LesMenuiresCestTop (11 févr.) disait:
Entraînement surprise Géant féminin aux Ménuires (en tout cas en ce qui me concerne la surprise était totale) ce matin.
Tessa Worley, Coralie Frasse Sombet, Clara Direz et la canadienne Valérie Grenier (ils doivent avoir un partenariat je suppose).
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LesMenuiresCestTop (11 févr.) disait:
Non, en tout cas on n'a vu que ces 4 qui étaient en boucle
LesMenuiresCestTop (11 févr.) disait:
LesMenuiresCestTop (11 févr.) disait:
Non, en tout cas on n'a vu que ces 4 qui étaient en boucle
Cela étant j'ai vu ce soir qu'il ont retracé (un tracé très peu tournant bien dans l'axe de la pente), peut-être pour demain avec d'autres filles ?
LeKeke (11 févr.) disait:
LesMenuiresCestTop (11 févr.) disait:
LesMenuiresCestTop (11 févr.) disait:
Non, en tout cas on n'a vu que ces 4 qui étaient en boucle
Cela étant j'ai vu ce soir qu'il ont retracé (un tracé très peu tournant bien dans l'axe de la pente), peut-être pour demain avec d'autres filles ?
Si elles y sont, ta fille va péter un câble : deux nouvelles "Campionissima del Mondo" ! Remarque, Tessa a le même palmarès que les deux réunies à elle toute seule.
Pour moi, le stade de slalom des Menuires est synonyme de l'échec du grand Alberto Tomba, pour faire le "double double", c'est à dire double Champion Olympique SL et GS 88 et 92, ce qui aurait été une performance difficile à égaler. J'étais au bord de la piste et il s'était fait battre par le Norvégien Jagge (RIP 2020) qui venait d'inventer une nouvelle technique pour tourner autour des piquets.
Et accessoirement, j'ai sauté 18m à l'âge de 8ans en matériel Alpin sur le tremplin qui était sur le coté ! ?
LesMenuiresCestTop (11 févr.) disait:
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LeKeKe, si tu as assisté au combiné masculin sur l'Eclipse, aurais-tu des tuyaux pour trouver un bon endroit en bord de piste pour la descente de demain, et si oui tu conseilles de prendre quelle remontée pour y accéder ? Avec la forêt tout autour je crains que pas grand chose ne soit accessible...
Une fois en haut de ce TS, tu as accès à l'aire de départ et toute la piste de l'Eclipse. Seule la première moitié de la piste est visible, sauf à faire le sanglier dans la forêt en dessous. Il y aura certainement une zone avec un écran au niveau de l'arrivée de TS Forêt (Le Praz). Dès le haut de la piste, il y a le saut du Zenith qui est très spectaculaire. Il faut prendre le versant droit de la piste pour être au plus près. Après, tu vois environ 40s de course. Sinon, pour voir les 40 premières secondes de course du dessous, tu vas vers l'arrivée de TS Forêt. 
marc (11 févr.) disait:Je pense qu'elle a déjà de manière générale pas mal de monde qui lui tourne autour, donc j'ai pas voulu l'embêter.
Je me suis contenté de la regarder skier.
LeKeke (11 févr.) disait:
Il faut prendre le versant droit de la piste pour être au plus près.
LesMenuiresCestTop (11 févr.) disait:
Merci pour ces précieuses infos.
LeKeke (11 févr.) disait:
Il faut prendre le versant droit de la piste pour être au plus près.
Sur la droite en descendant ?
francbord (12 févr.) disait:
C'est bien la premiere fois que je n'eprouve pas de la trouille pour les coureurs au cours des epreuves de vitesse,visiblement gros progres pour la securite passive avec de bons degagements avant les filets, aucun blesse et tres beau ski, je trouve que c'est un gros plus et belles images....
Désolé pour les messages multiples, je viens de voir aussi ce reportage video :
youtube.com
On n'a vu que l'entraînement sur l'injecté en ce qui nous concerne (et on n'a pas vu Bassino d'ailleurs), très impressionnant.
A 1:08 c'est kdo
youtube.com
Blacksite (14 févr.) disait:
Pas assez d'ambiance à Courchevel et Méribel
Cette édition 2023 des championnats du monde de ski alpin ne restera pas dans les annales au niveau de la ferveur, avec des tribunes qui ne font pas le plein. A qui la faute ?
ski-nordique.net
bonagva (15 févr.) disait:
A force de frôler la catastrophe, on finira par l'avoir.
Quand est-ce qu'on passe ce format débile à la trappe ???
blick.ch
Un article très intéressant sur la gestion de la célébrité.
watson.ch
disait:Lara Gut, la fuite en arrière
Lara Gut-Behrami est de ces chrysalides que la célébrité a grillées, petit papillon heureux de voler de ses propres ailes, brûlé trop vite à la lumière des projecteurs. «Lara est un personnage multifacette, nuance Ralph Krieger. Je rappelle qu’elle a fêté sa première médaille olympique en faisant la tête et en pleurant. Mais avec Lara, il faut toujours situer le contexte. Elle a débarqué sur la Coupe du monde à 16 ans, en étant probablement un peu candide et harcelée.»
«Elle parlait quatre langues, elle gagnait et elle était jolie. Tout le monde la voulait à sa table ou à son micro»
«Peut-être qu’elle a été trop généreuse et qu’elle a été déçue. Mais elle a fini par décevoir elle aussi. Quand elle passait tout droit devant la presse après un mauvais résultat, pardon, mais ce n’était pas professionnel. A un certain moment, Lara a un peu pris les gens de haut.»
Nous en avions longuement parlé avec elle en décembre 2016, après avoir été mis en relation, et surtout en confiance, par son conseiller personnel. Nous avions découvert une femme ouverte, drôle, extrêmement vive et réfléchie. Mais salement écorchée, dès qu'il fallait sortir des pistes.
«Cette attention autour de moi est arrivée brusquement. C’était un choc: je n’y étais pas du tout préparée. Moi, je pensais naïvement que skieuse de compétition, c’était enchaîner des courses. Pas donner des interviews, faire des photos, rencontrer des sponsors. Au bout du compte, je n’ai presque plus eu le temps de skier. Mes deux seules minutes de liberté, c’était pendant la course. Le reste du temps, c’était de la com’. C’était avoir une opinion sur le monde; et aussi le monde qui avait une opinion sur moi…»
Publié dans Le Matin Dimanche du 17 décembre 2016
Lara Gut-Behrami dit avoir eu la sensation de ne plus s’appartenir. Aujourd’hui, elle n’accorde pratiquement aucune interview individuelle et a désactivé tous ses comptes sur les réseaux sociaux. Avec le recul, elle prétend avoir tiré une force de la détestation générale, la force de mieux rebondir, selon les ressorts classiques du «seul contre tous».
«J’ai remporté ma première course après une cabale d’une semaine dans Blick. J’en ai gagné une autre au lendemain de ma suspension par Swiss Ski (ndlr: en raison de ses critiques à l’encontre d’un coach). Vous vous rendez compte? Je suis devenue la première skieuse de l’histoire suspendue par la fédération (éclat de rire).»
Lara Gut-Behrami est aussi de ces athlètes qui ont privilégié les structures privées, au risque d'accentuer l'isolement et «d’ajouter une grosse pression supplémentaire», selon Ralph Krieger. «Je l’ai vécu avec Tina Maze», explique le patron de «GPS Performance», qui a longtemps accompagné la double championne olympique et vainqueur du grand globe. «Tina assumait seule la responsabilité, non seulement de ses résultats, mais de sa carrière. Elle avait une PME à faire tourner. Elle répondait de l'organisation, la planification, les salaires; tout. Au bout de sept ans, ça l’a grillée. Elle était au bout du rouleau. Or avec la fatigue, on devient moins aimable et disponible.»
inscrit le 09/09/10
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