Magnanski (13 mai) disait:
didounet13 (13 mai) disait:
Candidat à la présidence de la FIS en lieu et place de Gian-Franco Kasper lors du prochain congrès qui pourrait se tenir à Zurich en automne, Urs Lehmann s’est confié au Blick sur les chances que la prochaine édition de la Coupe du monde puisse se dérouler normalement. Il a souligné la nécessité de reprendre, quitte à ce que certaines courses se disputent devant des tribunes vides. Il plaide pour la recherche de solutions créatives, si tout ne se passe pas bien, par exemple limiter les compétitions à certains continents ou régions, restreindre la quantité de spectateurs admis, débuter la saison de Coupe du monde plus tard et la prolonger au printemps 2021. Voire se contenter de mettre sur pied des compétitions nationales si l’accès des athlètes aux sites devait s’avérer problématique.
Ses réflexions sur les disciplines sont également intéressantes, comme le rapporte le Kleine Zeitung .Pour le slalom, le géant, le superg et la descente 9 courses chacun, et 4 courses chacun pour le parallèle et le combiné, pour un total de 44 courses. Trop de races ? Le premier à être sacrifié serait les 4 combinés. Les parallèles doivent cependant être simples et faciles à comprendre pour les spectateurs, ainsi que parfaitement équilibrés pour être équitables pour tous les athlètes. Et il faut aussi un règlement clair et unique entre City Event, le slalom parallèle et les géants parallèles.Le président de Swiss-ski aimerait également emmener la Coupe du monde dans les pays où le ski se développe, la Chine en premier lieu, pour augmenter la base des pratiquants et des passionnés.
Bon on va dire que la première partie c'est une vision période de Covid et la seconde une vision générale.
Autrement si on limite les continents (donc moins de continents qu'aujourd'hui) mais qu'on va en Chine, ça veut dire qu'il faut enlever l'Amérique ou l'Europe ...
Ou alors c'est juste de la politique: on dit tout et son contraire pour ratisser large.
Le ski n'a peut être pas (plus) besoin de ça
Si tu veux une mondialisation des compétitions en même temps qu'une rationalisation des temps de transport, ce n'est pas compliqué. Tu distingues 3 zones géographiques et tu passes successivement de l'une à l'autre :
- Démarrage de la coupe du monde dans la zone Amérique du nord (E-U, Canada) de novembre à mi-décembre
- Les classiques Européennes de mi-décembre à février
- Le bloc Asiatique en Mars (Chine, Corée, Japon, Russie Orientale,....)
- Les finales début Avril
Je n'ai rien inventé. C'est un peu comme ça que fonctionne le tennis.
En tant qu'Européen, regarder à la TV les compéts Américaines le soir, moi ça me va. Il faudrait juste qu'un max d'épreuves Asiatiques aient lieu en nocturne. Dans ces conditions, ça peut être jouable.
inscrit le 06/11/11
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