francbord (13 mars 2016) disait:
tchak-tchak t'arrives t'il de recevoir des conseils autres que de champions du monde? peux tu concevoir qu'un entraineur ait moins résultats que le coureur?
tcsa (13 mars 2016) disait:
fixafon (13 mars 2016) disait:
tcsa (13 mars 2016) disait:
Normalement tu devrais encore pouvoir faire plus médiocre encore
Personne n'ira contester ta suprématie dans ce que tu maîtrises le mieux.
Pour le reste, au lieu de noyer le poisson dans des considérations qui n'intéressent que toi, tu ferais mieux de répondre aux questions de Tchak-Tchak.....
Si je réponds oui ou non, est-ce que cela aura une incidence favorable ou défavorable sur la pertinence de mon propos?
Quiconque n'ayant jamais vu une paire de ski mais ayant étudié l'histoire de l'éducation sportive en France sera plus pertinent que toi
fixafon (13 mars 2016) disait:
elfys (11 mars 2016) disait:
Les stagiaires français n'ont pas moins de motivation que les suisses, mais ils sont déjà mieux formé, pour le bonheur de la clientèle.
Si tu préfères confier tes gamins à des amateurs, c'est toi qui voit !
J'ai l'impression que soit tu n'as pas compris le cursus présenté par le pseudo Marc, soit tu fais exprès de rester sourd ou aveugle à ses explications. Certes, le cursus suisse tel qu'il nous est décrit ne représente peut-être pas la "voie royale" pour accéder à la profession de moniteur mais il constitue une formidable opportunité pour des amateurs motivés d'intégrer la filière et de rejoindre ultérieurement la formation "orthodoxe" s'ils présentent les qualités requises.
Je ne comprends pas ce "fanatisme exclusif" pour le cursus français alors que le suisse laisse une chance à ceux qui le souhaitent d'approcher ce métier en étant confrontés très tôt à la réalité du terrain. C'est une approche intelligente et originale. C'est quoi ce procès qui consiste à considérer des amateurs aspirants-moniteurs suisses comme étant plus mauvais en démonstrations/pédagogie qu'un aspirant- moniteur français ? Tout n'est qu'une question de compétence, de motivation et de travail personnel pour arriver à un même but.
Un moniteur 2eme degré de ski de rando qui encadre à la FFS bénévole serait-il par définition un mauvais encadrant car amateur ?!
elfys (13 mars 2016) disait:
Pour la formation suisse, cela ne me dérange pas qu'il fasse leur sauce commerciale avec des formations "en vois tu en voilà" puisque leur zone d'enseignement se réduit à la Suisse. Il n'ont en effet pas le droit d'enseigner dans la communauté européenne, aucun de leurs diplôme n'y étant reconnus.
elfys (13 mars 2016) disait:
Pour la formation suisse, cela ne me dérange pas qu'il fasse leur sauce commerciale avec des formations "en vois tu en voilà" puisque leur zone d'enseignement se réduit à la Suisse. Il n'ont en effet pas le droit d'enseigner dans la communauté européenne, aucun de leurs diplôme n'y étant reconnus.
Il est toujours plus facile de former un cheval de course à la pédagogie qu'un baudet au meilleur niveau de ski.
Car n'oublions pas qu'un moniteur doit être capable d'en démontrer à des skieurs experts.
elfys (13 mars 2016) disait:
Il est toujours plus facile de former un cheval de course à la pédagogie qu'un baudet au meilleur niveau de ski.
Car n'oublions pas qu'un moniteur doit être capable d'en démontrer à des skieurs experts.
francbord ( 9 mars 2016) disait:
@Zermattois
si c'est parce que tu habites Orléans que tu dis ça, t que tu peux passeer tes vacances à Zermatt, tu ferais mieux de réfléchir si tant est que tu as quarante et quelques balais.
marc (13 mars 2016) disait:
elfys (13 mars 2016) disait:
Pour la formation suisse, cela ne me dérange pas qu'il fasse leur sauce commerciale avec des formations "en vois tu en voilà" puisque leur zone d'enseignement se réduit à la Suisse. Il n'ont en effet pas le droit d'enseigner dans la communauté européenne, aucun de leurs diplôme n'y étant reconnus.
C'est totalement faux.
isiaski.org
marc (13 mars 2016) disait:
elfys (13 mars 2016) disait:
Pour la formation suisse, cela ne me dérange pas qu'il fasse leur sauce commerciale avec des formations "en vois tu en voilà" puisque leur zone d'enseignement se réduit à la Suisse. Il n'ont en effet pas le droit d'enseigner dans la communauté européenne, aucun de leurs diplôme n'y étant reconnus.
Il est toujours plus facile de former un cheval de course à la pédagogie qu'un baudet au meilleur niveau de ski.
Car n'oublions pas qu'un moniteur doit être capable d'en démontrer à des skieurs experts.
C'est sur que des skieurs comme Vreni Schneider, William Besse, etc sont des baudets.
elfys (13 mars 2016) disait:
Une formation fédérale (en France) quelle qu'elle soit ne peut prétendre donner le même niveau de compétence que celle professionnelle. Pour moi, c'est une évidence.
Pour Elfys je t'invite à lui écrire pour poser tes questions
il te répondra que partout en europe le diplôme suisse est reconnu... sauf... en france ou il y a quelques formalités à faire... mais bon, la france n'est pas le reste du monde hein
Fre?de?ric Berthoud, Point de contact pour la reconnaissance des diplo?mes, Effingerstrasse 27, 3003 Berne, fre?de?ric.berthoud@bbt.admin.ch, www.bbt.admin.ch/diploma
francbord (14 mars 2016) disait:
@ak,
Tu sais bien que les Suisses ne savent faire que des montres, du gruyère et des reines, et ça grâce aux montagnes qu'ils ont piqué aux français ( ex savoyards- à l'issue d'un vote truqué et qui auraient dû devenir Suisses)
ak (14 mars 2016) disait:
francbord (14 mars 2016) disait:
@ak,
Tu sais bien que les Suisses ne savent faire que des montres, du gruyère et des reines, et ça grâce aux montagnes qu'ils ont piqué aux français ( ex savoyards- à l'issue d'un vote truqué et qui auraient dû devenir Suisses)
t'as oublié le secret bancaire bordel!!!
legend77 (14 mars 2016) disait:
ak (14 mars 2016) disait:
francbord (14 mars 2016) disait:
@ak,
Tu sais bien que les Suisses ne savent faire que des montres, du gruyère et des reines, et ça grâce aux montagnes qu'ils ont piqué aux français ( ex savoyards- à l'issue d'un vote truqué et qui auraient dû devenir Suisses)
t'as oublié le secret bancaire bordel!!!
oui et tu as oublier également la spoliation des biens juifs en partenariat avec les nazis
legend77 disait:j'ai jamais parlé des suisses mais je faisait référence au secret bancaire évoqué par ak, c'est les coffres des banques et les principaux dirigeant de ces banques qui ce sont enrichie avec l'aide des nazis
Maintenant c'est avec les fraudeur fiscale qu'ils font leur beurre
Mesco (14 mars 2016) disait:
Hello,
N'y a t-il pas aussi un micmac vis-à-vis de l'enseignement en snowboard ?
J'ai entendu dire qu'en France, pour être moniteur de snowboard, il fallait passer par les tests de ski traditionnels. Tandis qu'en Suisse les formations sont propres au sport "à enseigner"...
Info ou intox ?
Merci
francbord (14 mars 2016) disait:
Zermattois,
Tu devrais alors pouvoir relire ta première réponse, et je ne vois pas ce que viens faire la Ségolène la dedans !
elfys disait:c'est exact, c'est d'ailleurs le sujet de tension majeur entre les 2 pays en terme de sports de montagne.
francbord (15 mars 2016) disait:
@zermattois, ma réaction que tu peux considérer comme innappropriée , n'avait pour objet que de te reprocher tes propos un peu abrupts, finalement tu me diras qu'une fille de 18 ans n'a pas à réver un peu, mais on est sur skipass, pas dans la vraie vie.
Salut ! Alors contrairement à certain je trouve que la filière staps peut t'aider et particulièrement cette formation : http://deust.apn.univ-lyon1.fr
Car elle te permet d'être libre pendant l'hiver tout en te plaçant dans leur centre de formation dans différentes stations !
Et surtout et te délivre une formation pour l'été soit en escalade, kayak ou voile !
Apres tu a les cours classique de staps !
Le plus de cette formation c'est qu'il ne faut pas être un jean fis qui a taper du piquer toute ça vie pour l'intégrer !
Apres tu a toujours l'ucpa qui est un très bon centre de formation
Romain Desbief (14 avril 2016) disait:
Salut ! Alors contrairement à certain je trouve que la filière staps peut t'aider et particulièrement cette formation : http://deust.apn.univ-lyon1.fr
Car elle te permet d'être libre pendant l'hiver tout en te plaçant dans leur centre de formation dans différentes stations !
Et surtout et te délivre une formation pour l'été soit en escalade, kayak ou voile !
Apres tu a les cours classique de staps !
Le plus de cette formation c'est qu'il ne faut pas être un jean fis qui a taper du piquer toute ça vie pour l'intégrer !
Apres tu a toujours l'ucpa qui est un très bon centre de formation
nono31 (14 avril 2016) disait:
Aujourd'hui, l'evolution du ski a permis à bcp de personne de mieux skier sur piste en hors piste et en freestyle, mais devenir un bon skieur loisir capable de corriger quelques défauts n'a rien avoir avec l'enseignement du ski.
Hellsass (25 avril 2016) disait:
Tu as pris ton traitement ? Ca va mieux ?
fixafon (25 avril 2016) disait:
nono31 (14 avril 2016) disait:
Aujourd'hui, l'evolution du ski a permis à bcp de personne de mieux skier sur piste en hors piste et en freestyle, mais devenir un bon skieur loisir capable de corriger quelques défauts n'a rien avoir avec l'enseignement du ski.
Ce n'est pas l'évolution du ski (= technique) qui a permis à beaucoup de personnes de mieux skier mais l'entretien des pistes et l'évolution spectaculaire du matériel notamment celui destiné au hp. L'apprentissage de la technique reste un passage obligé parfois "douloureux" en particulier pour ceux qui se mettent au ski à un certain âge. Les individus qui ont été mis très tôt sur des skis (bas âge) tirent leur épingle du jeu.
Quant à l'enseignement du ski, c'est une science complexe quand on reste dans le domaine de la théorie, de l'apprentissage des mécanismes et de l'acquisition de tous les savoir-faire pour emmener progressivement un débutant à un bon niveau en tous-terrains, toutes neiges (et tous temps !).
En situation concrète sur le terrain, je ne suis pas sûr que le vocabulaire et les actions employés par un moniteur soit différents de ceux d'un amateur éclairé "encadrant" qui saura utiliser d'autres ficelles pour obtenir le même résultat de son élève. La connaissance de la théorie de l'enseignement du ski permet d'avoir une vision globale de la discipline, dans les faits qu'en restera-t-il dans le quotidien d'un encadrant qui mettra surtout l'accent sur le nbre d'heures passées sur les pistes ?
ixafon (25 avril 2016) disait:
Hellsass (25 avril 2016) disait:
Tu as pris ton traitement ? Ca va mieux ?
Mon pauvre hell's-ass
ixafon (25 avril 2016) disait:
blablabla...
Hellsass (25 avril 2016) disait:
ixafon (25 avril 2016) disait:
[quote=Hellsass (25 avril 2016)]
Tu as pris ton traitement ? Ca va mieux ?
Ca y est, tu viens de comprendre le jeu de mot à 2 balles ? bravo..., mais mets y la forme alors
fixafon (25 avril 2016) disait:
nono31 (14 avril 2016) disait:
Aujourd'hui, l'evolution du ski a permis à bcp de personne de mieux skier sur piste en hors piste et en freestyle, mais devenir un bon skieur loisir capable de corriger quelques défauts n'a rien avoir avec l'enseignement du ski.
Ce n'est pas l'évolution du ski (= technique) qui a permis à beaucoup de personnes de mieux skier mais l'entretien des pistes et l'évolution spectaculaire du matériel notamment celui destiné au hp. L'apprentissage de la technique reste un passage obligé parfois "douloureux" en particulier pour ceux qui se mettent au ski à un certain âge. Les individus qui ont été mis très tôt sur des skis (bas âge) tirent leur épingle du jeu.
Quant à l'enseignement du ski, c'est une science complexe quand on reste dans le domaine de la théorie, de l'apprentissage des mécanismes et de l'acquisition de tous les savoir-faire pour emmener progressivement un débutant à un bon niveau en tous-terrains, toutes neiges (et tous temps !).
En situation concrète sur le terrain, je ne suis pas sûr que le vocabulaire et les actions employés par un moniteur soit différents de ceux d'un amateur éclairé "encadrant" qui saura utiliser d'autres ficelles pour obtenir le même résultat de son élève. La connaissance de la théorie de l'enseignement du ski permet d'avoir une vision globale de la discipline, dans les faits qu'en restera-t-il dans le quotidien d'un encadrant qui mettra surtout l'accent sur le nbre d'heures passées sur les pistes ?
tcsa (26 avril 2016) disait:
fixafon (25 avril 2016) disait:
nono31 (14 avril 2016) disait:
Aujourd'hui, l'evolution du ski a permis à bcp de personne de mieux skier sur piste en hors piste et en freestyle, mais devenir un bon skieur loisir capable de corriger quelques défauts n'a rien avoir avec l'enseignement du ski.
Ce n'est pas l'évolution du ski (= technique) qui a permis à beaucoup de personnes de mieux skier mais l'entretien des pistes et l'évolution spectaculaire du matériel notamment celui destiné au hp. L'apprentissage de la technique reste un passage obligé parfois "douloureux" en particulier pour ceux qui se mettent au ski à un certain âge. Les individus qui ont été mis très tôt sur des skis (bas âge) tirent leur épingle du jeu.
Quant à l'enseignement du ski, c'est une science complexe quand on reste dans le domaine de la théorie, de l'apprentissage des mécanismes et de l'acquisition de tous les savoir-faire pour emmener progressivement un débutant à un bon niveau en tous-terrains, toutes neiges (et tous temps !).
En situation concrète sur le terrain, je ne suis pas sûr que le vocabulaire et les actions employés par un moniteur soit différents de ceux d'un amateur éclairé "encadrant" qui saura utiliser d'autres ficelles pour obtenir le même résultat de son élève. La connaissance de la théorie de l'enseignement du ski permet d'avoir une vision globale de la discipline, dans les faits qu'en restera-t-il dans le quotidien d'un encadrant qui mettra surtout l'accent sur le nbre d'heures passées sur les pistes ?
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