Since1999 (29 nov. 2012) disait:
(...)
Je t'invite à te renseigner sur la loi de Parkinson, c'est le concept qu'on met en avant pour travailler sur l'otpimisation des ressources et la productivité.
Since1999 (29 nov. 2012) disait:
tu es un peu le mec qui pense que les heures sup peuvent être remplacées par des embauches, c'est à dire que ce qui est exceptionnel par définition deviennent récurrent par une embauche! Belle leçon de gestion!
byron (29 nov. 2012) disait:
Since1999 (29 nov. 2012) disait:
(...)
Je t'invite à te renseigner sur la loi de Parkinson, c'est le concept qu'on met en avant pour travailler sur l'otpimisation des ressources et la productivité.
Ha ha ha... Toujours dans le name dropping, comme parler avec des sigles, ça fait initié, tente ça à un séminaire de vrp, mais sur skiprout, t'impressionnes personne, la moule !
byron (29 nov. 2012) disait:
Since1999 (29 nov. 2012) disait:
tu es un peu le mec qui pense que les heures sup peuvent être remplacées par des embauches, c'est à dire que ce qui est exceptionnel par définition deviennent récurrent par une embauche! Belle leçon de gestion!
Bah, c'est pas comme si carrouf avait vraiment fait ses preuves dernièrement. Le titre valait 57 euros en 2007, il n'en vaut plus que 19. Et c'est toi qui va nous faire la leçon sur la gestion ???
byron (29 nov. 2012) disait:
Since1999 (29 nov. 2012) disait:
(...)
Je t'invite à te renseigner sur la loi de Parkinson, c'est le concept qu'on met en avant pour travailler sur l'otpimisation des ressources et la productivité.
Ha ha ha... Toujours dans le name dropping, comme parler avec des sigles, ça fait initié, tente ça à un séminaire de vrp, mais sur skiprout, t'impressionnes personne, la moule !
Since1999 (29 nov. 2012) disait:
byron (29 nov. 2012) disait:
Since1999 (29 nov. 2012) disait:
(...)
Je t'invite à te renseigner sur la loi de Parkinson, c'est le concept qu'on met en avant pour travailler sur l'otpimisation des ressources et la productivité.
Ha ha ha... Toujours dans le name dropping, comme parler avec des sigles, ça fait initié, tente ça à un séminaire de vrp, mais sur skiprout, t'impressionnes personne, la moule !
Je ne vois aucun acronyme dans mes phrases pour ta remarque précédante, ni name dropping ici, tout est bien écrit en français... Parkinson, c'est un mathématicien anglais du siècle d'avant qui a bossé sur les fonctionnaires en charge des colonies
Parkinson c'est du name dropping.
Pour ta culture : fr.wikipedia.org
Mr_Moot (29 nov. 2012) disait:
Since1999 disait:J'en connais une qui porte ce nom, et qui dit qu'une administration, au-delà d'un certain effectif, se met à fonctionner en circuit fermé.Je t'invite à te renseigner sur la loi de Parkinson
ça pose 10 cm à l'heure, le chasse-neige est en panne, et parait qu'en bas aussi c'est le bronx sur les routes et les rails, alors après-midi lecture, et au passage j'ai trouvé ça intéressant (pour Philippe et byron surtout) :
michaelmoglia.com
Merci à Libération de publier ce matin, dans une version un peu abrégée, ma lettre ouverte à Harlem Désir. En voici le texte intégral.
Cher camarade, cher Harlem,
Dans la nuit du 6 au 7 mai dernier, tu étais aux côtés de François Hollande sur l’immense scène installée place de la Bastille. Cette nuit-là, tu as senti l’espérance d’un peuple de gauche venu défier les appels presque unanimes à la résignation. Tu as vu ces dizaines de milliers de Françaises et de Français dont l’enthousiasme était une demande : celle que les Socialistes, revenus au pouvoir, parviennent enfin à changer la vie.
Je n’étais pas avec vous à Paris. J’ai fêté la victoire auprès de mes camarades dans le Nord. Mais déjà, cher Harlem, je n’y croyais plus beaucoup… Est-ce parce que nous avions déjà trop souvent déçu les nôtres ? Me doutais-je que nous nous apprêtions à le faire de nouveau, peut-être plus rapidement et plus brutalement que jamais ?
Je suis entré au PS à l’âge de 17 ans. La figure tutélaire de François Mitterrand, le poing et la rose, le combat contre les forces de l’argent, les 110 propositions : jeune militant, je revendiquais fièrement cet héritage.
Même lorsqu’il s’est éloigné de ses valeurs, j’ai continué de croire mon Parti capable de rénovation. Grâce à notre démocratie interne, la prise en compte des différentes sensibilités, l’écoute mutuelle, la camaraderie (notion aujourd’hui disparue), il me semblait possible d’ancrer à gauche notre ligne politique.
J’ai la tristesse mais enfin la lucidité, après vingt-trois années de militantisme, dont neuf au sein de la direction nationale du PS, de constater que je me suis trompé. Désormais je comprends à quel point les dirigeants du Parti Socialiste s’accommodent cyniquement d’avoir une aile gauche pesant en moyenne 15% lors des scrutins internes. Des personnalités telles qu’Henri Emmanuelli et Benoît Hamon autrefois, ou telles qu’Emmanuel Maurel aujourd’hui, ont simplement permis de maintenir, en façade tout au moins, l’image d’un vrai parti de gauche. Tel est le rôle d’Arnaud Montebourg au Gouvernement ; tel a été mon rôle dans le Nord. À un parti en pleine dérive idéologique, il fallait ses « idiots utiles ».
Depuis mai, sous le regard d’une Bastille incrédule, qui avait tant besoin de retrouver la foi dans le progrès social, François Hollande et le Gouvernement n’ont fait que reculer… sous les applaudissements de l’appareil socialiste.
Te souviens-tu seulement du projet que nous avons porté ensemble ?
Dès 2010, Benoit Hamon voulait substituer au mythe gentillet et creux de « l’égalité des chances » un retour à l’objectif historique de la gauche : l’égalité réelle entre tous les citoyens. Pour ce faire, il proposait une batterie de mesures sociales et sociétales ambitieuses.
Bien qu’ayant refusé d’adhérer à ce catalogue de mesure lorsqu’il était candidat aux primaires, François Hollande en avait finalement reprises plusieurs dans son programme présidentiel : le système d’attestations lors des contrôles d’identité, souvent vécus comme discriminatoires, l’encadrement strict des dépassements d’honoraires des médecins, le droit de vote aux étrangers pour les élections locales, la limitation des écarts de salaire de 1 à 20 dans les entreprises publiques. Sur chacun de ces sujets, le Gouvernement de Jean-Marc Ayrault a soit renoncé purement et simplement, soit reporté les réformes sine die, soit affadi leur contenu jusqu’à les rendre inutiles.
La liste des reculades, des incohérences et des échecs ne s’arrête malheureusement pas là. Le Gouvernement a renoncé à exiger le non-cumul des mandats dès 2012, malgré les engagements pris et signés par l’ensemble des parlementaires socialistes. La loi sur le logement social a été retoquée par le Conseil Constitutionnel pour vice de procédure. On a laissé entendre aux Maires qu’ils seront libres de ne pas appliquer la loi sur le mariage pour tous. La TVA Sarkozy, dite « sociale », décriée à juste titre pendant la campagne électorale, est revenue sous une autre forme à l’occasion de la remise du rapport Gallois. Enfin, on devine que le projet — pourtant central dans le programme de François Hollande — d’une « grande réforme fiscale » ne sera probablement jamais mis en œuvre pendant le quinquennat.
Certains choix semblent traduire le reniement de nos convictions les plus profondes. Malgré le courage et l’obstination de la Ministre Aurélie Filipetti, le Gouvernement a choisi de diminuer le budget de la culture. Ce serait grave en temps normal ; c’est catastrophique en temps de crise, car je reste persuadé que l’Art est le premier outil de combat — ou d’évasion — lorsque tout va mal.
La seule ligne directrice du Gouvernement porte un nom : l’austérité. Elle porte aussi un chiffre, comme une prison intellectuelle : 3%.
La droite n’a jamais tant aimé le PS ; Manuel Valls est plus que jamais sa coqueluche. Elle qui craignait tant François Hollande avant son accession au pouvoir, finirait presque par le trouver exemplaire de courage et de modernité !
Si nous en sommes là aujourd’hui, c’est par l’enchaînement d’une série de fautes que vous avez commises, main dans la main avec la droite, au sujet de l’Union Européenne. Vous n’avez tiré aucun enseignement de la large victoire du non au traité constitutionnel européen de 2005. Pour moi, ce décalage entre les dirigeants et la base électorale du Parti a été un premier motif d’interrogation et d’embarras.
Le second a été la promesse faite par François Hollande de renégocier le traité Merkel-Sarkozy. Et quelle renégociation ce fut ! Le Président de la République a trouvé le prétexte d’un « pacte de croissance » indolore et inopérant pour se rallier — ni vu ni connu, pensait-il sûrement — à la « règle d’or ».
En réalité, dans l’Europe que vous êtes en train de construire, ou dont vous acceptez passivement les règles du jeu, les Etats n’ont pas et n’auront bientôt plus aucune marge de manœuvre.
Les politiques européennes pèsent sur le budget de l’Etat. Et puisque les collectivités territoriales, privées de leur autonomie fiscale, vivent essentiellement de dotations de l’Etat, elles doivent désormais rogner sur leurs politiques, y compris lorsqu’elles relèvent de l’urgence. Dans les Départements, c’est la santé et le social qui sont touchés. Dans les Régions, c’est l’emploi, la formation.
Voilà pourquoi, Président de la Commission des Finances du Conseil Régional Nord-Pas de Calais, je ne peux pas cautionner la poursuite annoncée des baisses de dotations d’Etat aux collectivités, après l’avoir dénoncée sans relâche pendant les cinq années de mandat de Nicolas Sarkozy.
Ayant renoncé à transformer l’économie, les Socialistes pourraient encore se distinguer des libéraux et des conservateurs en s’intéressant à cette « France invisible » — celle que personne ne veut plus voir.
Cela a été dit et répété : le PS a oublié les ouvriers. Mais pas seulement eux. Au fond, vous partagez le diagnostic de Laurent Wauquiez : un parti de gouvernement doit s’adresser aux « classes moyennes » (car au moins elles votent). Les chômeurs, les précaires, les toxicos, les taulards, les prostitués, les paysans, les mères célibataires, les surendettés, les malades, les psychotiques, les handicapés, les sans-abris : les exclus de tous poils et les onze millions de pauvres qui vivent en France ne comptent pas, ou si peu.
Il faut d’urgence prendre des mesures fortes et symboliques. En 1981, ce furent les 39 heures, la retraite à 60 ans, la cinquième semaine de congés payés, l’abolition de la peine de mort, l’autorisation des radios libres… Que propose le PS aujourd’hui ? Le droit au mariage pour les couples homosexuels, pudiquement rebaptisé « mariage pour tous », est un pas dans le bon sens. Mais cette mesure seule ne suffira pas à apporter à la France la bouffée d’oxygène dont elle a tant besoin !
De deux choses l’une. Soit il n’y a qu’une seule politique à mener, que l’on soit de gauche ou de droite, et dans ce cas le PS s’est moqué des Français pendant dix années d’opposition, plus particulièrement pendant une campagne électorale toute entière axée autour de la promesse du changement (« maintenant ! ».
Ou alors une autre politique est possible, et dans ce cas qu’attendez-vous pour changer de stratégie ? Pour engager un réel dialogue avec les partenaires de gauche et retrouver le « talisman » de l’union, auquel François Mitterrand n’avait jamais renoncé ? Oserez-vous faire ce choix, ou bien donnerez-vous raison à ceux qui ont vu dans la discrète réception d’élus Modem à l’Elysée, il y a quelques jours, l’amorce d’un renversement d’alliance avec le centre-droit ?
J’ai le regret, cher Harlem, de quitter aujourd’hui le Parti Socialiste. Je le fais avec une grande tristesse mais aussi, en optimiste obstiné, avec l’espoir que vous retrouverez un jour la voie de la raison et le courage d’être de gauche.
Bah attends Byron, il travaille dur Maurice Levy, regarde il t'adresse meme ses meilleurs voeux pour 2013 :
youtube.com
Amusez-vous a cliquer a peu pres partout (son, plein ecran, aller plus loin dans la video, revenir en arriere, pause...)
Ouatitm disait:Bon, ben, comme il n'a pas le premier, ça fait deux points sur trois pour bydon. Et nous savons tous ce qu'il en est de sa réussite.Pour réussir le talent ne sert à rien,l'intelligence non plus faut juste un réseau béton (fils de est un bon début...), prétendre être de gauche et être un énorme hypocrite.
Ouatitm (13 déc. 2012) disait:
Les artistes qui réussissent sont par définition des gros enculés.
C'est encore pire que la finance, le monde de l'art. Pour réussir le talent ne sert à rien,l'intelligence non plus faut juste un réseau béton ( fils de est un bon début...), prétendre être de gauche et être un énorme hypocrite.
carambole disait:Je crois que l'ami Ouat' mettait surtout en avant le fait que des acteurs talentueux et qui ne réussissent pas, c'est très fréquent.Des acteurs ayant réussi durablement et n'ayant aucun talent tu en connais beaucoup ?
Mr_Moot (13 déc. 2012) disait:Je crois que l'ami Ouat' mettait surtout en avant le fait que des acteurs talentueux et qui ne réussissent pas, c'est très fréquent.
carambole (13 déc. 2012) disait:
Nous dirons que le talent est une condition nécessaire mais pas suffisante pour réussir, de nouveau durablement.
Ouatitm (13 déc. 2012) disait:
carambole (13 déc. 2012) disait:
Nous dirons que le talent est une condition nécessaire mais pas suffisante pour réussir, de nouveau durablement.
Il n'est absolument pas nécéssaire pour réussir ( dans le cas d'un artiste, être reconnu, vendu etc... ).
D'autant plus que le "talent" d'acteur se jusge à l'aune d'un référentiel ( Un acteur bollywood, un acteur de blockbuster et un acteur de Lars von Triers, c'est pas le même talent )
La réussite : c'est le réseau, les opportunités ( la chance donc ), et surtout, surtout l'ambition qui en est le carburant.
carambole (13 déc. 2012) disait:
Ouatitm (13 déc. 2012) disait:les opportunités ( la chance donc ),
Les opportunités il faut aussi pouvoir et savoir les saisir !!!
Ouatitm (13 déc. 2012) disait:
Ceci dit je comprends que les personnes ayant "réussi" préfèrent penser qu'elles le doivent à des capacités personnelles plutôt qu'à un environnement favorable, une ambition personnelle et une dose de réussite.
C'est étonnant d'ailleurs qu'elles t'expliquent qu'il faut un truc, sans jamais être capable de pouvoir le définir précisément.
Ouatitm (13 déc. 2012) disait:
Since1999,
tu es un mauvais exemple, tu es pétri de talent et tu n'as pas réussi.
Un raccourci, c'est un chemin plus court. Un rasoir d'Ockham donc...
Faire plus long n'a pas de sens.
inscrit le 10/09/12
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