Test Oakley Flight Deck 2017

Après une saison 2016/2017 skiée avec le Flight Deck - Black Iridium, mon avis suivant quelques critères :

- Style : Il faut aimer le minimalisme et l’effet miroir. Les personnes autour de vous se verront comme dans leur miroir de salle de bains, traces de dentifrice en moins.

- Confort : C’est ultra large, de la grosse mousse classique Oakley, c’est le pied.

- Vision : Il est tellement large qu’une fois sur le nez on l’oublie, pas de monture dans le champ de vision. Ne possédant qu’un seul écran, je ne peux donner un avis sur les contrastes en fonction de la météo, mais la vitre « Black Iridium » me semble être très polyvalente. Utilisée du grand soleil au jour blanc, aucune gêne rencontrée.

- Aérations : Qui a dit buée ? Absolument rien à signaler même dans les pires conditions météos : pluie, neige mouillée, etc.

- Solidité : Si vous êtes un adepte du face plant, no worry, c’est indestructible ! Testé et approuvé. Porté avec un casque rien ne bouge. Aussi, la vitre semble être relativement résistante aux rayures. Il m’aura fallu mettre plusieurs coups de boule dans les carres de mes skis - merci la bétaillère des Grands Montets ;) - pour finalement réussir à faire une petite trace dans l’écran.

Note spéciale à tous les binoclards : si vous cherchez LE masque adapté aux lunettes de vue, vous l’avez trouvé ! Le format XXL et les découpes dans la monture préviennent toutes gènes liées au port de lunettes, notamment les pressions diverses sur la monture et la buée sur les verres correcteurs.

Lors de mon achat, j’ai hésité avec le Smith I/OX - également adapté au port de lunettes - mais après essai des deux modèles le verdict est sans appel. Le Oakley est plus qualitatif notamment au niveau du système de remplacement de l’écran et il est surtout mieux adapté aux lunettes de vue.

Seul défaut, évidemment, son prix.