paris dakar ils ont tous la même bagnole? même cylindrée?
L'actualité du ski alpin
ak (30 oct.) disait:
tcsa (30 oct.) disait:
Ben oui et en moto on devrait laisser rouler des 250cc en catégorie 125cc aussi?
quel exemple débile
C'est exactement du même ordre.
Mais tu sais quoi? On va clore ici le débat avant même de le commencer.
Tu as raison il faut annuler toutes idées de règles et chacun fait comme il veut. D'ailleurs je me dis que c'est très con de passer entre les portes alors qu'il y a de la place à côté...
tcsa (30 oct.) disait:
Ben oui et en moto on devrait laisser rouler des 250cc en catégorie 125cc aussi?
Si tu leur laisses le choix, ils prennent tous la 250 cc
Au ski, pas sur que tout le monde choisisse le même rayon
Dans le cas contraire, il n'y a même pas de débat
Tant que l'alpin sera enfermé dans ses principes millénaires il perdra des pratiquants au profit d'autres disciplines.
Dans beaucoup de disciplines sportives même s'il n'y a pas de règles écrites tout le monde pratique avec du matériel le plus adapté à son style et le performant et il n'y a paradoxalement pas de grosses différences de matos d'un athlète à l'autre.
A trop vouloir encadrer et réglementer on enferme l'activité dans un musée poussiéreux qui n'intéresse personne.
21, 27, 35 maintenant 30, dans 4 ans peut-être 25...
Dans d'autres domaines ça fait longtemps que les coureurs auraient hurlé au scandale en demandant aux instances organisatrices de les laisser pratiquer et se concentrer sur le ski plutôt que de s'adapter sans cesse à leurs caprices.
Tu m'étonnes que l'alpin ça n'intéresse quasiment plus personne...
Dans beaucoup de disciplines sportives même s'il n'y a pas de règles écrites tout le monde pratique avec du matériel le plus adapté à son style et le performant et il n'y a paradoxalement pas de grosses différences de matos d'un athlète à l'autre.
A trop vouloir encadrer et réglementer on enferme l'activité dans un musée poussiéreux qui n'intéresse personne.
21, 27, 35 maintenant 30, dans 4 ans peut-être 25...
Dans d'autres domaines ça fait longtemps que les coureurs auraient hurlé au scandale en demandant aux instances organisatrices de les laisser pratiquer et se concentrer sur le ski plutôt que de s'adapter sans cesse à leurs caprices.
Tu m'étonnes que l'alpin ça n'intéresse quasiment plus personne...
Et le quasiment n'est pas là par hasard. 
winstonsmith (30 oct.) disait:
Tant que l'alpin sera enfermé dans ses principes millénaires il perdra des pratiquants au profit d'autres disciplines.
Dans beaucoup de disciplines sportives même s'il n'y a pas de règles écrites tout le monde pratique avec du matériel le plus adapté à son style et le performant et il n'y a paradoxalement pas de grosses différences de matos d'un athlète à l'autre.
A trop vouloir encadrer et réglementer on enferme l'activité dans un musée poussiéreux qui n'intéresse personne.
21, 27, 35 maintenant 30, dans 4 ans peut-être 25...
Dans d'autres domaines ça fait longtemps que les coureurs auraient hurlé au scandale en demandant aux instances organisatrices de les laisser pratiquer et se concentrer sur le ski plutôt que de s'adapter sans cesse à leurs caprices.
Tu m'étonnes que l'alpin ça n'intéresse quasiment plus personne...
Bravo, je plussoie
Faivre parle aussi des 28 et des 29
Message modifié 2 fois. Dernière modification par squier, 30/10/2017 - 19:05
Blacksite (30 oct.) disait:
Il y a le même règlement pour les skis de DH et Super G ? Quel est leur rayon ?
Tout est réglementé en fis... Tout.
fis-ski.com
Il me semble qu'en sg ca va taper dans du 2.10 45m et en dh 2.18 50m
bonagva
Le 31 oct. 2017 - 12:49
winstonsmith (30 oct.) disait:
Pas totalement, si tu regardes bien ce règlement, tu verras qu'il n'y a pas de règles imposées sur la souplesse du ski par exemple.
Un Svindal (1m89, 98kg) et une Gut (1m60, 56kg) skient officiellement tous deux sur des GS Head de 30m de rayon mais ce ne sont bien évidemment pas les mêmes skis, la souplesse (et bien d'autres paramètres) sont adaptés au coureur ...
bonagva
Le 31 oct. 2017 - 13:01
tcsa (30 oct.) disait:
Ben oui et en moto on devrait laisser rouler des 250cc en catégorie 125cc aussi?
Ben, ça, j'ai expérimenté ...
A l'époque où je courrais en 125GP, ça nous arrivait de faire les séances de libre et chronos avec les 250 et même parfois la course aussi avec un départ décalé des 250 et 125 pour qu'il y ait le moins de mélange possible.
Ceci dit les meilleures 125 rattrapaient assez rapidement les 250 les plus lentes et c'était aux pilotes d'avoir un peu de bon sens pour que ça se passe bien ...
Les 125/250 2 temps se mélangeaient assez bien vu les caractéristiques de ces machines assez semblables (vitesses de passage ne courbe, trajectoires, caractéristiques moteur, ...).
Par contre, on nous a aussi fait rouler avec des Supersport (600 4-temps) et là, c'était galère: les 600 étaient rapides en ligne droite, lentes en courbe et avec des trajectoires très différentes, vraiment dangereux.
east bear
Le 31 oct. 2017 - 13:08
A l'epoque de Schumacher j'avais recherché la différence de temps au tour qu'il pouvait y avoir entre une F1 et une moto. J'avais choisi un circuit commun aux deux championnats, Suzuka.
Et outre ma surprise de voir un ecart aussi important en faveur des F1 (de memoire plus de 30s à l'epoque pour un tour d'1m35 en F1), j'avais également été étonné de voir que les 125 y tournaient 2s plus vite que les 250 (Les 500 leur mettaient 10 et 12s).
Et outre ma surprise de voir un ecart aussi important en faveur des F1 (de memoire plus de 30s à l'epoque pour un tour d'1m35 en F1), j'avais également été étonné de voir que les 125 y tournaient 2s plus vite que les 250 (Les 500 leur mettaient 10 et 12s).
bonagva
Le 31 oct. 2017 - 14:12
Une F1 a des appuis aérodynamiques qui permettent des passages dans les courbes rapides juste hallucinants ...
Cette comparaison est valable pour les motos mais aussi pour les bagnoles sans appendices, genre la safety car qui, malgré ses >500HP, est tellement lente que les F1 derrière voient leurs gommes/freins se refroidir et les pilotes râler ...
Un autre point largement en faveur des 4-roues, le centre de gravité bien plus bas, qui permet des freinages et accélération bien plus efficaces. Le freinage d'une F1: confidential-renault.fr
Sur une moto, au freinage, lorsque l'arrière commence à décoller, tu ne peux pas aller beaucoup plus loin et ça allonge les distances de freinage au mini de 3x et pareil à l'accélération, c'est le wheeling qui limite les ardeurs ...
Par contre, les motos sont plus rapides dans les pif-pafs et courbes très lents, simplement parce qu'elles profitent de leur largeur moindre pour "agrandir" le rayon de la courbe par une trajectoire différente et maintenir une vitesse de passage plus élevée.
D'autant, qu'à faible vitesse les appuis aérodynamiques d'une F1 deviennent très faibles ...
bonagva (31 oct.) disait:
Pas totalement, si tu regardes bien ce règlement, tu verras qu'il n'y a pas de règles imposées sur la souplesse du ski par exemple.
Un Svindal (1m89, 98kg) et une Gut (1m60, 56kg) skient officiellement tous deux sur des GS Head de 30m de rayon mais ce ne sont bien évidemment pas les mêmes skis, la souplesse (et bien d'autres paramètres) sont adaptés au coureur ...
Tout à fait, mais encore heureux quand même hein
en épreuve de vitesse la tendance est plutôt au soft non ?
https://youtu.be/fiMCRR8P9MU
la courbure du ski à 0.55
bonagva (31 oct.) disait:
Bravo pour la carrière et le style inimitable
S'il avait su, il n'aurait pas été au contentieux contre Head
Amnéville accueillera la première étape de la saison (FIS Master Cup)
Les 11 et 12 novembre 2017, Snowhall Amnéville et le Ski Club Amnéville accueilleront la Première coupe indoor Masters internationale (FIS Masters Cup).
http://www.visitamneville.com/wp-content/uploads/2014/11/piste-de-ski-snowhall.jpg
La compétition fait partie du circuit FIS Masters Cup (la Coupe du monde des plus de 30 ans), qui regroupe une quinzaine d’étapes de 2 à 3 jours entre décembre et avril en Europe. La saison 2017-2018 s’ouvrira sur le continent européen avec une étape indoor au Snowhall d’Amnéville.
Les 11 et 12 novembre, jusqu'à 150 skieurs s’affronteront sur le glacier mosellan sur un slalom en deux manches. D’anciens champions de haut niveau mais aussi et aussi les passionnés de ski de 30 à plus de 70 ans.
La piste de l’unique dôme français offrira un challenge supplémentaire de par sa particularité de faible pente si on la compare aux pistes sur lesquelles les Masters ont l’habitude de skier.
La Fédération Française de Ski alignera près de 50 compétiteurs habitués à parcourir l’Europe pour obtenir le Globe de leur catégorie. Muriel Jay (Les Ménuires), Michel Lerat (Les 7 Laux) ou encore les haut-alpins de Serre Chevalier Pierre de Kinkelin ou Bernard Canton, le doyen de l’équipe de France, ne manqueront pas ce rendez-vous de façon à accumuler de très bons points sur le classement général de la FIS Masters Cup et être sur le podium de leur catégorie comme la saison dernière.
Ski Chrono
Les 11 et 12 novembre 2017, Snowhall Amnéville et le Ski Club Amnéville accueilleront la Première coupe indoor Masters internationale (FIS Masters Cup).
http://www.visitamneville.com/wp-content/uploads/2014/11/piste-de-ski-snowhall.jpg
La compétition fait partie du circuit FIS Masters Cup (la Coupe du monde des plus de 30 ans), qui regroupe une quinzaine d’étapes de 2 à 3 jours entre décembre et avril en Europe. La saison 2017-2018 s’ouvrira sur le continent européen avec une étape indoor au Snowhall d’Amnéville.
Les 11 et 12 novembre, jusqu'à 150 skieurs s’affronteront sur le glacier mosellan sur un slalom en deux manches. D’anciens champions de haut niveau mais aussi et aussi les passionnés de ski de 30 à plus de 70 ans.
La piste de l’unique dôme français offrira un challenge supplémentaire de par sa particularité de faible pente si on la compare aux pistes sur lesquelles les Masters ont l’habitude de skier.
La Fédération Française de Ski alignera près de 50 compétiteurs habitués à parcourir l’Europe pour obtenir le Globe de leur catégorie. Muriel Jay (Les Ménuires), Michel Lerat (Les 7 Laux) ou encore les haut-alpins de Serre Chevalier Pierre de Kinkelin ou Bernard Canton, le doyen de l’équipe de France, ne manqueront pas ce rendez-vous de façon à accumuler de très bons points sur le classement général de la FIS Masters Cup et être sur le podium de leur catégorie comme la saison dernière.
Ski Chrono
Normalement quand on n'est pas un extra-terrestre faut au minimum 1 an pour se remettre d'une fracture.
Et quand je dis se remettre ... c'est à la discrétion du Dr Coué.
Et quand je dis se remettre ... c'est à la discrétion du Dr Coué.
Aline Danioth à nouveau blessée
http://bergstimme.ch/wp-content/uploads/2016/03/Danioth-_Aline.jpg
La jeune Uranaise joue décidément de malchance: à peine de retour à la compétition suite à la grave blessure contractée en fin d'année dernière, voilà qu'elle se blesse au genou lors d'un entraînement. Le diagnostic a révélé une lésion du ménisque interne, qui a nécessité une opération. Tout s'est bien passé selon les médecins mais Aline Danioth doit maintenant attendre trois à quatre semaines avant de pouvoir rechausser les skis. Espérons simplement que cet arrêt n'aura pas trop d'incidence sur sa saison...
TooSki
http://bergstimme.ch/wp-content/uploads/2016/03/Danioth-_Aline.jpg
La jeune Uranaise joue décidément de malchance: à peine de retour à la compétition suite à la grave blessure contractée en fin d'année dernière, voilà qu'elle se blesse au genou lors d'un entraînement. Le diagnostic a révélé une lésion du ménisque interne, qui a nécessité une opération. Tout s'est bien passé selon les médecins mais Aline Danioth doit maintenant attendre trois à quatre semaines avant de pouvoir rechausser les skis. Espérons simplement que cet arrêt n'aura pas trop d'incidence sur sa saison...
TooSki
vonderberg
Le 3 nov. 2017 - 14:03
Blacksite ( 3 nov.) disait:
En même temps, Hirscher a la chance de ne plus rien avoir à prouver.
Tout au contraire ! Il n'a glané qu'une médaille d'argent en slalom aux J.O. de Sotchi.
Or, pour accéder à la postérité, un athlète doit décrocher au moins une médaille d'or aux J.O. C'est aussi une question de reconversion professionnelle réussie, avec un nom à vendre pour faire rentrer les pépètes après le ski.
Le fait qu'il ait gagné 6 gros globes de cristal d'affilée, c'est bien, mais pas assez visible pour le grand public !
Ah, ces cuisses...
Effectivement, les JO, pour les ricains, c'est quelque chose
Elle est plutôt confiante
youtube.com
mtf73
Le 6 nov. 2017 - 19:35
squier ( 6 nov.) disait:
Blacksite ( 6 nov.) disait:
Trop craquante !
Ca n'a pas du suffire à Tiger : il s'est barré
Je ne rappelle plus si il avait fini son traitement contre son addiction au sexe, quand il était avec elle, après s'être fait démonter par son épouse.
Il faut demander aux spécialistes des journaux People.
Pour la séparation cela expliquera si c'est lui ou elle qui est parti ?
@ +
La Russie sous drapeau neutre à PyeongChang ?
La Russie participera-t-elle aux Jeux de PyeongChang 2018 ? Nos confrères de Francs Jeux nous apprenne que Thomas Bach l’a encore répété en fin de semaine passée lors de l’assemblée générale de l’ANOC à Prague: la décision sera prise au début du mois de décembre par la commission exécutive du CIO.
De son côté, le New York Times croit savoir que l’organisation olympique envisagerait d’accepter une délégation russe aux Jeux d’hiver, mais sous couvert de neutralité. S'appuyant sur une source interne au CIO, le quotidien américain explique que les athlètes russes pourraient défiler sous drapeau neutre, ils ne seraient pas autorisés à porter les couleurs de leur pays, et l’hymne russe ne serait pas joué en cas de victoire.
Ski Chrono
La Russie participera-t-elle aux Jeux de PyeongChang 2018 ? Nos confrères de Francs Jeux nous apprenne que Thomas Bach l’a encore répété en fin de semaine passée lors de l’assemblée générale de l’ANOC à Prague: la décision sera prise au début du mois de décembre par la commission exécutive du CIO.
De son côté, le New York Times croit savoir que l’organisation olympique envisagerait d’accepter une délégation russe aux Jeux d’hiver, mais sous couvert de neutralité. S'appuyant sur une source interne au CIO, le quotidien américain explique que les athlètes russes pourraient défiler sous drapeau neutre, ils ne seraient pas autorisés à porter les couleurs de leur pays, et l’hymne russe ne serait pas joué en cas de victoire.
Ski Chrono
Veronika Velez-Zuzulova sur la bonne voie
Veronika Velez-Zuzulova, blessée au genou lors d'un stage à Ushuaia cet été, est rassurée pour la suite de la saison. Et la Slovaque, 2e mondiale du slalom la saison dernière, compte bien disputer les JO de PyeongChang en février prochain.
Où en êtes vous après votre opération du genou ?
Je suis à six semaines de mon opération, je cours, je suis prête pour attaquer la préparation physique la semaine prochaine. J'ai eu la chance d'avoir le chirurgien Bertrand Sonnery-Cottet qui m'a proposé cette opération, une opération moderne. J'ai tout de suite eu envie de le faire. Il a très bien fait son boulot, derrière j'ai beaucoup travaillé en rééducation, six heures par jour à Lyon pendant cinq semaines. C'est pour ça qu'aujourd'hui je suis prête à refaire de la préparation physique.
Quelles sont les prochaines étapes ?
Ca va être de renforcer mon genou, mon corps. Et dès que je suis prête pour aller sur les skis j'irai !
Le premier slalom de la saison se joue à Levi le week-end prochain...
Je vais regarder la course, c'est sûr. J'ai envie de voir comment les autres filles skient. Mais rater le début de la saison, ça ne me pose pas de problème parce que depuis le début, depuis que je me suis blessée, je savais que j'allais rater deux ou trois courses. Mais je sais aussi que je vais revenir et je fais tout pour revenir pas moins forte que ce que j'étais avant ma blessure.
Avez-vous déjà une idée de votre date de retour en compétition ?
Oui, je sais quelle sera ma prochaine course mais... je ne le dis pas encore ! Je veux que tout se passe bien. J'ai un objectif dans la tête, je sais quelle course je ferai et je le dirai quand ça sera vraiment la réalité.
Vous verra-t-on aux Jeux Olympiques ?
Ca c'est sûr !
SkiChrono
Veronika Velez-Zuzulova, blessée au genou lors d'un stage à Ushuaia cet été, est rassurée pour la suite de la saison. Et la Slovaque, 2e mondiale du slalom la saison dernière, compte bien disputer les JO de PyeongChang en février prochain.
Où en êtes vous après votre opération du genou ?
Je suis à six semaines de mon opération, je cours, je suis prête pour attaquer la préparation physique la semaine prochaine. J'ai eu la chance d'avoir le chirurgien Bertrand Sonnery-Cottet qui m'a proposé cette opération, une opération moderne. J'ai tout de suite eu envie de le faire. Il a très bien fait son boulot, derrière j'ai beaucoup travaillé en rééducation, six heures par jour à Lyon pendant cinq semaines. C'est pour ça qu'aujourd'hui je suis prête à refaire de la préparation physique.
Quelles sont les prochaines étapes ?
Ca va être de renforcer mon genou, mon corps. Et dès que je suis prête pour aller sur les skis j'irai !
Le premier slalom de la saison se joue à Levi le week-end prochain...
Je vais regarder la course, c'est sûr. J'ai envie de voir comment les autres filles skient. Mais rater le début de la saison, ça ne me pose pas de problème parce que depuis le début, depuis que je me suis blessée, je savais que j'allais rater deux ou trois courses. Mais je sais aussi que je vais revenir et je fais tout pour revenir pas moins forte que ce que j'étais avant ma blessure.
Avez-vous déjà une idée de votre date de retour en compétition ?
Oui, je sais quelle sera ma prochaine course mais... je ne le dis pas encore ! Je veux que tout se passe bien. J'ai un objectif dans la tête, je sais quelle course je ferai et je le dirai quand ça sera vraiment la réalité.
Vous verra-t-on aux Jeux Olympiques ?
Ca c'est sûr !
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Dépression et pause forcée pour Kajsa Kling
Souffrant de dépression depuis quelque temps, la spécialiste de vitesse suédoise Kajsa Kling, 28 ans, a décidé de mettre sa carrière entre parenthèses. «Je ne me sens pas bien et je dois donner la priorité à ma santé», a-t-elle déclaré, n’évoquant aucune date pour un éventuel retour.
TooSki
Souffrant de dépression depuis quelque temps, la spécialiste de vitesse suédoise Kajsa Kling, 28 ans, a décidé de mettre sa carrière entre parenthèses. «Je ne me sens pas bien et je dois donner la priorité à ma santé», a-t-elle déclaré, n’évoquant aucune date pour un éventuel retour.
TooSki
vonderberg
Le 9 nov. 2017 - 17:44
Episode tardif du Mercato (si l'on peut dire, en l'occurrence) : fidèle parmi les fidèles, Kristoffersen a décidé de continuer avec Rossignol jusqu'en 2020. Cela fait déjà 14 ans qu'il skie avec du matériel de la marque française.
ledauphine.com
Du nouveau à tous les étages
Un changement de nom et un format resserré pour le circuit dames, voici les deux nouveautés du circuit national Fis soutenu par Ski Chrono et qui s'élancera le 13 novembre à Tignes pour les hommes avec un super-G
Nouvelle saison et nouveau nom pour le Ski Chrono National Tour (SCNT) qui devient le Ski Chrono Samse Tour (SCST). La société iséroise, partenaire historique de ce circuit national soutenu également par la Caisse d’Epargne Rhône Alpes (CERA), muscle son investissement. Pas de changement chez les hommes avec trois catégories (SCST U 18, SCST Technique, SCST vitesse) et des épreuves qui s’échelonnent de la mi-novembre (avec la vitesse à Tignes) jusqu’à début avril avec un bouquet final à Serre-Chevalier. On garde également le classement club.
En revanche, c’est sur le circuit féminin qu’on observe le plus gros changement. Si l’on garde les trois catégories (SCST U 18, SCST Technique, SCST vitesse), la FFS a choisi de réduire le nombre de courses (seulement 10 pour le SCST U18, 6 épreuves le SCST vitesse et 6 pour la SCST technique ) comptant pour le classement général de chaque catégorie. « On veut redynamiser les circuits, revaloriser les podiums, les courses pour redonner plus de lisibilité au circuit U 18, priorité de notre circuit national » explique Philippe Martin, responsable du SCST dames à la FFS.
Rendez-vous donc toute la saison pour suivre le Ski Chrono Samse Tour sur skichrono.com, partenaire média de la relève française.
SkiChrono
Un changement de nom et un format resserré pour le circuit dames, voici les deux nouveautés du circuit national Fis soutenu par Ski Chrono et qui s'élancera le 13 novembre à Tignes pour les hommes avec un super-G
Nouvelle saison et nouveau nom pour le Ski Chrono National Tour (SCNT) qui devient le Ski Chrono Samse Tour (SCST). La société iséroise, partenaire historique de ce circuit national soutenu également par la Caisse d’Epargne Rhône Alpes (CERA), muscle son investissement. Pas de changement chez les hommes avec trois catégories (SCST U 18, SCST Technique, SCST vitesse) et des épreuves qui s’échelonnent de la mi-novembre (avec la vitesse à Tignes) jusqu’à début avril avec un bouquet final à Serre-Chevalier. On garde également le classement club.
En revanche, c’est sur le circuit féminin qu’on observe le plus gros changement. Si l’on garde les trois catégories (SCST U 18, SCST Technique, SCST vitesse), la FFS a choisi de réduire le nombre de courses (seulement 10 pour le SCST U18, 6 épreuves le SCST vitesse et 6 pour la SCST technique ) comptant pour le classement général de chaque catégorie. « On veut redynamiser les circuits, revaloriser les podiums, les courses pour redonner plus de lisibilité au circuit U 18, priorité de notre circuit national » explique Philippe Martin, responsable du SCST dames à la FFS.
Rendez-vous donc toute la saison pour suivre le Ski Chrono Samse Tour sur skichrono.com, partenaire média de la relève française.
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Un circuit féminin resserré
Le nouveau circuit SCST féminin est resserré pour être plus lisible et moins dilué sur la saison. Cela va redonner une valeur supplémentaire à chacune de ces étapes.
Les meilleurs espoirs françaises, parfois absentes de ces étapes car qualifiées pour des Coupe d’Europe, ne seront ainsi plus pénalisées.
1/ le SCST U18 : la priorité est donnée à la polyvalence technique et à régularité.
10 courses sont prises en compte pour le classement final : 4GS+4SL+2SG
Ces 10 épreuves "SCST" comptent pour le classement final . C’est la fin du "meilleur choix."
Les primes seront versées aux trois premières du classement final sous forme d’ouvertures de comptes à la caisse d’épargne Rhône Alpes (CERA):
1 = 1200€ ; 2= 800€ ; 3= 400€
2/ le SCST TECHNIQUE : la priorité est mise sur la performance dans la discipline forte: GS et SL
6 courses sont primées : 3 GS et 3 SL (nommées SCST TECHNIQUE). Chaque gagnante (1ere Française au scratch) recevra 200€ .
En fin de saison, deux classements distincts récompenseront les trois premières du classement slalom et du classement géant établi sur les résultats des trois géants et trois slaloms « SCST TECH ».
Les 3 premières de chaque classement recevront une somme sous forme d’ouverture de compte CERA tel que : 1ere = 600€ / 2eme = 400€ /3eme = 200€.
3/ SCST VITESSE : un circuit d’appui pour la formation à la vitesse.
Six courses primées : quatre super-G et deux descentes (nommés SCST VITESSE). Chaque gagnante (1ere Française au scratch) recevra 200€.
En fin de saison, un classement récompensera les trois premières filles, palmarès établi sur les résultats des quatre super-G et deux descentes « SCST VITESSE ».
Les primes seront versées aux trois premières du classement final sous forme d’ouverture de comptes CERA.
1 = 1200€ ; 2= 800€ ; 3 = 400€
4/ SCST VITESSE : un circuit d’appui pour la formation à la vitesse.
Comme pour le SCST TECH, des courses ciblées sont primées et un classement final est établi en fin de saison.
Six courses primées : quatre super-G et deux descentes (nommés SCST VITESSE). La gagnante (1ere Française au scratch) recevra 200€ sur chacune des 6 courses.
En fin de saison, un classement récompensera les trois premières filles, palmarès établi sur les résultats des quatre super-G et deux descentes « SCST VITESSE ».
Les primes seront versées aux trois premières du classement final sous forme d’ouverture de comptes CERA.
1 = 1200€ ; 2 = 800€ ; 3 = 400€
SkiChrono
Le nouveau circuit SCST féminin est resserré pour être plus lisible et moins dilué sur la saison. Cela va redonner une valeur supplémentaire à chacune de ces étapes.
Les meilleurs espoirs françaises, parfois absentes de ces étapes car qualifiées pour des Coupe d’Europe, ne seront ainsi plus pénalisées.
1/ le SCST U18 : la priorité est donnée à la polyvalence technique et à régularité.
10 courses sont prises en compte pour le classement final : 4GS+4SL+2SG
Ces 10 épreuves "SCST" comptent pour le classement final . C’est la fin du "meilleur choix."
Les primes seront versées aux trois premières du classement final sous forme d’ouvertures de comptes à la caisse d’épargne Rhône Alpes (CERA):
1 = 1200€ ; 2= 800€ ; 3= 400€
2/ le SCST TECHNIQUE : la priorité est mise sur la performance dans la discipline forte: GS et SL
6 courses sont primées : 3 GS et 3 SL (nommées SCST TECHNIQUE). Chaque gagnante (1ere Française au scratch) recevra 200€ .
En fin de saison, deux classements distincts récompenseront les trois premières du classement slalom et du classement géant établi sur les résultats des trois géants et trois slaloms « SCST TECH ».
Les 3 premières de chaque classement recevront une somme sous forme d’ouverture de compte CERA tel que : 1ere = 600€ / 2eme = 400€ /3eme = 200€.
3/ SCST VITESSE : un circuit d’appui pour la formation à la vitesse.
Six courses primées : quatre super-G et deux descentes (nommés SCST VITESSE). Chaque gagnante (1ere Française au scratch) recevra 200€.
En fin de saison, un classement récompensera les trois premières filles, palmarès établi sur les résultats des quatre super-G et deux descentes « SCST VITESSE ».
Les primes seront versées aux trois premières du classement final sous forme d’ouverture de comptes CERA.
1 = 1200€ ; 2= 800€ ; 3 = 400€
4/ SCST VITESSE : un circuit d’appui pour la formation à la vitesse.
Comme pour le SCST TECH, des courses ciblées sont primées et un classement final est établi en fin de saison.
Six courses primées : quatre super-G et deux descentes (nommés SCST VITESSE). La gagnante (1ere Française au scratch) recevra 200€ sur chacune des 6 courses.
En fin de saison, un classement récompensera les trois premières filles, palmarès établi sur les résultats des quatre super-G et deux descentes « SCST VITESSE ».
Les primes seront versées aux trois premières du classement final sous forme d’ouverture de comptes CERA.
1 = 1200€ ; 2 = 800€ ; 3 = 400€
SkiChrono
vonderberg
Le 10 nov. 2017 - 14:47
Après quelques hésitations, Marcel Hirscher sera bien présent à Levy : ledauphine.com
Il veut seulement se tester en compétition ou augmenter sa collection de rennes ?
Noens : "J'ai été assez patiente !"
Après une saison où elle revenait de blessure, Nastasia Noens attaque cet hiver 2018 avec l'envie de retrouver son niveau d'avant. La Niçoise s'élancera avec le dossard 30 aujourd'hui (10h et 13h) sur ce premier slalom de l'hiver, sur la piste finlandaise de Levi.
Comment s’est passée la préparation ?
« Ça s’est bien passée. Pour moi, la nouveauté c’est notre préparateur physique, Mario, avec qui je n’avais pas encore travaillé. C’était différent, mais bien adapté par rapport à mes genoux. Les stages de skis se sont aussi bien déroulés. Je suis contente de la préparation. »
Il y a ensuite eu Ushuaia en septembre ?
« Oui, à Ushuaia on a commencé à skier plus engagé, sur des tracés beaucoup plus dur. Je suis rentré trois jours avant parce que je me suis fait un petit claquage, rien de grave, mais il fallait rentrer. J’ai repris il y a deux semaines et demi à Tignes. Maintenant tout roule. »
Vous avez évolué dans un groupe de slalomeuses réduit…
« On était que trois slalomeuses avec Adeline, mais elle s’est blessée, et Anne-So, qui fait de la vitesse. Je me suis retrouvée un peu seule à un moment ! Je n’aime pas trop ça, j’ai besoin qu’on me titille. J’ai du mal à l’entraînement à me faire violence, alors toute seule… Mais je me suis mis des petits challenges, comme faire les qualifs avec les jeunes ici à Levi ! »
Avec l’équipe de France, vous êtes aussi arrivée à Levi plus tôt que d’habitude ?
« Oui, et je suis bien contente d’avoir pu skier la piste de course ces derniers jours. Je n’ai jamais trop aimé cette piste, alors de la tester avant, ça libère un peu. On a skié une fois avec Shiffrin et Petra Vlhova, ça remet un peu à l’heure aussi ! Elles skient fort. Mais je sais qu’il me faut encore quelques kilomètres, surtout en intensité max, en compétition. »
Quelles sont vos attentes ?
« Clairement, c’est de reprendre la compétition, de retrouver le plaisir de la compétition. Depuis les Mondiaux, j’attends. J’ai été assez patiente ! Maintenant, physiquement tout va bien. J’ai envie de revenir à mon niveau et encore mieux. Je suis encore motivée. Mes objectifs, ça sera sur janvier et février, sur des courses que j’aime bien, les Jeux qui s’enchaînent. Mais à Levi, je ne viens pas pour voir, j’irai à 100%. Et je verrai bien où mon 100% va m’amener. Je ne pars pas pour la gagne, mais je veux faire des gros points tout de suite.»
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Après une saison où elle revenait de blessure, Nastasia Noens attaque cet hiver 2018 avec l'envie de retrouver son niveau d'avant. La Niçoise s'élancera avec le dossard 30 aujourd'hui (10h et 13h) sur ce premier slalom de l'hiver, sur la piste finlandaise de Levi.
Comment s’est passée la préparation ?
« Ça s’est bien passée. Pour moi, la nouveauté c’est notre préparateur physique, Mario, avec qui je n’avais pas encore travaillé. C’était différent, mais bien adapté par rapport à mes genoux. Les stages de skis se sont aussi bien déroulés. Je suis contente de la préparation. »
Il y a ensuite eu Ushuaia en septembre ?
« Oui, à Ushuaia on a commencé à skier plus engagé, sur des tracés beaucoup plus dur. Je suis rentré trois jours avant parce que je me suis fait un petit claquage, rien de grave, mais il fallait rentrer. J’ai repris il y a deux semaines et demi à Tignes. Maintenant tout roule. »
Vous avez évolué dans un groupe de slalomeuses réduit…
« On était que trois slalomeuses avec Adeline, mais elle s’est blessée, et Anne-So, qui fait de la vitesse. Je me suis retrouvée un peu seule à un moment ! Je n’aime pas trop ça, j’ai besoin qu’on me titille. J’ai du mal à l’entraînement à me faire violence, alors toute seule… Mais je me suis mis des petits challenges, comme faire les qualifs avec les jeunes ici à Levi ! »
Avec l’équipe de France, vous êtes aussi arrivée à Levi plus tôt que d’habitude ?
« Oui, et je suis bien contente d’avoir pu skier la piste de course ces derniers jours. Je n’ai jamais trop aimé cette piste, alors de la tester avant, ça libère un peu. On a skié une fois avec Shiffrin et Petra Vlhova, ça remet un peu à l’heure aussi ! Elles skient fort. Mais je sais qu’il me faut encore quelques kilomètres, surtout en intensité max, en compétition. »
Quelles sont vos attentes ?
« Clairement, c’est de reprendre la compétition, de retrouver le plaisir de la compétition. Depuis les Mondiaux, j’attends. J’ai été assez patiente ! Maintenant, physiquement tout va bien. J’ai envie de revenir à mon niveau et encore mieux. Je suis encore motivée. Mes objectifs, ça sera sur janvier et février, sur des courses que j’aime bien, les Jeux qui s’enchaînent. Mais à Levi, je ne viens pas pour voir, j’irai à 100%. Et je verrai bien où mon 100% va m’amener. Je ne pars pas pour la gagne, mais je veux faire des gros points tout de suite.»
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