après... y a le bon et le mauvais chasseur...
Le ski, plus dangereux qu'il y a 30 ans?
et quant au sujet, la vidéo d'euskaladejo me semble intéressante, la définition simple de la responsabilité du skieur amont est bien moins simple dans la réalité du ski moderne qui permet de traverser une piste sans perdre d'altitude pour le skieur moyen....
Raimundo
Le 29 mars 2022 - 22:12
francbord (29 mars) disait:
et quant au sujet, la vidéo d'euskaladejo me semble intéressante, la définition simple de la responsabilité du skieur amont est bien moins simple dans la réalité du ski moderne qui permet de traverser une piste sans perdre d'altitude pour le skieur moyen....
Disons que selon comment il est tourné, le skieur aval peut vite se retrouver dans le skieur amont….
Poulaient
Le 29 mars 2022 - 22:22
Raimundo (29 mars) disait:
francbord (29 mars) disait:
et quant au sujet, la vidéo d'euskaladejo me semble intéressante, la définition simple de la responsabilité du skieur amont est bien moins simple dans la réalité du ski moderne qui permet de traverser une piste sans perdre d'altitude pour le skieur moyen....
Disons que selon comment il est tourné, le skieur aval peut vite se retrouver dans le skieur amont….
Qui plus est en rando
ourskieur
Le 26 avril 2022 - 21:36
ourskieur (21 mars) disait:
Pareil. Ils ne l'ont pas parle de reeduc. Je verrai le 26 avril...
Rdv aujourd'hui après 6 semaines sans appuis, après la radio il faut qu'il fasse encore 4 semaine de béquilles avec apuis à 50% du poids du corps. Du coup il va faire de la kiné pour apprendre à gérer le poids.... Punaise au final on l'avait pas préparer à cette éventualité... Pas facile pour lui...
Sujet très intéressant.
Mon ressenti est que, clairement, le sentiment d'insécurité domine sur les pistes. À cela plusieurs raisons :
- des skis faciles qui favorisent la vitesse chez des skieurs convaincus qu'elle est synonyme d'aisance et de maîtrise : on va vite donc on se considère comme étant un très bon skieur, ce qui est faux ;
- la prolifération de vidéos sur le thème du carving, le but à atteindre qui conditionne les esprits à la pratique de la vitesse ;
- le lissage excessif des pistes qui, encore une fois, encourage la vitesse et le prise de risque chez les skieurs moyens ;
- Le casque, indispensable, mais qui procure une sensation trompeuse de sécurité ;
- l'individualisme, qui fait abstraction des autres usagers au profit de son plaisir personnel et immédiat ;
- la méconnaissance des règles de comportement sur les pistes : priorité du skieur aval, etc...mais ce n'est pas nouveau.
Excellente conférence de l'ENSA sur le sujet, même s'il y aurait beaucoup de choses à dire, notamment contre certains arguments avancés.
Pour éviter le décollage et les accidents des voitures d'endurance sur le circuit des 24 heures, la ligne droite des Hunaudieres a été saucissonnée avec des chicanes pour réduire la vitesse des bagnoles qui atteignaient facilement les 400 km/h, transformées en avion sans ailes, d'où le retournement comme une crêpe de certaines d'entre elles. En ski, c'est pareil : il faut casser la vitesse de certains boulevards en laissant volontairement des bosses, à l'instar des chicanes.
Conclusion : sur les pistes, il faut en permanence anticiper les trajectoires des autres skieurs, analyser leur vitesse, être en éveil et sur ses gardes. Nerveusement, c'est fatigant. A quand un casque de ski à écran tête haute qui affiche tous les paramètres d'évolution des individus sur les pistes ?
Mon ressenti est que, clairement, le sentiment d'insécurité domine sur les pistes. À cela plusieurs raisons :
- des skis faciles qui favorisent la vitesse chez des skieurs convaincus qu'elle est synonyme d'aisance et de maîtrise : on va vite donc on se considère comme étant un très bon skieur, ce qui est faux ;
- la prolifération de vidéos sur le thème du carving, le but à atteindre qui conditionne les esprits à la pratique de la vitesse ;
- le lissage excessif des pistes qui, encore une fois, encourage la vitesse et le prise de risque chez les skieurs moyens ;
- Le casque, indispensable, mais qui procure une sensation trompeuse de sécurité ;
- l'individualisme, qui fait abstraction des autres usagers au profit de son plaisir personnel et immédiat ;
- la méconnaissance des règles de comportement sur les pistes : priorité du skieur aval, etc...mais ce n'est pas nouveau.
Excellente conférence de l'ENSA sur le sujet, même s'il y aurait beaucoup de choses à dire, notamment contre certains arguments avancés.
Pour éviter le décollage et les accidents des voitures d'endurance sur le circuit des 24 heures, la ligne droite des Hunaudieres a été saucissonnée avec des chicanes pour réduire la vitesse des bagnoles qui atteignaient facilement les 400 km/h, transformées en avion sans ailes, d'où le retournement comme une crêpe de certaines d'entre elles. En ski, c'est pareil : il faut casser la vitesse de certains boulevards en laissant volontairement des bosses, à l'instar des chicanes.
Conclusion : sur les pistes, il faut en permanence anticiper les trajectoires des autres skieurs, analyser leur vitesse, être en éveil et sur ses gardes. Nerveusement, c'est fatigant. A quand un casque de ski à écran tête haute qui affiche tous les paramètres d'évolution des individus sur les pistes ?
Message modifié 3 fois. Dernière modification par Neofit, 28/04/2022 - 12:57
Neofit (28 avril) disait:
Sujet très intéressant.
Mon ressenti est que, clairement, le sentiment d'insécurité domine sur les pistes. À cela plusieurs raisons :
- des skis faciles qui favorisent la vitesse chez des skieurs convaincus qu'elle est synonyme d'aisance et de maîtrise : on va vite donc on se considère comme étant un très bon skieur, ce qui est faux ;
- la prolifération de vidéos sur le thème du carving, le but à atteindre qui conditionne les esprits à la pratique de la vitesse ;
- le lissage excessif des pistes qui, encore une fois, encourage la vitesse et le prise de risque chez les skieurs moyens ;
- Le casque, indispensable, mais qui procure une sensation trompeuse de sécurité ;
- l'individualisme, qui fait abstraction des autres usagers au profit de son plaisir personnel et immédiat ;
- la méconnaissance des règles de comportement sur les pistes : priorité du skieur aval, etc...mais ce n'est pas nouveau.
Excellente conférence de l'ENSA sur le sujet, même s'il y aurait beaucoup de choses à dire, notamment contre certains arguments avancés.
Pour éviter le décollage et les accidents des voitures d'endurance sur le circuit des 24 heures, la ligne droite des Hunaudieres a été saucissonnée avec des chicanes pour réduire la vitesse des bagnoles qui atteignaient facilement les 400 km/h, transformées en avion sans ailes, d'où le retournement comme une crêpe de certaines d'entre elles. En ski, c'est pareil : il faut casser la vitesse de certains boulevards en laissant volontairement des bosses, à l'instar des chicanes. Il y a aussi un travail pédagogique à effectuer en persuadant les plus jeunes qu'être un très bon skieur, ce n'est pas aller vite, mais c'est surtout être efficace à basse vitesse en se jouant de toutes les difficultés quel que soit le terrain, la neige, la visibilité et l'environnement. Skier, c'est maîtriser en permanence sa vitesse.
Conclusion : sur les pistes, il faut en permanence anticiper les trajectoires des autres skieurs, analyser leur vitesse, être en éveil et sur ses gardes. Nerveusement, c'est fatigant. A quand un casque de ski à écran tête haute qui affiche tous les paramètres d'évolution des individus sur les pistes ?
ak (28 avril) disait:
Ah ouais, comme ça on pourra aller encore plus vite...
La conclusion, c'était de l'humour. Mais il y a deux manières de voir les choses : le verre à moitié vide et le verre à moitié plein. Ceux qui considèrent que la technologie est au service de la sécurité, et ceux qui considèrent qu'elle leur permettra de repousser encore les limites de la bêtise et de l'irresponsabilité qui aboutissent à l'accident. Chacun trouvera son camp.
Message modifié 1 fois. Dernière modification par Neofit, 28/04/2022 - 13:11
Neofit (28 avril) disait:
Sujet très intéressant.
Mon ressenti est que, clairement, le sentiment d'insécurité domine sur les pistes. À cela plusieurs raisons :
- des skis faciles qui favorisent la vitesse chez des skieurs convaincus qu'elle est synonyme d'aisance et de maîtrise : on va vite donc on se considère comme étant un très bon skieur, ce qui est faux ;
- la prolifération de vidéos sur le thème du carving, le but à atteindre qui conditionne les esprits à la pratique de la vitesse ;
- le lissage excessif des pistes qui, encore une fois, encourage la vitesse et le prise de risque chez les skieurs moyens ;
- Le casque, indispensable, mais qui procure une sensation trompeuse de sécurité ;
- l'individualisme, qui fait abstraction des autres usagers au profit de son plaisir personnel et immédiat ;
- la méconnaissance des règles de comportement sur les pistes : priorité du skieur aval, etc...mais ce n'est pas nouveau.
Excellente conférence de l'ENSA sur le sujet, même s'il y aurait beaucoup de choses à dire, notamment contre certains arguments avancés.
Pour éviter le décollage et les accidents des voitures d'endurance sur le circuit des 24 heures, la ligne droite des Hunaudieres a été saucissonnée avec des chicanes pour réduire la vitesse des bagnoles qui atteignaient facilement les 400 km/h, transformées en avion sans ailes, d'où le retournement comme une crêpe de certaines d'entre elles. En ski, c'est pareil : il faut casser la vitesse de certains boulevards en laissant volontairement des bosses, à l'instar des chicanes. Il y a aussi un travail pédagogique à effectuer en persuadant les plus jeunes qu'être un très bon skieur, ce n'est pas aller vite, mais c'est surtout être efficace à basse vitesse en se jouant de toutes les difficultés quel que soit le terrain, la neige, la visibilité et l'environnement. Skier, c'est maîtriser en permanence sa vitesse.
Conclusion : sur les pistes, il faut en permanence anticiper les trajectoires des autres skieurs, analyser leur vitesse, être en éveil et sur ses gardes. Nerveusement, c'est fatigant. A quand un casque de ski à écran tête haute qui affiche tous les paramètres d'évolution des individus sur les pistes ?
PerGiocare
Le 28 avril 2022 - 13:52
Running gag, mec t'es has-been, maintenant Ici on dit trailing-gag 
qui d'alleurs a été écrit par Carambole. Carambole dont j'ai appris récemment le décès.
Je ne l'aimais pas particulièrement mais c'était un skipasseur historique.
Du coup, maintenant, chaque fois que j'écris: "ça en dit long" je pense à lui...
Je ne l'aimais pas particulièrement mais c'était un skipasseur historique.
Du coup, maintenant, chaque fois que j'écris: "ça en dit long" je pense à lui...
PerGiocare (28 avril) disait:
Running gag, mec t'es has-been, maintenant Ici on dit trailing-gag
mais trailing à pied ou à vélo?
j'ai ouï dire qu'un gars qui fait du trail à vélo est un vttiste, alors que gars qui fait du trail en courant est un trailer... va comprendre charles, pourquoi le gars à pied est pas juste un coureur et celui à vélo un trailer? ou un truc du genre quoi...
Grand Maître Ronron a surement la réponse dans un de ses nombreux grimoires...
ronron
Le 28 avril 2022 - 14:01
Non, c'est juste toi qui digère pas une vanne sur le terme trailer parce que t'es qu'un pti merdeux qui fait un caca nerveux quand il a pas ce qu'il veut alors qu'il fait bien pire aux autres.
Sauf que t'as plus 12ans...
Sauf que t'as plus 12ans...
ak (28 avril) disait:
ça en dit long...
Sinon, t'as écrit quoi d'intéressant sur le sujet, à part des extraits de statistiques ? N'y vois aucune provocation, du moins de mon côté. Ce sujet est passionnant et j'aimerais connaître l'avis d'experts.
PerGiocare
Le 28 avril 2022 - 14:05
Puisque dans le Topic "En été/Vos bikes", on parle de course à pied, ici on peut faire un // techno versus risques en ski et cyclisme, non ?
Évolutions techno, notamment pour la sécurité et évolutions induites dans les comportements, avec des limites repoussées...
Chute sur Liège-Bastogne-Liège : "Peut-être que parfois on ne devrait pas prendre autant de risques", déplore Romain Bardet francetvinfo.fr
PerGiocare
Le 28 avril 2022 - 14:10
@ronron... quand on est un grand garçon, on dit "quand on n'a pas", saperlipopette
ak (28 avril) disait:
PerGiocare (28 avril) disait:
Running gag, mec t'es has-been, maintenant Ici on dit trailing-gag
mais trailing à pied ou à vélo?
j'ai ouï dire qu'un gars qui fait du trail à vélo est un vttiste, alors que gars qui fait du trail en courant est un trailer... va comprendre charles, pourquoi le gars à pied est pas juste un coureur et celui à vélo un trailer? ou un truc du genre quoi...
Grand Maître Ronron a surement la réponse dans un de ses nombreux grimoires...
Tu le fais exprès ou c'est naturel ? Il s'agit simplement de les différencier, peu importe la logique. Un coureur, c'est trop généraliste et s'applique à tous les domaines du sport. Coureur, athlète, bonjour la confusion.Un trailer, tout le monde sait de quoi on parle.
ronron
Le 28 avril 2022 - 14:34
PerGiocare (28 avril) disait:
@ronron... quand on est un grand garçon, on dit "quand on n'a pas", saperlipopette
Je préfère faire des approximations sur la langue française que dire des stupidités techniques à longueur de forum comme toi.
Neofit (28 avril) disait:
ak (28 avril) disait:
PerGiocare (28 avril) disait:
Running gag, mec t'es has-been, maintenant Ici on dit trailing-gag
mais trailing à pied ou à vélo?
j'ai ouï dire qu'un gars qui fait du trail à vélo est un vttiste, alors que gars qui fait du trail en courant est un trailer... va comprendre charles, pourquoi le gars à pied est pas juste un coureur et celui à vélo un trailer? ou un truc du genre quoi...
Grand Maître Ronron a surement la réponse dans un de ses nombreux grimoires...
Tu le fais exprès ou c'est naturel ? Il s'agit simplement de les différencier, peu importe la logique. Un coureur, c'est trop généraliste et s'applique à tous les domaines du sport. Coureur, athlète, bonjour la confusion.Un trailer, tout le monde sait de quoi on parle.
D'après Wikipedia (!), il n'y a pas de trail en vtt.
Calixte
Le 28 avril 2022 - 14:44
Le trail est une sous discipline de la cap (je m'attire des problèmes), mais les trailers tiennent trop à se différencier.
En vélo on classe (VTT) DH-enduro-trail-XC puis graveul, mais au final tout le monde dit VTT et est content (sauf les enculeurs de mouches)
En vélo on classe (VTT) DH-enduro-trail-XC puis graveul, mais au final tout le monde dit VTT et est content (sauf les enculeurs de mouches)
Calixte
Le 28 avril 2022 - 14:47
Les Vtt :
XC c'est en général ~100-120mm de débattement à l'avant
trail c'est en général ~130-150mm de débattement à l'avant
enduro c'est en général ~160-180mm de débattement à l'avant
DH c'est en général ~180-200mm de débattement à l'avant
(sans prendre en compte le ration poids/solidité qui varie aussi selon la pratique)
XC c'est en général ~100-120mm de débattement à l'avant
trail c'est en général ~130-150mm de débattement à l'avant
enduro c'est en général ~160-180mm de débattement à l'avant
DH c'est en général ~180-200mm de débattement à l'avant
(sans prendre en compte le ration poids/solidité qui varie aussi selon la pratique)
ourskieur
Le 28 avril 2022 - 14:56
Calixte (28 avril) disait:
Les Vtt :
XC c'est en général ~100-120mm de débattement à l'avant
trail c'est en général ~130-150mm de débattement à l'avant
enduro c'est en général ~160-180mm de débattement à l'avant
DH c'est en général ~180-200mm de débattement à l'avant
(sans prendre en compte le ration poids/solidité qui varie aussi selon la pratique)
Et le Vélo de Montagne (VDM) on le classe dans quoi? Trail ou enduro?
Bon sinon je pensais pas qu'en relançant le sujet ça partirai autant en cacahuète....
Calixte
Le 28 avril 2022 - 14:59
J'avoue, je ne fais aucun effort pour maintenir le sujet dans l'axe.
Ce que tu appelles VDM c'est ce que fait Alexis Righetti ?
Je mettrai ça dans "autre", au même titre que le trial ou le dirt
Ce que tu appelles VDM c'est ce que fait Alexis Righetti ?
Je mettrai ça dans "autre", au même titre que le trial ou le dirt
ronron
Le 28 avril 2022 - 15:00
ourskieur (28 avril) disait:
Calixte (28 avril) disait:
Les Vtt :
XC c'est en général ~100-120mm de débattement à l'avant
trail c'est en général ~130-150mm de débattement à l'avant
enduro c'est en général ~160-180mm de débattement à l'avant
DH c'est en général ~180-200mm de débattement à l'avant
(sans prendre en compte le ration poids/solidité qui varie aussi selon la pratique)
Et le Vélo de Montagne (VDM) on le classe dans quoi? Trail ou enduro?
Bon sinon je pensais pas qu'en relançant le sujet ça partirai autant en cacahuète....
En fait, c'est le all mountain qui regroupe aussi le trail.
D'ailleurs, calixte a oublié le downcountry qui perce maintenant.
Message modifié 1 fois. Dernière modification par ronron, 28/04/2022 - 15:01
Neofit (28 avril) disait:
Neofit (28 avril) disait:
ak (28 avril) disait:
PerGiocare (28 avril) disait:
Running gag, mec t'es has-been, maintenant Ici on dit trailing-gag
mais trailing à pied ou à vélo?
j'ai ouï dire qu'un gars qui fait du trail à vélo est un vttiste, alors que gars qui fait du trail en courant est un trailer... va comprendre charles, pourquoi le gars à pied est pas juste un coureur et celui à vélo un trailer? ou un truc du genre quoi...
Grand Maître Ronron a surement la réponse dans un de ses nombreux grimoires...
Tu le fais exprès ou c'est naturel ? Il s'agit simplement de les différencier, peu importe la logique. Un coureur, c'est trop généraliste et s'applique à tous les domaines du sport. Coureur, athlète, bonjour la confusion.Un trailer, tout le monde sait de quoi on parle.
D'après Wikipedia (!), il n'y a pas de trail en vtt.
Ça en dit long...
ronron
Le 28 avril 2022 - 16:47
Moins vite?
En montée dès qu'il faut porter oui, forcément, sinon sur du roulant, pas sur.
Et en descente, à part sur des enchainements d'épingles ou du vraiment très techniques avec marches, pour le reste le vttiste sera plus rapide.
En montée dès qu'il faut porter oui, forcément, sinon sur du roulant, pas sur.
Et en descente, à part sur des enchainements d'épingles ou du vraiment très techniques avec marches, pour le reste le vttiste sera plus rapide.
ourskieur
Le 28 avril 2022 - 17:49
Calixte (28 avril) disait:
J'avoue, je ne fais aucun effort pour maintenir le sujet dans l'axe.
Ce que tu appelles VDM c'est ce que fait Alexis Righetti ?
Je mettrai ça dans "autre", au même titre que le trial ou le dirt
Tu es pas obligé de faire comme Righetti pour faire du VDM. A partir du moment où tu porte le vélo pour monter et que tu es en montagne on peu appeler ça du VDM....
Sinon en VTT même à 10km/h quand tu tombes en VTT tu peux te faire bien mal, ça depend de la chute et du vide qui t'attend. En général quand tu tombes en VTT tu te retrouve avec des bleus, des griffures si ce n'est plus... après je parle pas des mec en DH.
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