byron (24 janv. 2013) disait:
"Nous nous glissons ensemble dans le lit, je m'emboîte en lui, je me serre contre lui. Très lentement, très précautionneusement, nous cherchons, nous approfondissons. Tout ce que je donne à cet homme, que j'ai rendu à l'enfance, que j'ai rendu à l'innocence, c'est du bonheur et de la liberté, je les lui prends aussi. Nous redevenons consubstantiels l'un à l'autre. Nous achevons d'être la chair née d'une même chair."
HA ha... Sérieux rico, tu classes ça en "littérature" et en "érotique" ?
Oui. Chacun ses sales goûts. Je n'exige pas que tu aimes, de quel droit exiges-tu que je n'aime pas. Je ne t'impose pas mes goûts en suggérant quelques titres que j'ai aimé. Ton avis de merde sur la question je m'en contre-fout. Surtout quand pour changer tu n'expose pas tes goûts, mais tu dégommes les miens sur l'autel de ta sacrosainte connerie.
Ca ne prouve rien (en matière de goût personne n'a rien à prouver à personne), sinon tout de même qu'on est loin de ta perception blasée/boboparigobigote sur ce roman quand on sait de quoi on parle : le cours d'une chercheuse universitaire sur la question.
alexandra-destais.fr
Comme quoi certains partagent mon avis... Le style c'est une chose, et franchement j'ai lu des choses bien pires que ce que tu cites ci-dessus Ducon, mais le livre dans son époque, le fait qu'une femme écrive ça à la fin des années 50, que ce soit probablement en partie auto-biographique, que l'éditeur l'ai publié sans même avoir rencontré l'auteure, que des années après on doute encore qu'une femme ai pu écrire ça, qu'à la même époque Pauline Réage (pseudo de Dominique Aury travaillant à la Nouvelle Revue Française) publie Histoire d'O et n'avouera qu'en 1994 en être l'auteure, etc... Moi ça m'intéresse aussi.
Et puis surtout, évite de te positionner en missionnaire du goût sûr, ça te va comme un string panthère à un pingouin.
inscrit le 23/11/05
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