Le Teesside Cannabis Club, communauté de consommateurs, aurait le soutien indirect de la police de la ville de Middlesbrough, dans le nord de l’Angleterre.
Le club compte environ 180 membres payant une cotisation de 45£ par an afin de pouvoir consommer du cannabis dans un espace sûr. Les forces de police de la région du Teesside assurent prendre au sérieux la question des drogues illégales, mais prioriser leurs actions selon une vision pragmatique.
grea.ch
C'était controversé mais à la fin le vote a été clair : 38 voix contre 13 et 6 abstentions pour la légalisation de toutes les drogues dans le programme législatif du PLR bâlois.
Lundi soir 20 août 2018, les membres du PLR de Bâle-Ville se sont réunis pour libeller leur nouveau programme cantonal. Après un débat empreint de controverses, les Freisinnigen ont voté en faveur de la légalisation de toutes les drogues pour assécher le marché noir.
grea.ch
PhilippeG (18 août) disait:En France, on enchriste de graves dealers qui font pousser 50pieds dans leur bled pour leurs potes... Et les gars en scooters en banlieue, dealant de la mauvaise C, finissent version barbecue, une balle de kalash dans le crâne et le T-Max cramé pour 1000 balles de dettes...
Et «en même temps», en France, des élus réclament plus de policiers pour combattre les trafics ...
la rolls du cbd vendu par notre lobbyiste préféré
https://www.holyweed.ch/
"FreeRappaz"
125 chf le paquet...
tant qu'il y aura des mecs pour acheter...
La Suisse a connu une consommation d'héroïne très forte au début des années 90' et les solutions trouvées pour résoudre cette situation avait ouvert la voie de nouvelles politiques efficaces. Trente ans plus tard, la situation est différente et l'héroïne une consommation marginale. Christian Schneider revient sur cette situation afin d'offrir des pistes à la situation des États-Unis (ou du Canada, également touché
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ak ( 7 sept.) disait:
La Suisse a connu une consommation d'héroïne très forte au début des années 90' et les solutions trouvées pour résoudre cette situation avait ouvert la voie de nouvelles politiques efficaces. Trente ans plus tard, la situation est différente et l'héroïne une consommation marginale. Christian Schneider revient sur cette situation afin d'offrir des pistes à la situation des États-Unis (ou du Canada, également touché
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Francis917 ( 7 sept.) disait:
Car dès 1988 on pouvait observer en France un commencement du déclin de l'héro et des injections en général. Qui s'est nettement accentué par la suite dans les années 90, sans qu'on puisse l'imputer à aucune initiative sanitaire française.
Blacksite (10 sept.) disait:Ca ferait un bon tatouage...
Edit : il est vraiment excellent le drapeau du Mexique.
ak ( 8 sept.) disait:
Francis917 ( 7 sept.) disait:
Car dès 1988 on pouvait observer en France un commencement du déclin de l'héro et des injections en général. Qui s'est nettement accentué par la suite dans les années 90, sans qu'on puisse l'imputer à aucune initiative sanitaire française.
le HIV/Sida est passé par là...
Raimundo (19 sept.) disait:
ak ( 8 sept.) disait:
Francis917 ( 7 sept.) disait:
Car dès 1988 on pouvait observer en France un commencement du déclin de l'héro et des injections en général. Qui s'est nettement accentué par la suite dans les années 90, sans qu'on puisse l'imputer à aucune initiative sanitaire française.
le HIV/Sida est passé par là...
l’héroïne c’etait aussi LA drogue de la dépendance. On ne parlait pas encore d’addictions à l’époque. Il se disait qu’on pouvait devenir accro au premier fix. Contrairement au cannabis, à la cocaïne qui, par ricochet des politiques US, est devenue beaucoup plus accessible en Europe + l’émergence des drogues de la teuf (ectasy, MDMA) pas chères et qui renvoyaient une image beaucoup plus « glamour » et fun en mode « c’est juste pour faire la teuf, je vais pas devenir accro ». Ça faisait un peu plus vibrer que l’image du mec qui se pique au fond d’une impasse et qui tuerait père et mère pour financer son prochain shoot. Cette image bien ancrée a sans doute contribué à limiter le « recrutement » de nouveaux consommateurs et donc entraîné le déclin que vous évoquez...
Je ne suis pas très au fait des opioides dont on parle beaucoup en ce moment. Il faut que je me tape les 55 pages du topic, j’ai pas - encore - eu le courage, je vais donc essayer de prendre le train en marche. Mais il y a tant à dire...
PS : c’est ici que j’ai eu le tuyau sur “la griffe du chien”, top, merci
anor@k disait:tenir des quartiers
Blacksite (25 sept.) disait:
Oui.
Maintenant ce serait intéressant de connaître la consommation dans les pays plus pauvres.
Par exemple, au Mexique, il y a aussi des consommateurs.
Raimundo (25 sept.) disait:
anor@k disait:tenir des quartiers
Je suis convaincu que la peur du chaos dans les quartiers fait partie de la réflexion politique... demain tu prives des milliers de jeunes et par ricochet leurs familles, des revenus générés par le trafic bah personne sait bien ce qu’il peut se passer....
Nanterre, gros spot de trafic en IDF, n’a quasiment pas bronché en 2005 alors que c’était le bordel partout...pas d’émeutes, pas de flics, business as usual...
disait:Je suis convaincu que la peur du chaos dans les quartiers fait partie de la réflexion politique... demain tu prives des milliers de jeunes et par ricochet leurs familles, des revenus générés par le trafic bah personne sait bien ce qu’il peut se passer....
Nanterre, gros spot de trafic en IDF, n’a quasiment pas bronché en 2005 alors que c’était le bordel partout...pas d’émeutes, pas de flics, business as usual...
tout frais tout neuf!
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