Depuis le temps que nous parlons de l’été, on en oubli presque que depuis d’un moins nous sommes dans le cœur du sujet. Habitués aux printemps relativement doux, le fait de retourner vers des valeurs plus supportables semble nous bouleverser un peu !
Pourtant, c’est bel et bien un mois de juin relativement doux que nous venons de vivre, au dessus des normales climatiques 1971/2000 et bien au dessus des moyennes sur 1950/2000.
A Lyon, 80% des journées ont connu des moyennes journalières au dessus de 1971/2000 et 98% au dessus de 1950/2000.
Bien que qu’un peu moins importantes, les fréquences montent le même schéma à Abbeville et Strasbourg. Ce n’est que dans le sud ouest que l’on se rapproche des normales.
Même si nous n’avons pas d’écarts à la normale très importants, c’est bel et bien un moins de juin doux qui se distingue.
Côté des précipitations, le mois de juin correspond, à ce que l’on appelle en biogeo (C. Meyzenq, 1981), au printemps tardif, c'est-à-dire au moment où la végétation est encore en pleine croissance et où l’absorption d’eau est très importante.
Les précipitations de ce mois de juin ont été hétérogènes mais parfois importantes, toutefois, elles n’enrayent pas la sécheresse climatique, nous parlons bien de sécheresse climatique pas de la sécheresse telle qu’elle est exposée par les Préfectures en fonction des réserves utiles.
Sur une large partie du pays la sécheresse climatique est toujours d’actualité, bien plus que jamais selon la Diren, comme le montre également un rapport établis par le centre d’étude de Draix dans les Alpes du sud (pour cette région). Cela fait prêt de 6 ans que cela perdure en raison de précipitations automnales et hivernales de plus en plus faibles…
Nous sommes toujours sous une influence océanique ce qui explique l’absence de grands excès mais aujourd’hui tout est encore possible, à ce jour aucun indice ne permet de dire que l’on peut échapper à une canicule, et certainement pas l’humidité actuelle.
Au même titre que l’hiver nos réserves d’air froid se situe principalement en Scandinavie et se retrouve sur nous avec un flux continentale (même si l’hiver dernier pas de réserve d’air froid, hiver exceptionnellement chaud en scandinavie), nos réserves d’air chaud en été sont bien sur sur l’Afrique du Nord et également sur l’Europe centrale, mais cette fois les réserves d’air chaud sont présentent. Un vent méridien de sud ou zonal d’est suffirait à faire progresser les températures en flèche. Tout dépend alors de la dynamique de l’anticyclone.
En conclusion , pour les prochaines semaines tout est encore possible, fraicheur comme chaleur
Plus prêt de nous des jeudi, soleil et chaleur semblent de retour durablement, déjà
Pourtant, c’est bel et bien un mois de juin relativement doux que nous venons de vivre, au dessus des normales climatiques 1971/2000 et bien au dessus des moyennes sur 1950/2000.
A Lyon, 80% des journées ont connu des moyennes journalières au dessus de 1971/2000 et 98% au dessus de 1950/2000.
Bien que qu’un peu moins importantes, les fréquences montent le même schéma à Abbeville et Strasbourg. Ce n’est que dans le sud ouest que l’on se rapproche des normales.
Même si nous n’avons pas d’écarts à la normale très importants, c’est bel et bien un moins de juin doux qui se distingue.
Côté des précipitations, le mois de juin correspond, à ce que l’on appelle en biogeo (C. Meyzenq, 1981), au printemps tardif, c'est-à-dire au moment où la végétation est encore en pleine croissance et où l’absorption d’eau est très importante.
Les précipitations de ce mois de juin ont été hétérogènes mais parfois importantes, toutefois, elles n’enrayent pas la sécheresse climatique, nous parlons bien de sécheresse climatique pas de la sécheresse telle qu’elle est exposée par les Préfectures en fonction des réserves utiles.
Sur une large partie du pays la sécheresse climatique est toujours d’actualité, bien plus que jamais selon la Diren, comme le montre également un rapport établis par le centre d’étude de Draix dans les Alpes du sud (pour cette région). Cela fait prêt de 6 ans que cela perdure en raison de précipitations automnales et hivernales de plus en plus faibles…
Nous sommes toujours sous une influence océanique ce qui explique l’absence de grands excès mais aujourd’hui tout est encore possible, à ce jour aucun indice ne permet de dire que l’on peut échapper à une canicule, et certainement pas l’humidité actuelle.
Au même titre que l’hiver nos réserves d’air froid se situe principalement en Scandinavie et se retrouve sur nous avec un flux continentale (même si l’hiver dernier pas de réserve d’air froid, hiver exceptionnellement chaud en scandinavie), nos réserves d’air chaud en été sont bien sur sur l’Afrique du Nord et également sur l’Europe centrale, mais cette fois les réserves d’air chaud sont présentent. Un vent méridien de sud ou zonal d’est suffirait à faire progresser les températures en flèche. Tout dépend alors de la dynamique de l’anticyclone.
En conclusion , pour les prochaines semaines tout est encore possible, fraicheur comme chaleur
Plus prêt de nous des jeudi, soleil et chaleur semblent de retour durablement, déjà
inscrit le 08/06/07
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