ronron (27 juil.) disait:
Sauf pour les nouvelles drogues de synthèses qui sont clairement conçus pour être simplement des drogues sans effets thérapeutiques souhaités.
Le médicament ne connaît pas la crise :
Pas de crise pour les exportations des pharmas suisses en Russie
La Suisse exporte aujourd’hui davantage vers la Russie qu’avant le début de la guerre.
lematin.ch
le monde bouge...
LA COLOMBIE ENVISAGE DE DÉPÉNALISER LA COCAÏNE
25 AOÛT 2022 CADRE INTERNATIONALPOLITIQUE DES ADDICTIONS IMPRIMER
Colombie
Dans la continuité du changement politique en Colombie, le nouveau gouvernement envisage de dépénaliser la cocaïne.
Après des décennies de « guerre contre la drogue » menée par la Colombie en partenariat avec Washington, le nouveau gouvernement de Gustavo Petro prend un virage à 180 degrés en proposant la fin de la prohibition et la mise en place d'une législation visant à dépénaliser la cocaïne et le cannabis. Cette thématique a déjà été évoquée dans une news du GREA étant donné son impact sur les politiques drogues.
Les dirigeants de la Colombie verraient volontiers leurs pays comme un laboratoire géant afin d’expérimenter la dépénalisation des drogues. Le contexte régional semble favorable étant donné les affinités d’intérêt entre pays producteurs de coca, tels que le Pérou et la Bolivie, également situés à gauche sur l’échiquier politique. Toutefois, la perspective ne fait pas l’unanimité comme en témoignent les déclarations de la Maison-Blanche qui indique que les États-Unis ne sont pas partisans de la décriminalisation. Pour un ancien fonctionnaire de la Drug Enforcement Administration (DEA) cité sous couvert d'anonymat, cela minerait la coopération entre les deux pays, comme le relate le Washington Post (en anglais)(link is external).
grea.ch
"L’ensemble des organisations professionnelles du domaine sont favorables à la proposition de faciliter la remise de diacétylmorphine (héroïne de fabrication pharmaceutique) pour le traitement de l’addiction aux opioïdes, d’élargir la distribution à d’autres institutions concernées, notamment dans les établissements médico-sociaux ou les prisons, ainsi qu'à la possibilité de remettre jusqu'à sept doses quotidiennes. Ces modifications, proposées par le Conseil fédéral, contribuent à ce que les personnes en traitement rencontrent moins d'obstacles. Les principes de promotion de l’autonomie et de la qualité de vie des personnes en traitement, reconnus pour d'autres maladies chroniques, sont donc enfin logiquement appliqués aux personnes sous traitement de diacétylmorphine. Cet allégement a été possible grâce à l’évolution des connaissances acquises pendant la pandémie et le semi-confinement. Pendant cette période, l’élargissement de la remise des traitements de diacétylmorphine a été nécessaire pour des raisons sanitaires et a fait ses preuves, selon un récent mandat d’analyse de l’OFSP."
grea.ch
mescaline ( 3 sept.) disait:
Même si c’est sous contrôle médical, ça reste donc une injection en IV, répétée régulièrement, avec les conséquences possibles sur le réseau veineux. Pas de soucis de ce côté là ?
PerGiocare ( 3 sept.) disait:
Ben entre éventuels risques veineux et toxicomanie hard permanente ... Non ?
Un vrai pas de l'Allemagne vers la légalisation :
huffingtonpost.fr
Ça va être la fête en Alsace!
Et là, la situation de la France va vraiment devenir impossible à tenir.
inscrit le 06/02/03
92K messages