Une couche de neige trop faible pour envoyer du vrai gros ski (ou plus exactement, pas de sous couche, trop venté sur les sommets et pas envie de skier dans un parc à vache), j'ai du me rabattre une fois de plus sur une activité purement estivale : l'escalade.
Tout comme la semaine dernière (pour ce qui suivent), je débarque donc à la Martinswand avec Jules, fidèle compagnon de cordée, mais cette fois sans Roulio, resté (toujours en jean et basket) à manger des yahourts frelatés à Gre.
Dès le départ, les conditions s'annonceaient des meilleurs pour l'escalade.
Effectivement, arrivée en haut, on peut voir que le petit cervin est en parfaite condition. Les connaisseurs pourrons constater en arrière plan que Falimont, le Y et les autres couloirs n'étaient pas en conditions.
Une petite descente en rappel plus tard (on passera sous silence le rappel coincé par le vent sur un angle, ni le pendule de 10m pour décoincer la corde puis récuperer Jules sur son relais posé sur le brouillard), nous arrivons au pied de la voie.
S'en suit une petite discution sur le matériel adéquat. Nous opterons au final pour des chaussons... à 12 pointes, et les piolets.
Et zou, c'est partit. Du bonheur à tartiner, crochetage de piolet dans tout les sens, brassage de neige pour retrouver des prises, et des parties sèches toute aussi finaudes, comme on peu le voir avec moich en action dans la fin de la première longueur.
Heu, même avac un p'tit zoom, je retrouve plus cette fichue réglette...
Toujours moi dans la deuxième longueure. La sortie s'annonce des plus intéressantes...
La fin de cette même longueure, vue de dessus. Avouez que ca fait envie....
Les adhérence sur la dalle fissurée de la troisième longueure ne motivant pas beaucoup nos crampons...
...Jules se porte volontaire pour trouver une sortie des plus sympatiques.
Un dernier petit relais, et nous voila en haut.
Un peu court, mais du bonheur à tartiner. Bon, rendez vous est pris...quand il y aura plus de glace...
Et voila au moins une sortie qui n'aura pas laissée de trace sur les skis...
Tout comme la semaine dernière (pour ce qui suivent), je débarque donc à la Martinswand avec Jules, fidèle compagnon de cordée, mais cette fois sans Roulio, resté (toujours en jean et basket) à manger des yahourts frelatés à Gre.
Dès le départ, les conditions s'annonceaient des meilleurs pour l'escalade.
Effectivement, arrivée en haut, on peut voir que le petit cervin est en parfaite condition. Les connaisseurs pourrons constater en arrière plan que Falimont, le Y et les autres couloirs n'étaient pas en conditions.
Une petite descente en rappel plus tard (on passera sous silence le rappel coincé par le vent sur un angle, ni le pendule de 10m pour décoincer la corde puis récuperer Jules sur son relais posé sur le brouillard), nous arrivons au pied de la voie.
S'en suit une petite discution sur le matériel adéquat. Nous opterons au final pour des chaussons... à 12 pointes, et les piolets.
Et zou, c'est partit. Du bonheur à tartiner, crochetage de piolet dans tout les sens, brassage de neige pour retrouver des prises, et des parties sèches toute aussi finaudes, comme on peu le voir avec moich en action dans la fin de la première longueur.
Heu, même avac un p'tit zoom, je retrouve plus cette fichue réglette...
Toujours moi dans la deuxième longueure. La sortie s'annonce des plus intéressantes...
La fin de cette même longueure, vue de dessus. Avouez que ca fait envie....
Les adhérence sur la dalle fissurée de la troisième longueure ne motivant pas beaucoup nos crampons...
...Jules se porte volontaire pour trouver une sortie des plus sympatiques.
Un dernier petit relais, et nous voila en haut.
Un peu court, mais du bonheur à tartiner. Bon, rendez vous est pris...quand il y aura plus de glace...
Et voila au moins une sortie qui n'aura pas laissée de trace sur les skis...
inscrit le 12/05/00
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