissociables, dès lors que l’on tente d’en identifier les éléments cellulaires et moléculaires. Cela est toutefois peu probable, puisque la plupart des drogues entraînent une dépendance psychique sans dépendance physique associées. Seul les opiacés, l’alcool, le tabac et les anxiolytiques induisent un syndrome de sevrage réellement caractérisé. En outre, les systèmes neuronaux et les processus mis en jeu dans les deux phénomènes sont distincts : la dépendance psychique résulte de la mise en jeu majoritaire, mais pas exclusive, des neurones contenant la dopamine et appartenant au système de récompense du cerveau : la dépendance physique est, quant à elle, liée en partie à la désensibilisation des récepteurs opiacés de la moelle épinière et à un dysfonctionnement probable du locus coeruleus. La dépendance physique est un phénomène d’autant plus complexe qu’elle peut faire l’objet d’un conditionnement de type pavlovien.
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
10.1.7 Dépendance psychique
La dépendance psychique, exclusivement motivée par le plaisir éprouvé lors de la prise de drogue, est liée à l’action prépondérante de cette drogue sur le système de récompense cérébral, autrement dit sur les neurones à dopamine et les structures qu’ils innervent. Les psychostimulants, les opiacés, le cannabis, la nicotine et probablement l’alcool stimulent tous, directement ou non, les voies neuronales contenant la dopamine, neuromédiateur impliqué entre autres dans le contrôle des conduites affectives et dans la régulation des états émotifs, en particulier le plaisir.
La dépendance psychique peut par conséquent être liée aux effets hédonistes des drogues, selon le schéma suivant : la première consommation du produit active le système de récompense et entraîne une « satisfaction » cérébrale, d’où une motivation à répéter l’expérience, ce qui, à son tour, active les systèmes exécutifs, décisionnels et moteurs et permet la quête d’une nouvelle expérience. Lorsque celle-ce est possible, le cercle vicieux de la dépendance psychique s’enclenche. Cependant, les limites de cette conceptualisation sont clairement marquées par des données cliniques et expérimentales. L’activation des neurones à dopamine n’est pas obligatoirement synonyme d’effet de récompense (le stress, par exemple, a de puissants effets activateurs de ce système). Il existe des substances (LSD, cannabis, nicotine, barbituriques) capables de stimuler la transmission dopaminergique mais dont les effets de récompense, sur le modèle animal, sont inconstants, faibles, voir nuls. Il faut également prendre en compte l’effet des drogues sur certains autres systèmes neuronaux, en particulier les neurones à noradrénalines et à sérotonine. Par ailleurs, chez l’homme, nombre de produits addictifs (nicotine, anxiolytiques, par exemple) n’ont pas d’effets hédonistes euphorisants, certains, dont les hallucinogènes, induisent même des états dysphoriques (instabilité de l’humeur accompagnée de malaises, d’anxiété et souvent de réactions colériques). D’autre part, les effets plaisants des drogues sont rapidement dépassés par les conséquences néfastes de leur consommation prolongée et le discours du toxicomane traduit souvent la souffrance d’avoir perdu sa liberté. Enfin, il est fréquent d’observer une dissociation évolutive entre le besoin de consommer, sans cesse croissant, et le plaisir de la consommation, sans cesse décroissant. La dépendance psychique est, à l’instar de la dépendance physique, soumise à un conditionnement de type pavlovien.
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
en gros c'est ça... :-)
Tchi
Tchi

inscrit le 04/01/07
3408 messages
Matos : 1 avis
ak (14 décembre 2007 11 h 39) disait:

en gros c'est ça... :-)


 
Enfin, il est fréquent d’observer une dissociation évolutive entre le besoin de consommer, sans cesse croissant, et le plaisir de la consommation, sans cesse décroissant. La dépendance psychique est, à l’instar de la dépendance physique, soumise à un conditionnement de type pavlovien.


C'est énorme... Hier discution chez des potes "putain on trouve plus de weed... Obligé de fumer du taga, j'y prend aucun plaisir mais bon, quand y'a rien d'autre"

J'ai la permission d'imprimer ton pavet? :)
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
Tchi (14 décembre 2007 11 h 43) disait:

ak (14 décembre 2007 11 h 39) disait:

en gros c'est ça... :-)


 
Enfin, il est fréquent d’observer une dissociation évolutive entre le besoin de consommer, sans cesse croissant, et le plaisir de la consommation, sans cesse décroissant. La dépendance psychique est, à l’instar de la dépendance physique, soumise à un conditionnement de type pavlovien.


C'est énorme... Hier discution chez des potes "putain on trouve plus de weed... Obligé de fumer du taga, j'y prend aucun plaisir mais bon, quand y'a rien d'autre"

J'ai la permission d'imprimer ton pavet? :)



sans problèmes :-)
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
pour une fois que ce que j'écrit interresse quelqu'un ;-)
gramouk
gramouk

inscrit le 07/01/05
15 messages
Wah! J'ai tout lu, c'est fort intéréssant ma foi.

Ayant une longue experience parfois quasi fusionelle avec la marie-jeanne, j'aimerais apporter une petite contribution. Le cannabis est une drogue qu'on le veuille ou non. Et le cannabis rend dépendant sans que l'on s'en rend compte. Un consommateur régulier (1 ou 2 joints par jour tou les jours suffisent), se trouve dans un monde agréable et reposant, qui n'est pas un probleme en soi quand tout se passe bien dans sa vie. Mais admettons que ce dernier ait des problemes (quelquonques), le cannabis est une solution rapide pour soulager sa douleur, et masquer les dits problemes. Le canna ne crée pas de problemes, mais n'aide pas quelqu'un en difficulté...il ne fait que repousser la résolution des problemes au lendemain.
C'est pour cela: Fumez quand vous etes bien, mais si vou vous sentez mal, évitez le canna - ca n'aide pas.

Cela fait 3 semaines que j'ai completement arrété le canna, depuis je fume des clopes (saloperie de tabac) et je bois beacoup plus qu'avant. Je ne ressens aucun manque, mais on sens un vide quand on a beacoup fumé.

Sinon j'adore fumer a la montagne car c'est mystique et la weed na pas le meme gout en altitude!!! Mais apres je ski comme une loque, je jump comme un zob. Alors je prefere cracker mon stick avant la derniere piste sur la terasse d'un bar avec un bon choc cho.

Perso je vois pas comment on peut mieux enchainer les tricks apres avoir bedav! A moins d'avoir de la putin de Haze de malade qui te speed a donf!

Alé je paye mon pékos au premier vnu cet hiver!!!
++++
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
gramouk (14 décembre 2007 12 h 59) disait:

Wah! J'ai tout lu, c'est fort intéréssant ma foi.




merci :-)
babar9003
babar9003

inscrit le 22/12/06
162 messages
Matos : 4 avis
bon sujet et très bonne analyse fort instructif!!!pour ma part je préfère le sport comme drogue!!parce que au moins comme ça je peux m'en prendre qu'à moi mm si je me plante pas d'excuse d'être défoncé!
FloF
FloF

inscrit le 03/03/07
927 messages
Matos : 2 avis
T'aurais pas des chiffres concernant les doses en % de THC par G avec des échelles et des tableaux et des graffiques de la mort qui tue ?
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
92K messages
FloF (14 décembre 2007 13 h 22) disait:

T'aurais pas des chiffres concernant les doses en % de THC par G avec des échelles et des tableaux et des graffiques de la mort qui tue ?



non j'ai pas ça... je suis plutot spécialisé en drogues dites "dures"... mais je sais que les taux de thc ont été multipliés par 10 en 20 ans, spécialement avec les cultures sous lampes, en intérieur.
mais je vais regarder si je trouve quelque chose là dessus...