Pic d’Aneto 22 et 23/06/2006
Jeudi 22 juin, il est 18h00, départ du parking du Plan d’Estan, direction le refuge de la Rencluse. Ce sera la première étape de notre ascension du Pic le plus haut des Pyrénées (3404m.).
Visite touristique à la française.
Petite chapelle à proximité du refuge :
Vue depuis la chapelle :
En attendant le repas, on continu notre visite des lieux toujours aux abords du refuge.
Découverte d’un petit tunnel sous la montagne créé par l’homme et servant probablement à évacuer l’eau des glaciers:
Le refuge de la Rencluse 2140m., toujours en travaux.
Sa capacité est d’environ 110 places, heureusement pour nous, on ne sera qu’une petite vingtaine à y dormir :
Le soleil se couche. En face de nous, le Port de Venasque (frontière Franco/Espagnole) et le Pic de Sauvegarde à sa gauche (et un âne très collant ) :
Après un repas bien arrosé, la nuit fut courte et pas très reposante (l’Espagnol ronfle très fort).
Départ à 3h50 pour éviter le monde au sommet mais aussi les orages qui étaient prévus pour l’après-midi.
Tout le début de randonnée se fera à la frontale jusqu'au Portillon Supérieur. Pas évident de naviguer dans les cailloux de nuit.
6h00 nous sommes au Portillon Supérieur 2908 m., de ce point nous aurions du voir le sommet mais le temps ne le permet pas, dommage :
Alors que nous descendons le Portillon pour rejoindre le glacier, le soleil s’apprête à faire son apparition :
Nous voilà sur le glacier d’Aneto :
La glace est présente comme les nuages d’ailleurs, le reste de la montée se fera dans le brouillard jusqu’au sommet.
Pour info les crevasses du glacier sont encore bien bouchées en ce moment :
Le « Pas de Mahomet », dernière petite difficulté avant l’arrivée au sommet :
Cette petite arrête d’une trentaine de mètres donnant sur le vide de part et d’autre, nous obligera à nous encorder pour plus de sécurité, la roche étant humide et le vent assez violent sur la Pointe Oliveras.
La technique du passage à cheval :
8h30 le sommet 3404 mètres, c’est bizarre, on a croisé personne ils ne sont pas très matinal ces Espagnols.
La visibilité n’est pas optimale et il faut jouer avec les nuages pour pouvoir distinguer les « 3000 » des environs ( Les Posets,&hellip.
J’en profite pour faire un peu de pub pour le site :
Les lacs de Coronas à travers les nuages depuis le toit des Pyrénées :
Descente par le Pas de Mahomet (photos caméscope):
Le Pic de Coronas dans les nuages :
La croix du Pic à gauche et la crête finale :
Le glacier d’Aneto encore recouvert de la neige de cet hiver :
Col de Coronas :
Passage séparant le Col du glacier :
Direction plein Nord depuis le col pour descendre le glacier d’Aneto dans sa totalité.
Nous ne repasserons pas par le Portillon Supérieur, on continue donc notre circuit en direction du « Trou du Toro » pour voir naître puis disparaître notre petite Garonne :
Troupeau d’Isards pris à la jumelle :
Lac del salterillo, il est 11 heures, nous mangerons là :
Le Pic d’Aneto à gauche.
Le paysage devient moins hostile lorsque l’on se rapproche de la vallée :
La Garonne tout juste sortie du glacier :
Le Trou du Toro :
Vue d’en bas, la Garonne est complètement aspirée et disparaît sous la roche :
L’eau est encore claire à cet endroit, rien à voir avec ce que l’on peut trouver du côté de Toulouse :
Voilà, fin de la randonnée dans un décor magnifique, la prochaine fois que nous viendrons, ce sera certainement en hiver et avec les skis aux pieds.
Jeudi 22 juin, il est 18h00, départ du parking du Plan d’Estan, direction le refuge de la Rencluse. Ce sera la première étape de notre ascension du Pic le plus haut des Pyrénées (3404m.).
Visite touristique à la française.
Petite chapelle à proximité du refuge :
Vue depuis la chapelle :
En attendant le repas, on continu notre visite des lieux toujours aux abords du refuge.
Découverte d’un petit tunnel sous la montagne créé par l’homme et servant probablement à évacuer l’eau des glaciers:
Le refuge de la Rencluse 2140m., toujours en travaux.
Sa capacité est d’environ 110 places, heureusement pour nous, on ne sera qu’une petite vingtaine à y dormir :
Le soleil se couche. En face de nous, le Port de Venasque (frontière Franco/Espagnole) et le Pic de Sauvegarde à sa gauche (et un âne très collant ) :
Après un repas bien arrosé, la nuit fut courte et pas très reposante (l’Espagnol ronfle très fort).
Départ à 3h50 pour éviter le monde au sommet mais aussi les orages qui étaient prévus pour l’après-midi.
Tout le début de randonnée se fera à la frontale jusqu'au Portillon Supérieur. Pas évident de naviguer dans les cailloux de nuit.
6h00 nous sommes au Portillon Supérieur 2908 m., de ce point nous aurions du voir le sommet mais le temps ne le permet pas, dommage :
Alors que nous descendons le Portillon pour rejoindre le glacier, le soleil s’apprête à faire son apparition :
Nous voilà sur le glacier d’Aneto :
La glace est présente comme les nuages d’ailleurs, le reste de la montée se fera dans le brouillard jusqu’au sommet.
Pour info les crevasses du glacier sont encore bien bouchées en ce moment :
Le « Pas de Mahomet », dernière petite difficulté avant l’arrivée au sommet :
Cette petite arrête d’une trentaine de mètres donnant sur le vide de part et d’autre, nous obligera à nous encorder pour plus de sécurité, la roche étant humide et le vent assez violent sur la Pointe Oliveras.
La technique du passage à cheval :
8h30 le sommet 3404 mètres, c’est bizarre, on a croisé personne ils ne sont pas très matinal ces Espagnols.
La visibilité n’est pas optimale et il faut jouer avec les nuages pour pouvoir distinguer les « 3000 » des environs ( Les Posets,&hellip.
J’en profite pour faire un peu de pub pour le site :
Les lacs de Coronas à travers les nuages depuis le toit des Pyrénées :
Descente par le Pas de Mahomet (photos caméscope):
Le Pic de Coronas dans les nuages :
La croix du Pic à gauche et la crête finale :
Le glacier d’Aneto encore recouvert de la neige de cet hiver :
Col de Coronas :
Passage séparant le Col du glacier :
Direction plein Nord depuis le col pour descendre le glacier d’Aneto dans sa totalité.
Nous ne repasserons pas par le Portillon Supérieur, on continue donc notre circuit en direction du « Trou du Toro » pour voir naître puis disparaître notre petite Garonne :
Troupeau d’Isards pris à la jumelle :
Lac del salterillo, il est 11 heures, nous mangerons là :
Le Pic d’Aneto à gauche.
Le paysage devient moins hostile lorsque l’on se rapproche de la vallée :
La Garonne tout juste sortie du glacier :
Le Trou du Toro :
Vue d’en bas, la Garonne est complètement aspirée et disparaît sous la roche :
L’eau est encore claire à cet endroit, rien à voir avec ce que l’on peut trouver du côté de Toulouse :
Voilà, fin de la randonnée dans un décor magnifique, la prochaine fois que nous viendrons, ce sera certainement en hiver et avec les skis aux pieds.
inscrit le 22/04/05
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