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Je pense que oui. Il y a plein d’exemples
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La vision du sport ne s'apprend que par l'expérience. En football, rien de comparable vu les investissements ils embauchent dans beaucoup cas des manageurs accomplis par manques de coachs investis dans le ce sport.

Je vais m'offrir une coach en relaxation de haut niveau.
Zanza37
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cgi38 (12/04/2025) disait:

Dommage que ce post soit pollué par des interventions nauséabondes, car le reste des messages est très intéressant.

J'ai fait l'UCPA et le Greta il y a 13 ans. C'était à l'époque ma conseillère pole emploi qui m'a orienté là dedans. J'avais 25 ans et j'avais passé mes deux années de Master en Economie à Grenoble à skier plus de 70 jours par an. Bon j'ai loupé le test 6 fois, j'étais tout juste au niveau mais ça reste une course avec un vrai enjeu, pas si simple.

L'avantage de ces formations c'est que tu touches de près le métier, tu alternes entrainement et encadrement. Honnêtement, avec le recul (40 ans maintenant), je sais pas si ce métier était pour moi. Disons le clairement, j'aime trop skier pour moi et mon plaisir, j'aurais perdu la passion je crois.

Par contre l'envie d'en découdre dans les piquets m'a reprise cette année. Passé un certain niveau il faut quand même faire beaucoup de kilomètres sur les skis pour progresser, je dirais que c'est ça le plus important, être sur la neige le plus possible en alternant les entrainements en tracés, le ski libre sur piste et en toute neige.

Tu es "encore" jeune, si tu es passionné par le ski et l'enseignement, lance toi! On a qu'une vie et il faut parfois faire des sacrifices.

Concernant le niveau du test technique, je dirais assez simplement qu'il faut être dans la même demi seconde que le moniteur ESF (avec un handicap de 6) qui ouvre un chamois. Il y a bien entendu des holds up tout les ans, mais globalement pour être au niveau test, il faut être assez largement sous les 10 points open. Mais on peut aussi kiffer le ski et la race en se fixant des objectifs moins ambitieux et plus en adéquation avec l'investissement que l'on peut consacrer à ce sport. Perso je vais faire en sorte de (ré;)obtenir le Chamois d'or, descendre sous les 20 pions open et 210 pions FFS pour 2026 😉


Parcours intéressant mais du coup l'UCPA + Greta, il n'y a pas une limite d'âge ? Comment se décout pait ta journée en gros ?
C'est marrant mais tu vois rarement les prérequis pour le tests technique pour l'obtenir sur le net parlant d'être dans le temps grosso modo d'un ouvreur niveau chamois d'or dans la 0.5sec, je comprends mieux.

Sinon pour tes objectifs, t'as mis en place une routine pour retourner souvent au ski ? Tu vis dans le coin ?

derdide (12/04/2025) disait:

Salut

Oublie le monitorat. Tout ce que tu écris dit clairement que ce n'est pas ton "truc", et la seule motivation qui ressort c'est de passer le TT, donc strictement liée à la compétition et au fait de faire un temps dans un tracé. Outre le métier lui-même (un moniteur n'est pas un "skieur professionnel", c'est un "professionnel du ski", et sa profession, c'est d'enseigner), il y a tout l'aspect changement total de style de vie, et ce dès la formation et même auparavant pour passer le TT, que tu ne souhaites clairement pas envisager. Ce n'est pas un jugement de valeur, je pense que parmi nous, les "touristes++" ici, chacun a clairement envisagé cette question une ou plusieurs fois au cours de sa vie, et l'a mise de côté, pour plein de raisons différentes.
Là où c'est trompeur, c'est le contexte: si on comparait un moniteur de ski à un moniteur d'auto-école, ça signifierait que les moniteurs d'auto-école ont un niveau de compétition en rallye et en F1, et que quand ils ont une heure de pause, ils peuvent aller prendre leur bolide et aller faire 3-4 tours de Monaco ou au Tour de Course, librement, sans contrainte de radars ou autres. Quand tu es passionné de bagnoles qui va faire une journée par an sur circuit, ça fait rêver. Et oui, certains monos proposent justement des stages sur circuit, mais c'est rare. L'essentiel de leurs journées, c'est d'enseigner le code de la route et d'apprendre à des post-ados à ne pas confondre la pédale d'embrayage et la pédale de frein. J'arrête là l'analogie, elle a ses limites.

L'autre aspect: pour s'améliorer en ski sur tracé, c'est fondamental de faire des stages et des tracés chronométrés, mais c'est loin de suffire. Il faut aussi passer beaucoup de temps sur les skis, en libre, sur piste mais aussi en hors-piste. Et pas que en poudreuse mais aussi (surtout?) dans de la neige "non préparée". Déjà, c'est la meilleure préparation physique que tu peux envisager - la salle, c'est bien, mais skier, c'est mieux. Mais aussi, la mémoire musculaire en général mais aussi pour toutes les situations "nouvelles" ou imprévues, même dans le tracé, c'est fondamental (pour illustrer: le saut de Bailet à Crans ou la "chute" de Gamel Seigneur à Kvitfjell, exemples extrêmes s'il en est et où la chance a joué son rôle, mais pour montrer que tout ne se passe pas toujours comme prévu).

Ta demande se résume à "comment devenir meilleur skieur" et la réponse est simple et unanime: skie plus. Autant que possible, et ne vise pas (que) les stages. Et oui, ton principal souci, c'est que c'est difficile parce que tu as des contraintes. Tu sais quoi? Nous aussi.

Raimundo et son "voisin", ils habitent à Nantes (en Bretagne 👀 ) et eux aussi, ils ont des vrais jobs où tu peux pas partir sur un coup de tête, des familles, etc. mais ils skient 20 à 30 jours par an. Ils traversent plusieurs fois par hiver la France pour skier dans les Alpes même pour des weekends, ils vont une ou deux fois dans les Pyrénées, etc. Et je passe les discussions avec Madame ("Quoi, tu repars skier? Non mais tu fais chier à jamais être là le weekend pendant que je m'occupe des gosses!";), les discussions avec le patron ("Une augmentation? Ah mais Raimundo, je dois faire des choix et Durand, lui, il est là quand il faut, il est disponible le weekend et lui ne s'absente pas 2 mois pour cause d'accident de genou";), les discussions avec le banquier/la famille/les copains/etc.

Bref, je rejoins ak sur un point: quand on veut "vraiment", on peut. Et je ne veux pas minimiser la chose: changer de lifestyle, c'est dur.

Mais tu as une chance incroyable: de ce que tu dis, tu vas déménager dans une station de ski dans l'Idaho. Pour beaucoup d'entre nous, you're living the dream.


Merci du retour :) Disons que le monitorat de ski est quand même un des rares diplômes ou le niveau est aussi élevé en tant que compétiteur pour te demander de faire de l'enseignement que ce soit dans l'investissement mental, financier et physique. Si je compare avec ce que je connait du tennis ( j'ai été 15/1 en étant jeune) et le prérequis en classement était de 15/2 pour le DE à l'époque ce qui nécessite bien moins d'investissement nécessitant une changement de vie que le ski... ( Mouratoglou n'a pas fait mieux que 15/1 il me semble, à confirmer)

Si on revient sur ton analogie qui portait plutôt sur l'enseignement à un "bas niveau" de tes compétences au lieu de "dérouler" à ton niveau, j'entends et faut du coup avoir cette fibre...

Pour l'amélioration du ski... Je découpe toujours mes journées sur du piquet en 1/2 journée et le reste en libre... mais piste et oui je fais que trop peu de poudreuse/hors-piste. Je dois me mettre des croyances limitantes mais je me dis qu'il y a déjà tellement d'éducatifs à faire sur piste que j'ai pas le temps de faire de la poudreuse ou hors piste pour bosser et que ça serait moins efficace ( erreur ?)

Après je t'avoue que skier 20 à 30 jours me parait cohérent pour un mec de la plaine, vu que j'en ai fait 20 moi même juste en investissant un peu + de temps et d'argent derrière et que je me vois bien en rajouter quasi une dizaine aussi année prochaine ( avant déménagement potentiel) mais passer 50 jours ou + me parait impossible sauf si tu changes ton rythme de vie complètement... là ou un moniteur d'auto école ( pour reprendre l'exemple :) ) ou bien un aspirant entraineur de tennis n'en a pas besoin, ce qui rend la chose frustrante....
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Blacksite (12/04/2025) disait:

La question que je me pose : est-ce que c'est possible d'être un bon coach sans être un bon skieur ?

En football, beaucoup de grands entraîneurs n'ont pas eu de grande carrière de joueurs, mais est-ce que c'est possible en ski ?


Perso je crois qu'il faut avoir un minimum de niveau pour être un bon coach, mais tu ne dois pas forcément être un skieur exceptionnel. Dans mon école je ne suis pas le meilleur skieur, mais je suis considéré comme un excellent coach et ce n'est pas un cas isolé.

Par contre à contrario, ici en Suisse beaucoup de coach passent par la JS qui est un système de formation non professionnalisant un peu à l'image des formation fédérale de moniteur en France. Et les clubs qui ont pas les fonds pour payer un coach professionnels payent des formations JS aux parents dans le club.

Et là y a un peu de tout, mais ça arrive vraiment souvent que le "coach" n'ait pas un niveau assez élevé pour savoir comment élever celui de ses apprenants.

En gros, les aspects techniques et tactiques de la courses sont tellement élevé, que c'est pas si simple à la fois de pouvoir démontrer les différentes technique et encore plus de l'enseigner.

A l'inverse, je trouve qu'en France il y a souvent le phénomène opposé. Quand je me suis entraîné en France a l'époque ou j'ai passé mon test technique j'ai eu des coachs ayant un niveau largement suffisant pour me coacher. Mais cependant, ils n'avaient pas tant que ça travaillé sur leur capacité à retransmettre leurs connaissance.

Je crois donc qu'il y a un standard technique et tactique minimum à avoir, mais qu'il faut le coach ait porté autant d'intérêt à la retransmission.

J'ai écris l'année dernière trois articles sur le monitorat et le dernier parle de mon expérience personnelle et du coaching.
skipass.com

Ca ne veut pas dire que j'ai raison, mais c'est mon point de vue sur le sujet.
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Merci Manoushlight ! :)
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Zanza je t'ai envoyé un mp, je n'arrivais pas à lire le tiens. J'ai du temps ce matin ou demain en journée. Après je vais être bien occupé la semaine pro.

Concernant le niveau de moniteur de ski, je suis pas tout à fait d'accord, le niveau n'est en soit pas si élevé.

C'est juste que le point de comparaison n'a rien avoir avec ce qu'on a dans d'autres sports.

Si en foot ou en tennis, un type qui fait 15 fois par an du tennis avec des potes, sans jamais avoir fait de compet ou d'entraînement compétitif devait enseigner le tennis ça paraîtrait tout aussi ridicule me semble t'il.
Si un type qui nage quelques longueur quand il est avec sa famille pouvait devenir maître-nageur ça paraîtrait également insensé.

Le niveau requis pour être moniteur de ski est super élevé car on la compare à un niveau de touriste. Mais, si on le compare à niveau de club, ce n'est rien d'exceptionnel.

Parcontre, la différence c'est qu'en ski on va également enseigner à un niveau très bas et souvent a des gens qui ne font aucun autre sport que le ski. C'est en ce sens que ce n'est pas très logique de faire faire du piquet comme moyen d'entrée en formation.

J'aime mieux l'idée d'avoir différent niveau de certification et d'avoir un niveau d'entrée qui n'est pas très technique mais plus pédagogique.

Ensuite lorsque la personne évolue dans la profession elle peut aller plus loin ce qui la rend compétente pour enseigner à des niveaux plus élevé.

Chaque système à ses limites, mais je trouve que ce fonctionnement est bon et c'est pourquoi j'aime le système suisse.

Je préfère le système Suisse mais je trouve qu'il manque de protection concernant les diplômes étrangers et que le taux de breveté devrait être plus elevé.

Il y a certaines dérives comme des moniteurs ayant été formé en Angleterre par le BASI qui ont un niveau vraiment excecrable et qui obtiennent facilement le droit d'exercer en Suisse.

Il y a aussi des écoles qui engagent un taux de diplômé à la limite du légal voire illégal et qui préfèrent payer des amendes tant cela rapporte plus d'avoir des personnes peu diplômé dans l'école.

Je trouve qu'il faudrait du coup plus de protection et des obligations plus fortes, mais parcontre je trouve ça bien de rendre la profession accessible à des skieurs moyens, si c'est pour enseigner à des débutants. (moyens j'entends un niveau flèche de vermeil).
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Matiouf (12/04/2025) disait:

On a beau avoir l'habitude, je suis toujours déconcerté par tes interventions ak, vis a vis des nouveaux membres qui posent des questions. Questions parfois maladroites, incomplètes, mal ficelées, voire innocentes, mais qui ont le mérite d'être et de soulever des problèmes, d'ouvrir ou fermer des portes... Il y a parfois des problèmes d'égo, de sur/sous estimation de soi qui peuvent apparaitre... et toi, tu enfonces le clou sans la moindre empathie... C'est lourd!
En l’occurrence, tu n'as pas tord sur le fond, il semble que notre ami, bien que ne pratiquant pas beaucoup, a la fibre ski, visiblement race et pas forcément la fibre de l'enseignement.
Quand il ski en libre, il pense piquets, c'est sa vision et c'est respectable, même si je ne la partage du tout. Pour moi, faire du piquet, n'est pas une finalité en soi, mais un jeux qui permet d'affiner sa technique, profitable à une pratique du ski bien plus élargie, mais on est tous différents, je respecte cette différence... Par-contre, il peut évoluer et s'ouvrir à autre chose, cette discussion peut le faire avancer (ou pas) et lui permettre de planifier et d'envisager sa pratique autrement... voire de changer de vie pour assumer cette passion montante...



Là ou plusieurs n'ont pas compris le sens de mon topic ( je reconnais qu'il y a du flou mais n'est-ce pas normal lorsqu'on n'est pas renseigné et qu'on cherche des infos ? ), je suis justement là-dessus comme tu l'as décris. Je reconnais que dans ma tête, je pense bien davantage à de la race et que j'avais toujours vu le monitorat comme une suite logique de la race ( TT + Eurotest et le reste si studieux ça passe, j'extrapole méchamment je sais...) alors que la perspective n'était pas celle là à avoir si on tend vers le monitorat ( je comprends mieux l'abandon rapide de pas mal de certains nouveaux monos en raison du manque de cette fibre). Dans tous les cas, on reste dans l'idée de skier davantage et c'est là-dessus que je veux tendre.

cgi38 (12/04/2025) disait:

Concernant le choix du matos, si ton but c’est devenir plus rapide dans un tracé, ne quitte pas tes skis de SL et Géant mais skies avec ce matos sur tout les terrains. Quand tu seras à l’aise avec tes géant dans 40cm de poudreuse ou de la neige degueu en HP, tu seras forcément plus vite dans les tracés. Perso, quand je m’entraînais pour le TT c’est ce qui m’a le plus apporté. C’est pas toujours plaisant ok mais efficace. Et parfois quand les conditions sont parfaites, tu sors les gros skis comme récompense et tu voles littéralement sur la neige 😍


Ah là encore croyance limitante et même porté par les monos + stage.
On m'a toujours dit " si jamais t'emmène des slaloms en poudreuse, tu vas te prendre des chutes de fou ne fais pas ça"
"N'emmène pas des rayons de 23 dans de la bosse, tu pourras pas les tourner et c'est pas utile)

ça serait plutôt formateur quitte à ce que la technique se dégrade ?

Et merci de l'info pour le JS.
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Manoushlight (13/04/2025) disait:

Zanza je t'ai envoyé un mp, je n'arrivais pas à lire le tiens. J'ai du temps ce matin ou demain en journée. Après je vais être bien occupé la semaine pro.

Concernant le niveau de moniteur de ski, je suis pas tout à fait d'accord, le niveau n'est en soit pas si élevé.

C'est juste que le point de comparaison n'a rien avoir avec ce qu'on a dans d'autres sports.

Si en foot ou en tennis, un type qui fait 15 fois par an du tennis avec des potes, sans jamais avoir fait de compet ou d'entraînement compétitif devait enseigner le tennis ça paraîtrait tout aussi ridicule me semble t'il.
Si un type qui nage quelques longueur quand il est avec sa famille pouvait devenir maître-nageur ça paraîtrait également insensé.

Le niveau requis pour être moniteur de ski est super élevé car on la compare à un niveau de touriste. Mais, si on le compare à niveau de club, ce n'est rien d'exceptionnel.

Parcontre, la différence c'est qu'en ski on va également enseigner à un niveau très bas et souvent a des gens qui ne font aucun autre sport que le ski. C'est en ce sens que ce n'est pas très logique de faire faire du piquet comme moyen d'entrée en formation.

J'aime mieux l'idée d'avoir différent niveau de certification et d'avoir un niveau d'entrée qui n'est pas très technique mais plus pédagogique.

Ensuite lorsque la personne évolue dans la profession elle peut aller plus loin ce qui la rend compétente pour enseigner à des niveaux plus élevé.

Chaque système à ses limites, mais je trouve que ce fonctionnement est bon et c'est pourquoi j'aime le système suisse.

Je préfère le système Suisse mais je trouve qu'il manque de protection concernant les diplômes étrangers et que le taux de breveté devrait être plus elevé.

Il y a certaines dérives comme des moniteurs ayant été formé en Angleterre par le BASI qui ont un niveau vraiment excecrable et qui obtiennent facilement le droit d'exercer en Suisse.

Il y a aussi des écoles qui engagent un taux de diplômé à la limite du légal voire illégal et qui préfèrent payer des amendes tant cela rapporte plus d'avoir des personnes peu diplômé dans l'école.

Je trouve qu'il faudrait du coup plus de protection et des obligations plus fortes, mais parcontre je trouve ça bien de rendre la profession accessible à des skieurs moyens, si c'est pour enseigner à des débutants. (moyens j'entends un niveau flèche de vermeil).


Disons que j'abuse volontairement mais pour revenir au DE de tennis, l'investissement est certainement moindre quelque soit son emplacement géographique en France et celà pour tous les aspirants là. Tu peux viser 15/2 certes tu auras besoin de moyenes financiers (entre le cordage les raquettes, les tournois, les cours) mais bien plus "abordable" que le ski La différence notoire , qui fait toute la différence, est celle-là on ne l'invente pas c'est que le monitorat c'est du niveau moyen pour un ski club qui lui a déjà des avantages de par sa fréquence de ski :)

Après j'entends qu'il faut mettre en place un gros changement pour se permettre une telle fréquence, je pense juste qu'il n'y a pas besoin d'aller dans ces extrémités là sur d'autres DE sportifs.

Je suis d'accord sur la suite mais en soit, concernant la France, n'est-ce pas pour ça que le TT + prefo te donne le droit d'enseigner jusqu'aux 3èmé etoiles justement sans que tu sois un énorme compétiteur ( 3 ans seulement il me semble) ? ( même si faut le valider le TT...),

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Zanza37 (13/04/2025) disait:

Ah là encore croyance limitante et même porté par les monos + stage.
On m'a toujours dit " si jamais t'emmène des slaloms en poudreuse, tu vas te prendre des chutes de fou ne fais pas ça"
"N'emmène pas des rayons de 23 dans de la bosse, tu pourras pas les tourner et c'est pas utile)

ça serait plutôt formateur quitte à ce que la technique se dégrade ?

Et merci de l'info pour le JS.


Ouais, je l'ai aussi écris dans la partie 3 de mon article. Mais pour moi faire que du piquet c'est un bon moyen de pas évoluer.

La poudreuse, le freestyle, les slopetricks, les bosses, le ski libre sont ultra important dans le développement technique.

Les 23m sont super en hors piste, ça porte bien et tu comprends bien comment faire le mouvement pour sortir de la poudre quand des skis type race. Cependant avoir des fats c'est bien aussi, car si tu fais des cliffs ou des sauts, c'est qd même un peu dangereux avec les skis type race.

Je précise aussi que le rayon importe assez peu dans les bosse car tu ne tourne pas par le rayon de tes skis, mais en utilisant la bosse.... c'est la bosse qui te fais tourner. Les skis droits sont super bien pour les bosses par exemple.
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Pour l’UCPA, il y a avait à l’époque (2010-2011):
- 2 semaines de prépa physique en octobre
-6 semaines de ski à tignes en novembre décembre
- passage TT décembre ou janvier
- des entraînements hebdos sur le centre d’affectation
- 2 semaines d’entraînement avant la deuxième session de TT
Voilà en gros.
Très peu de candidats sont pris à plus de 30 ans. Il y a l’aspect physique d’une part et la vie en collectivité d’autre part.

Pour le niveau du TT, c’est un constat perso, il y a des exceptions, mais globalement les ouvreurs ESF de chamois ont le niveau du TT avec une petite marge (sauf ceux avec un handicap à 0 bien entendu). Donc se présenter au TT sans rentrer très largement le chamois d’or (dans plusieurs stations avec 2 à 3s de marge) me paraît compliqué.
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Manoushlight (13/04/2025) disait:

Zanza37 (13/04/2025) disait:

Ah là encore croyance limitante et même porté par les monos + stage.
On m'a toujours dit " si jamais t'emmène des slaloms en poudreuse, tu vas te prendre des chutes de fou ne fais pas ça"
"N'emmène pas des rayons de 23 dans de la bosse, tu pourras pas les tourner et c'est pas utile)

ça serait plutôt formateur quitte à ce que la technique se dégrade ?

Et merci de l'info pour le JS.


Ouais, je l'ai aussi écris dans la partie 3 de mon article. Mais pour moi faire que du piquet c'est un bon moyen de pas évoluer.

La poudreuse, le freestyle, les slopetricks, les bosses, le ski libre sont ultra important dans le développement technique.

Les 23m sont super en hors piste, ça porte bien et tu comprends bien comment faire le mouvement pour sortir de la poudre quand des skis type race. Cependant avoir des fats c'est bien aussi, car si tu fais des cliffs ou des sauts, c'est qd même un peu dangereux avec les skis type race.

Je précise aussi que le rayon importe assez peu dans les bosse car tu ne tourne pas par le rayon de tes skis, mais en utilisant la bosse.... c'est la bosse qui te fais tourner. Les skis droits sont super bien pour les bosses par exemple.



Alors je suis pas d’accord pour le ski de bosses. C’est pas la bosse qui fait tourner les skis, mais le skieur, qui skie «  à plat » peu de prise de carres avec des skis « droits » très grands rayons.
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Pour me remettre dans le coup, cette année j’ai aussi fait 4 jours avec Teknski en janvier (météo vraiment pas top), une journée avec Flaine super ski puis j’ai fait des flèches et chamois en février mars (les rousses, Flaine, les Carroz et Puy Saint Vincent).

Ça m’a permis d’avoir mon niveau. En gros je rentre l’or sur une flèche et le vermeil (de 1 à 3 s de l’or) pour le chamois, soit 22,74 points open 🥸. Je suis en pause professionnelle (forcée), j’ai pu passer beaucoup de temps sur la neige (ça fait du bien à la tête aussi).

L’an prochain, je pense m’inscrire au club esf du grand bornand (entraînement tout les samedis matin suivi d’une flèche à 12h30) et le dimanche je ferais des courses FFS.

J’habite au pied du Jura, je suis à 10min d’un télésiège et je peux skier dès novembre en Suisse avec le Magic Pass (forfait saison qui couvre 80 stations), le grand bornand sera inclus l’an prochain, ça va être parfait.

Suivant ma situation pro, je skierais moins l’an prochain mais je vais me préparer au mieux physiquement dès que je range les skis début mai.
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ak (13/04/2025) disait:

Alors je suis pas d’accord pour le ski de bosses. C’est pas la bosse qui fait tourner les skis, mais le skieur, qui skie «  à plat » peu de prise de carres avec des skis « droits » très grands rayons.


Y a différente manière de passer les bosses et il en existe ou tu as en effet les skis à plat au sommet de la bosse. Cependant quoi qu'il en soit tu n'as pas besoin d'avoir un rayon pour tourner dans ce cas la puisque ton ski est au sommet et donc subit peut de friction et tourne tout seul.

Ce moment correspond à la diminution de la résistance dans un virage classique. Mais ce n'est pas ce qui te fait tourner.... c'est ce qui te permet de faire une rotation du ski, mais ce qui te fait tourner c'est un appui, donc un moment de résistance dans la neige. En général quand on utilise cette technique dont tu parle, la résistance s'obtient en allant chercher la partie ascendante de la prochaine bosse et c'est donc elle qui te fait tourner, dans ce cas la le rayon peut aider en effet. Mais cette technique est peut utilisée en compétition car elle fait traverser les bosse en travers de la ligne de pente, ce qui a la fois réduit la vitesse et l'efficacité, mais en plus est beaucoup complexe et à la limite de l'impossible dans des bosses de bonne hauteur et serrée.

La technique la plus courante en compétition est de viser la partie ascendante de la bosse avec l'arrière du ski en se laisser déraper ou glisser en travers. Lorsque l'arrière du ski entre en contact avec la partie ascendante de la bosse, il y a une résistance sur l'arrière du ski ce qui ralentit l'arrière. A l'inverse l'avant du ski étant dans une partie plus descendante de la bosse va subir moins de résistance que l'arrière et va donc plus vite. Du coup l'avant du ski va aller va ligne de pente... Une fois que cela à lieu le skieur traverse le sommet de la bosse le plus possible en direction de la ligne de pente et reproduit la manoeuvre sur la bosse suivante. Cette technique est pas toujours faisable en bosse naturelle car l'espacement est irrégulier et que la bosse est souvent de forme ovale. Mais c'est une technique beaucoup plus efficace et qui donne beaucoup plus de vitesse tout en contrôlant l'équilibre. Mais là aussi pas besoin de rayon pour tourner, car c'est la bosse qui crée la résistance et pas la carre.

Du coup, avoir des skis de 23m dans les bosses ça pose aucun problème qu'on utilise l'une ou l'autre technique et je dirais même que c'est plus facile à faire qu'avec des skis qui tournent trop et qui créent des tendance à reproduire ce que l'on fait en piste.

Dans toutes les lignes de bosse, c'est soit le pivot du ski à plat, soit l'utilisation des reliefs qui permettent de tourner, le rayon du ski est donc assez anecdotique et je dirais que s'il est trop bas, il donne plus tendance à vouloir tourner qu'a utiliser efficacement les reliefs.

Je crois donc que déconseiller des ski de géants sous prétexte qu'ils ne tournent pas assez dans les bosses est n'est pas un conseil pertinent ou adéquat.
Je précise que ce qui gêne le plus c'est surtout d'avoir des skis long qui sont difficile à manier quand on a pas une bonne technique de bosse.


Après, les skieurs de courses sont pas toujours exceptionnels dans les bosses, du coup ça ne me surprend pas qu'un spécialiste course puisse penser ça.
Message modifié 1 fois. Dernière modification par Manoushlight, 13/04/2025
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Manoushlight (13/04/2025) disait:

ak (13/04/2025) disait:

Alors je suis pas d’accord pour le ski de bosses. C’est pas la bosse qui fait tourner les skis, mais le skieur, qui skie «  à plat » peu de prise de carres avec des skis « droits » très grands rayons.


Y a différente manière de passer les bosses et il en existe ou tu as en effet les skis à plat au sommet de la bosse. Cependant quoi qu'il en soit tu n'as pas besoin d'avoir un rayon pour tourner dans ce cas la puisque ton ski est au sommet et donc subit peut de friction et tourne tout seul.

Ce moment correspond à la diminution de la résistance dans un virage classique. Mais ce n'est pas ce qui te fait tourner.... c'est ce qui te permet de faire une rotation du ski, mais ce qui te fait tourner c'est un appui, donc un moment de résistance dans la neige. En général quand on utilise cette technique dont tu parle, la résistance s'obtient en allant chercher la partie ascendante de la prochaine bosse et c'est donc elle qui te fait tourner, dans ce cas la le rayon peut aider en effet. Mais cette technique est peut utilisée en compétition car elle fait traverser les bosse en travers de la ligne de pente, ce qui a la fois réduit la vitesse et l'efficacité, mais en plus est beaucoup complexe et à la limite de l'impossible dans des bosses de bonne hauteur et serrée.

La technique la plus courante en compétition est de viser la partie ascendante de la bosse avec l'arrière du ski en se laisser déraper ou glisser en travers. Lorsque l'arrière du ski entre en contact avec la partie ascendante de la bosse, il y a une résistance sur l'arrière du ski ce qui ralentit l'arrière. A l'inverse l'avant du ski étant dans une partie plus descendante de la bosse va subir moins de résistance que l'arrière et va donc plus vite. Du coup l'avant du ski va aller va ligne de pente... Une fois que cela à lieu le skieur traverse le sommet de la bosse le plus possible en direction de la ligne de pente et reproduit la manoeuvre sur la bosse suivante. Cette technique est pas toujours faisable en bosse naturelle car l'espacement est irrégulier et que la bosse est souvent de forme ovale. Mais c'est une technique beaucoup plus efficace et qui donne beaucoup plus de vitesse tout en contrôlant l'équilibre. Mais là aussi pas besoin de rayon pour tourner, car c'est la bosse qui crée la résistance et pas la carre.

Du coup, avoir des skis de 23m dans les bosses ça pose aucun problème qu'on utilise l'une ou l'autre technique et je dirais même que c'est plus facile à faire qu'avec des skis qui tournent trop et qui créent des tendance à reproduire ce que l'on fait en piste.

Dans toutes les lignes de bosse, c'est soit le pivot du ski à plat, soit l'utilisation des reliefs qui permettent de tourner, le rayon du ski est donc assez anecdotique et je dirais que s'il est trop bas, il donne plus tendance à vouloir tourner qu'a utiliser efficacement les reliefs.

Je crois donc que déconseiller des ski de géants sous prétexte qu'ils ne tournent pas assez dans les bosses est n'est pas un conseil pertinent ou adéquat.
Je précise que ce qui gêne le plus c'est surtout d'avoir des skis long qui sont difficile à manier quand on a pas une bonne technique de bosse.


Après, les skieurs de courses sont pas toujours exceptionnels dans les bosses, du coup ça ne me surprend pas qu'un spécialiste course puisse penser ça.



c'est exactement ça. merci.
cgi38
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Je suis assez d’accord, à mon niveau je trouve même plus agréable de skier en libre et TT avec mes géant master ( 183 pour 21m) que avec les S.L. Le géant est plus sympa en conduite dérapée.
sevuyapa
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Matiouf (12/04/2025) disait:
On a beau avoir l'habitude, je suis toujours déconcerté par tes interventions ak, vis a vis des nouveaux membres qui posent des questions. Questions parfois maladroites, incomplètes, mal ficelées, voire innocentes, mais qui ont le mérite d'être et de soulever des problèmes, d'ouvrir ou fermer des portes... Il y a parfois des problèmes d'égo, de sur/sous estimation de soi qui peuvent apparaitre... et toi, tu enfonces le clou sans la moindre empathie... C'est lourd!
Pas mieux, et écrit plus poliment que j'allais le faire... Apparemment ronron a enfin lâché l'affaire, Marc semble avoir réussi à prendre un peu de recul, il ne reste plus que toi... :)
ak
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Mettre marc dans le panier ça va pas lui plaire 😀
Au fait, les portes du soleil ont déjà fermé ?
sevuyapa
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Zanza37, je ne vais pas reprendre plein de bonnes choses qui ont été écrites ici, et tu devrais prendre le/mon chemin suggéré par certains, adapter ta vie au ski et bien en profiter de cette façon. Lâche tout et déménage dans l'Arc Alpin, prend / forme toi à un boulot flexible.
Quand j'ai commencé ça vers 27 ou 28 ans je skiais 50 à 60 jours par saison essentiellement le WE en gagnant max 1,5 fois le SMIC... Puis pareil mais les bons jours que je choisissais... Aujourd'hui je fais presque toujours autant de ski, gagne beaucoup plus, la belle vie :)

Réponds à la belle invitation de Manous', c'est comme ça qu'on se crée des voies, opportunités qui ouvrent à d'autres choses...
sevuyapa
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ak (14/04/2025) disait:

Mettre marc dans le panier ça va pas lui plaire 😀
Au fait, les portes du soleil ont déjà fermé ?
Ça doit être le premier compliment que je lui ai fait sur ce forum 😅
Poulaient
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Alors cela dit, qi tu arrives a prendre du plaisir en skiant en sl dans 80 de peuf, tu peux prendre du plaisir partout. Juste que j'arrive pas a concevoir la première partie de la phrase, mais c'est très personnel
Calixte
Calixte
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Bonjour Zanza37

Je viens de lire un peu les échanges sur ces 4 pages et saches que je partage/ai partagé une partie de tes questions récemment ;)
J'ai toujours été passionné de ski (lyonnais, 6-10j de ski par an) puis je suis allé à Grenoble pour mes études SUP (30 à 50j/an).
Cette année j'ai eu une grosse remise en question et notamment j'ai compris que mon rapport à la montagne était malsain. Au lieu de faire des choix et de prendre en main mon avenir j'ai fuis au ski ou plutôt en montagne (vu que j'y allais aussi dès que possible en été;)...

Certains ici m'ont connu lors de cette première année à Grenoble, je skiais comme un lyonnais et clairement avec trop d'égo (on retombe sur le besoin de validation). Depuis j'ai beaucoup progressé, je suis à peu près à mon niveau rêvé et ça joue dans ma remise en question. Niveau en question c'est me battre convenablement en Derby, passer de partout, propre et vite quelque soit le terrain ou la neige, passer quelques tricks plus ou moins systématiquement (back, 360...), sauter des big air en park, sauter gros en freeride etc....

J'ai eu beaucoup de chance, l'Université Grenoble Alpes permet de faire du ski en sport universitaire et pour ceux ayant un bon niveau de l'enseigner. Aujourd'hui on parle plus d'accompagnement que d'enseignement puisque le cadre légal est très borderline, mais dans les faits on m'a appris à enseigner du niveau débutant "1er jour de ski" à l'avancé "passe sur une piste noire sans appréhension". C'est ces exercices que j'ai refait moi même en libre qui m'ont énormément fait progresser cumulé à un grand nombre de sorties.
Pour l'enseignement il m'a fallu 2 ans avant de l'apprécier pour ce que c'est et éliminer toute frustration de ne pas skier pour moi, typiquement d'être au tapis débutant un jour de poudre... L'enseignement est un métier, le ski est juste une composante en plus.

Aujourd'hui je dois faire un choix :
- Aller en montagne et vivre en saisonnier ou équivalent pour skier au max
- Devenir un professionnel de la montagne (moniteur, pisteur, maintenance des remontées...)
- Travailler dans mon domaine d'études plus ou moins loin des des montagnes (grenoble/chambé etc voir lyon)
- Rejoindre ma copine dans le 37 ;)

Au final je pense m'orienter vers le choix 3, pour concilier des déplacements en touraine et en montagne selon mon temps libre et les opportunités météo.

Pour revenir à toi, je pense qu'une possibilité serait de déménager dans une ville à proximité des montagnes : Cluses, annemasse, annecy, chambéry, albertville, grenoble, gap, briançon, voiron... Ou dans les ville un peu plus lointaines mais permettant un accès journée/we que tu n'as pas actuellement : lyon, valence...

Avec un club à lyon et des sorties un peu toutes les semaines tu y gagnerais pour skier autant en limitant les sacrifices (pas de logement sur place, transport en commun bus/minibus, tarifs sur les forfaits, encadrement...). Tu peux continuer ta passion du ski mais aucune pression comme une réorientation pro.

Alors certes ça va te demander un choix/sacrifice (déménager), mais au vu de ce que tu énonces, n'est-ce pas ce que tu cherches ?
Si je reviens sur mes 4 possibilités du dessus, les réorientations sont trop "violentes" pour toi, tu n'es pas prêt. Rester dans le 37 ne te convient sans doute pas non plus sinon tu n'aurais pas autant écrit :)

Je répète des arguments déjà cités mais j'espère que j'ai été clair :)