iloan42 (13 juin 2007 10 h 39) disait:
lauthib.
Je trouve mal venue de la par d'un professionnel comme tu le prétend, de tout le temps nous donner, ho! pardont, de nous imposer ses façons de faire ou de ne pas faire et celui qui n'est pas d'accord et bien c'est un gros con...
1) Pas certain d’avoir compris
2) Etonnamment ce qui pourrait passer pour de l’humour noir ou de la provo dans la bouche d’un enseignant agrégé(e) passe pour de l’intolérance chez d’autres ???
3) Personnellement, j’ai peut être été, comment dirai-je, un peu lourd par excès de conviction. En revanche, je n’ai jamais insulté personne. Et l’usage de l’expression cassos par exemple, abréviation de cas social, est loin d’être un compliment ou une simple et banale provocation… Je n’ai donc jamais traité les gens de gros con ou de cassos.
Il est des gens qui dans le désaccord cèdent un peu rapidement à l’insulte déguisée, drapée du voile de l’offense, dans une tirade qui n’a rien a envier au « va je ne te hais point ». Je n’ai effectivement aucune leçon à donner ou à recevoir de ces gens.
S’il est des gens qui ont la chance d’avoir une assise sociale (et économique) suffisamment large pour pratiquer un loisir aussi onéreux, tant mieux. Et je le dis sans aucune arrière pensée ou effet de style. Pour d’autres, la compétition fut la seule alternative à l’impossible choix entre crever dans la ferme au pays ou perdre son âme à l’usine dans la vallée. Effectivement cela sont des gros cons de cas sociaux haïssable en tout point. Ils ne parlent pas couramment quatorze langues. Et pour cause, ils se sont déscolarisés pour le sport qu’ils aiment. Et j’ai bien dit ce sport pas les piquets. Car leur corps de cas social vibre encore tout autant à la mémoire des courses que des grandes ballades en peaux de phoque. Leur cœur palpite encore autant à la mémoire de cet indescriptible mélange de peur et de sentiment de puissance au portillon, qu’à la vue des marmottes gambadantes lors de la montée des estives.
Ces gens là répondent toujours oui, à celui qui demande « pourrais-tu regarder mon fils ? », « est-ce que je peux venir voir comment tu travailles ? ». Ces gens là ont toujours la main tendue vers celui qui voudrait être, un jour, en rouge mais n’ose pas… Il se reconnaîtra…
Vous êtes vous demandez, une seule fois pourquoi le ski était enseigné ainsi ? Pourquoi la course qui fut une fin est encore utilisée comme un moyen ? Leur avait vous-même demandé à ces cassos ???
inscrit le 13/01/07
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