
Monsieur,
J'ai tenté, tout d'abord de joindre le Ministère de l'environnement. Peine perdu, car s'il existe bien une touche "Pour nous contacter" celle-ci ne fonctionne pas. Je voulais tellement donner mon avis à la ministre de mes deux...
Puis, sur ma page Google personnalisée, qui donnent de nombreuses informations de différents journaux, ce qui ne m'empêche pas d'écouter la radio et de regarder la télé, j'ai trouvé un article de Libération concernant le lâché d'ours "en douce". J'aime beaucoup les animaux, vraiment, mais il ne faut tout de même pas tomber dans la "connerie majeure". Je lui ai donc écrit et M. Gilbert Laval, journaliste, m'a trouvé en phase avec votre position et ma gracieusement transmis votre adresse e-mail. C'est pour cela que je me permets de vous faire parvenir ce message.
Sachez que j'approuve et soutient votre combat contre la réintroduction de l'ours dans les Pyrénées.
Nos gouvernants font mumuse pour faire plaisir à quelques desséchés du bocal qui, si on les écoutaient, feraient réintroduire les dinosaures dans nos contrées s'ils le pouvaient. Quant à la Ministre de l'environnement j'aurai aimé lui demander quelle serait sa position si un gosse se faisait arracher la tête par un plantigrade de plus de 110 kg, d'autant que la bête vient tuer les brebis de plus en plus près des habitations.
Quant aux ceuss qui imaginent faire de l'ours une bonne image pour le tourisme, est-ce qu'ils pensent une seconde à ce que ferait le touriste lamda qui se retrouverait nez à nez avec nounours ? Je pari qu'il ferait un splendide volte-face et partirait en courant aussi vite que s'il avait le feu au cul...
Non, décidément l'homme est de plus en plus con et les progrès techniques ne l'arrangent pas.
Si nos aïeux se sont débarrassé du loup dans les Alpes et de l'ours dans les Pyrénées, ça n'est pas pour rien.
S'ils voyaient tout ce ramdam ils se diraient que leurs descendants ont pété une durite de gros calibre. Et c'est malheureusement le cas...
Dans les Alpes, même si le loup n'a pas été "officiellement" réintroduit, on peut quand même se poser des questions. Trois à quatre cent brebis par an disparaissent ainsi. Bien sûr, on "indemnise" mais les éleveurs n'en n'ont cure et préfèrent garder leur troupeau intact.Et gare à eux s'ils se permettent de tirer un coup de fusil sur un loup, espèce protégée, aussi sec ils vont en taule comme des délinquants... D'autant, que l'argent du contribuable est ainsi "connement" dépensé alors qu'il pourrait l'être plus utilement ailleurs... Et le contribuable, c'est vous, c'est moi, c'est nous et même les abrutis qui sont pour le loup et pour l'ours... mais ils sont masos ceux-là !
Enfin, ça n'est malheureusement pas moi qui changerait quoi que se soit à ce méchant "merdier". Je ne peux que vous soutenir moralement dans votre combat contre la connerie.
Je vous souhaite à tous un bon courage, de pouvoir vous faire entendre, et pourquoi pas, finir par gagner la partie...
Je voulais seulement vous faire savoir que certains de vos concitoyens, même s'ils ne sont pas directement touchés par toute cette mouscaille (moi, par exemple, qui habite en ville) sont de tout coeur avec vous.
Je vous fait part de mes meilleures salutations et de ma profonde admiration.
Amicalement.
J'ai tenté, tout d'abord de joindre le Ministère de l'environnement. Peine perdu, car s'il existe bien une touche "Pour nous contacter" celle-ci ne fonctionne pas. Je voulais tellement donner mon avis à la ministre de mes deux...
Puis, sur ma page Google personnalisée, qui donnent de nombreuses informations de différents journaux, ce qui ne m'empêche pas d'écouter la radio et de regarder la télé, j'ai trouvé un article de Libération concernant le lâché d'ours "en douce". J'aime beaucoup les animaux, vraiment, mais il ne faut tout de même pas tomber dans la "connerie majeure". Je lui ai donc écrit et M. Gilbert Laval, journaliste, m'a trouvé en phase avec votre position et ma gracieusement transmis votre adresse e-mail. C'est pour cela que je me permets de vous faire parvenir ce message.
Sachez que j'approuve et soutient votre combat contre la réintroduction de l'ours dans les Pyrénées.
Nos gouvernants font mumuse pour faire plaisir à quelques desséchés du bocal qui, si on les écoutaient, feraient réintroduire les dinosaures dans nos contrées s'ils le pouvaient. Quant à la Ministre de l'environnement j'aurai aimé lui demander quelle serait sa position si un gosse se faisait arracher la tête par un plantigrade de plus de 110 kg, d'autant que la bête vient tuer les brebis de plus en plus près des habitations.
Quant aux ceuss qui imaginent faire de l'ours une bonne image pour le tourisme, est-ce qu'ils pensent une seconde à ce que ferait le touriste lamda qui se retrouverait nez à nez avec nounours ? Je pari qu'il ferait un splendide volte-face et partirait en courant aussi vite que s'il avait le feu au cul...
Non, décidément l'homme est de plus en plus con et les progrès techniques ne l'arrangent pas.
Si nos aïeux se sont débarrassé du loup dans les Alpes et de l'ours dans les Pyrénées, ça n'est pas pour rien.
S'ils voyaient tout ce ramdam ils se diraient que leurs descendants ont pété une durite de gros calibre. Et c'est malheureusement le cas...
Dans les Alpes, même si le loup n'a pas été "officiellement" réintroduit, on peut quand même se poser des questions. Trois à quatre cent brebis par an disparaissent ainsi. Bien sûr, on "indemnise" mais les éleveurs n'en n'ont cure et préfèrent garder leur troupeau intact.Et gare à eux s'ils se permettent de tirer un coup de fusil sur un loup, espèce protégée, aussi sec ils vont en taule comme des délinquants... D'autant, que l'argent du contribuable est ainsi "connement" dépensé alors qu'il pourrait l'être plus utilement ailleurs... Et le contribuable, c'est vous, c'est moi, c'est nous et même les abrutis qui sont pour le loup et pour l'ours... mais ils sont masos ceux-là !
Enfin, ça n'est malheureusement pas moi qui changerait quoi que se soit à ce méchant "merdier". Je ne peux que vous soutenir moralement dans votre combat contre la connerie.
Je vous souhaite à tous un bon courage, de pouvoir vous faire entendre, et pourquoi pas, finir par gagner la partie...
Je voulais seulement vous faire savoir que certains de vos concitoyens, même s'ils ne sont pas directement touchés par toute cette mouscaille (moi, par exemple, qui habite en ville) sont de tout coeur avec vous.
Je vous fait part de mes meilleures salutations et de ma profonde admiration.
Amicalement.
inscrit le 13/1/06
315 messages