Alors je vais mettre les miennes dans ce post, vu que j'ambitionne une moyenne de deux sorties/semaine entre mi-juillet et fin septembre...
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Préalpes Vaudoises - Châtel-s-Denis -> Les Pléïades
Première sortie tranquille, faible difficulté et longueur (2h50, ^670m, v100m), majoritairement sur sentier ombragé.
Départ en suivant la route depuis Châtel-s-Denis jusqu'au village de Fruence, 833m (y'a un bus/heure, mais je l'ai loupé...).
Ensuite, petite route qui traverse l'autoroute, court sentier en pente descendante jusqu'au Pont de Fégire, 772m; belle vue sur le viaduc de l'autoroute Vevey-Berne.
Du Pont de Fégire, le sentier remonte plein sud d'abord en escalier, puis sur une petite crête, le tout dans la forêt. Après la traversée de 2 clairières, une courte section d'environ 500m sur une petite route bordée des premières fraises des bois de la saison (un régal... C'est tout l'intérêt des itinéraires peu fréquentés comme c'est le cas de celui-ci) survient. La route se transforme en chemin assez vague à travers une large trouée dans la forêt (c'est une piste de ski), puis on atteind le départ d'un TK (appartient au domaine des Pléiades, à l'air tjrs en état m'a-t-il semblé... C'était un peu la raison de ma rando en fait, voir si ce domaine et ces TK's existaient toujours).
Un peu plus haut, le chemin repique à gauche dans la forêt, pour atteindre ensuite la large prairie des Conversions.
Magnifique vue sur le plateau Suisse avec Châtel St Denis au premier plan, et le Mont Pèlerin un peu plus à gauche.
La montée se poursuit sur la crête; on suit la fin de la ligne du TK cité précédemment, on passe l'arrivée d'un autre TK, au point culminant de l'itinéraire (1397m), avant de redescendre sur le sommet proporement dit des Pléïades (1360m), l'un des nombreux points de vue sur le Léman de la région; la vue est magnifique sur tout le lac, les Dents du Midi, le Gramont et une partie des Alpes Françaises.
A noter un mini-parc astrologique au sommet.
Pour la descente: Soit petit train à crémaillère qui descend sur Vevey (ma solution! La descente j'aime pas, surtout que j'étais pas équipé...), soit à pied plein Sud par sentier sur Bloney puis Vevey, soit plein Ouest sur les Chevalleyres puis Vevey à nouveau.
Pas un chat (enfin si un justement) croisé en route sauf au sommet (petit train oblige).
Pas trouvé non-plus de plan des pistes de la station au sommet, le bâtiment de l'ESS et des forfaits était fermé 
((
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En prévision pour la semaine prochaine, la Dent de Lys.
J'espère que les autres skipasseurs vont aussi commencer à poster leurs randos!!
Journée titanesque. J'avais prévu de partir vers 9h histoire d'être en haut à midi pour éviter la grosse chaleur. Mais à Montreux train loupé, le prochain passe 2h après... Résultat j'entame la montée à 11h15... Je vous raconte pas la chaleur; 1200m de montée avec 30° et plein soleil...
Départ de Montbovon, 812m; (si vous avez la chance de choper un train omnibus (1/siècle), descendez plutot aux Scièrnes voire à Allières); montée agréable, par paliers, bouts en forêt, passage fréquent de sentier à route, par les Sciernes, les Prés d'Albeuve, Teraula.
De là commence la montée franche vers le col de Lys par un sentier d'abord à flanc de montagne puis dans la pente après "En Lys). Arrivé au col de Lys (1780m), on croit que le plus dur est fait mais il reste ^234m jusqu'a la Dent, et même plus car le sentier redescend un bout.
Depuis le col donc, départ le long de la crête d'un sentier vaguement balisé en rouge, très aérien et athlétique (qqes mains courantes facilitent la progression; dangereux par terrain mouillé); le sommet est atteint après 45min environ.
Pas mal de vent au sommet (2014m), mais vue magnifique à 360°: Moléson, lac de la Gruyère, Vanil Noir, Alpes Bernoises, Glacier des Diablerests, Gd Combin, Dents du midi, Vanil des Arstes, Grammont et la Léman.
25°c quand-même au sommet...
Descente par le même chemin (au passage, ma casquette décidera de prendre sa liberté malgré un resserage juste avant... résultat, les 1h45 de descente avec soleil en pleine tête, sympa)...
Depuis le col de Lys, descente sur Paccot-Dessus, le Pralet (TK) puis les Paccots. Puis bus sur Châtel-s-Denis -> Vevey.
Un seul randonneur croisé sur tout le parcours! Bon j'était peut-être le seul taré à randonner par cette chaleur, et c'était lundi, mais quand-même, sur un parcours aussi classique...
J'ai retrouvé un de ces posts ou il y a l'adresse de son site.
/ubbvf/Forum20/HTML/000220.html
faudrais voir avec lui ce qu'il en pense.
Gsteig-Sanetsch-Glacier des Diablerets; 5h, ^850m avec montée en TPH
Rando tranquille en altitude (2000-3000m environ), idéale avec la canicule de ces jours. Montée régulière, pas trop dure, mais sur terrain pierreux en grande partie, puis sur glacier sur la fin (pas de danger)
Départ de Gsteig (accès en bus postal depuis Gstaad ou Les Diablerets); 20 minutes a pied jusqu'au TPH qui monte au Sanetsch; la montée à pied est aussi possible, en environ 2h.
TPH marrant, en fait c'est un TPH a va et vient avec 2 cabines de TC8!! Pas de personnel dedans donc, faut vérouiller soi-même la sécurité.
Arrivé en haut, on tombe sur le lac de barrage du Sanetsch, dans un site magnifique. Resto d'altitude. Possibilité d'y accéder en bus postal depuis Sion d'ailleurs (en voiture aussi mais bon, je suis contre et c'est chaint pour une rando sans boucée). De là, montée en 1h jusqu'au col du Sanetsch sur sentier en suivant l'une des rives du lac (la rive droite est plus jolie), puis départ de la montée vers le Scex rouge avec le glacier de Tsanfleuron en toile de fond. La montée commence sur prairie, avant une longue zone sur rocher, les lapiaz de Tsanfleuron, jusqu'à la cabane de Prarochet. Reste 1h de montée dans la pierraille et les derniers névés qui résistent tant bien que mal à la canicule jusqu'à la Quille du Diable (superbe vue plongeante sur Derborence) et sa buvette. On rejoint ensuite le Scex rouge en traversant le glacier (traversée aménagée, sans danger) en environ 30minutes, bien chiantes car la neige est bien sûr liquéfiée passée midi.
Côté affluence, c'était la grosse foule (bon ok je parle de foule dès que je croise plus de 10 personnes); une bonne trentaine de personnes croisées, surtout dans le sens de la montée (tiens, bizarre). C'était un peu chaint mais bon, c'est un itinéraire classique.
A noter que j'ai jamais vu le glacier dans un tel état mi-juillet; glace vive presque partout, départ du TPH pas enneigé, TS pas enneigé, et les deux TK's du bas ont une bonne moitié de leur ligne à même le rocher, ça fait peur!! Apparament c'est plus ouvert, et ça ne le sera plus jusqu'à l'automne.
Encore a noter un gros coup de gueule contre ces arnaqueurs des Diablerets, voire dans Bla bla.
J'ai hésité à envoyer plus gros pour cette journée, mais finalement gros coup de flemme.
Montée au Col des Planches en car postal comme il se doit. Zyeutage au passage du TK (enfin feu TK, voir sujet stations fantômes si je le retrouve) du col, puis montée sur chemin jusqu'au col du Lein, et encore chemin jusque sous la Pierre Avoi; c'est pas follichon mais y'a des magnifiques vues sur la vallée du Rhône de temps en temps (et des fraises des bois).
Là commence la veritable ascension, en pente régulière sur sentier agréable; la Pierre Avoi et sa falaise à Pic surplombe le sentier et semble innaccessible. Arrivé au col, la vue de dégage un peu partout, surtout sur Verbier (ce qui permet de constater une fois encore qu'une grande station en été, c'est moche, c'est moche... Bon ok c'est pas la Tarentaise, mais y'a des chemins partout, et les reprofilages de pistes commencent à pointer le bout de leur nez même en Suisse... Snif, tremblez malheureux paturages...); on s'aperçoit que le versant Sud de la Pierre Avoi est nettement plus accessible. Le sentier y monte d'ailleurs assez rapidement. Le dernier bout est équipé (suréquipé d'ailleurs) d'échelles et de barrières en fer qui forment un vrai corridor (c'est moche). Au sommet (2473m), vue splendide à 360° (vous me direz, un peu normal pour un sommet de montagne) sur les Dents du Midi, le massif du Mt Blanc, les Monts Fort et Gelé (le galcier est dans un de ces états... voir photo dans un sujet je sais plus où), le Combin, etc, etc.
Descente rapide sur l'arrivée des TC à Savoleyres; de la, possibilité de descendre soit sur les Mayens de Riddes soit sur Verbier (car postal dans les 2 cas).
La descente a pied prend ~1h supplémentaire. A noter que la descente coute presque rien, contrairement aux TPH du glacier des Diablerets, enfin bref...).
Pas mal de monde sur la partie finale ainsi qu'au sommet (90% des gens montent depuis le sommet des TC en 1h à peine, c'est scandaleux!!); c'est pénible (oui je fais un peu l'égoiste à deux balles).
Beau temps, pas d'orages en vue, pas trop chaud.
Une rando pas mal et pas trop dure:
Nendaz - La Comba - Bisse Vieux - Siviez - TS Tsa - Ancien bisse de Chevré- Lac et barrage de Cleuson - Tortin - TS Tortin-Siviez.
Jusqu'a Siviez, sentier en pente faible qui suit le bisse vieux, toujours en activité. De là, montée en TS jusqu'à la Tsa, puis sentier à flanc de montagne quasiment plat le long de l'ancien bisse de Chervé, jusqu'au lac de barrage de Cleuson. Traversée sur le barrage, puis encore 50min sur sentier puis petite route jusqu'au sommet du TS Siviez-Tortin, qui ramène à Siviez. De là, bus pour Nendaz.
4h30 de rando, 3h en partant directement de Siviez. Pas dur niveau dénivellé et pas trop aérien il me semble.
Une autre un peu plus conséquente:
Tracouet-Balavaux-Champs Ferrets-Lac des Vaux-Col de Chassoure.
Là ça monte un peu plus (^700m), et le sentier semble assez escarpé sur un passage près de la pointe des Champs Ferrets.
Départ depuis le sommet du TC de Nendaz, puis sentier en pente douce à flanc de montagne qui monte en passant par le départ du TPH du Plan du Fou tout près de la pointe des Champs Ferrets. Passé un petit col, le sentier redescent légèrement sur le lac des Vaux, avant de remonter le long d'un TS d'hiver jusq'au col de Chassoure. De là, TC pour Tortin puis TS pour Siviez.
durée 3h40.
Sinon dans les randos plus courtes, tu peux descendre sur Iserables (ou monter depuis là-bas) par un sentier qui part au sud-ouest de Nendaz (du lieu dit "la Péroua") sur les Crêtaux puis Isérables, qui est un des plus beau village du Valais si l'on en croit le conseil fédéral qui y est allé en course d'école... 1h30 à la descente.
Pour le retour soit à pied par un autre sentier, qui monte sur Tracouet par exemple, soit TPH jusqu'a Riddes, puis bus pour rentrer sur Nendaz.
Possible aussi d'aller sur Veysonnaz en descendant dans le vallon de la Printze (d'ou le nom du forfait de ski "Printze", j'ai appris qqch!!) pour remonter de l'autre côté. Plusieurs sentiers possibles le long des 4 bisses qui traversent le coin.
Par exemple, descente par le bisse du Milieu puis remontée par celui de Vex; 3h20
Ou encore, descente par le bisse d'en Bas puis remontée par celui de Sallins; 3h30
Retour possible en bus.
Voilà; si quelqu'un qui connait mieux le coin peut compléter ce serait pas mal.
Montée à la Creusaz en train jusqu'au Marécottes puis Télécabine; de là on entamme à froid la montée sur le Luisin, 1010m de dén. en peu de km; la montée est progressive; pente moyenne d'abord puis raide quand on atteint les paravalanches; ensuite petit replat avant d'attaquer le mur final; c'est à la limite de l'escalade! Mains nécéssaires en tout cas. En vue du sommet, un bouquetin débouche sur un rocher à 10mètres au dessus de moi quasiment à la verticale, impressionnant!!!!! Malheureusement il a gagné la course poursuite entre son départ et ma sortie d'appareil photo...
Pas mal de mains courantes facilitent quand-même la montée.
Au sommet (2786m); la vue va du Massif du Mt Blanc aux Dents du Midi, en passant par la vallée du Rhône. Au pied des Dents du Midi, le lac de barrage de Salenfe et son eau turquoise clair, magnifique.
La descente sur le col d'Emaney est nettement plus facile (le tour dans le même sens que moi est vraiment plus facile); elle s'enchaine sur la descente dans le vallon d'Emaney d'où le Triège prend sa source. Pas mal de petits torrents dans le coin.
Après plus de 800m de descente (c'est chiant, mais c'est chiant la descente!!), on rattaque avec la montée du col de Barberine, assez traître. Départ sur une bonne pente, puis traversée rafraichissante à mi-chemin d'un torrent, pour arriver sur une large cuvette enneigée (combe du col) d'où le sommet du col semble tout proche; pourtant en avançant on se rend compte qu'il reste un gros pierrier à gravir, dont la pente est bien plus raide qu'il ne semble. Un groupe de 6 bouquetins installé sur un petit névé à droite en montant me regarde nonchalament monter. De ce côté le paysage est assez austère. Arrivé au sommet, on débouche sur une vue à couper le souffle sur le lac de barrage d'Emosson, plus bleu que celui de Salenfe, surplombé de la Pte de la Finive et de son petit glacier, avec encore le massif du Mt Blanc en toile de Fond. Possibilité de monter à gauche sur la crête encore ^200m sur le sommet de Fontanabran et son petit lac en contrebas (pas été, trop de vent).
La descente sur le lac d'Emosson est splendide; le paysage est moins austère de ce côté-ci (paturage avec roches éparpillées); le dernier bout en balcon sur le lac d'Emosson est grandiose.
Depuis le barrage, bus postal ou train puis funiculaire (cher) sur Finhaut, puis train pour revenir à Martigny.
Une vaingtaine de personnes croisées en route(sans compter au barrage ou c'est très touristique); température idéale.
Une superbe rando, vraiment.
Comme variente, on peut aussi partir de Van d'en Haut (bus depuis les Marécottes au lieu de TC), monter au lac de Salenfe puis au col d'Emaney. C'est un peu moins dur mais on rate l'ascension du Luisin.
Départ à 9h du village en direction de Creux de Champs (environ 3kil de très faible montée à travers la forêt, sur une route goudronnée puis forestière). Une atmosphère très nette permet d'admirer le cirque montagneux (qui n'a à mon avis rien à envier à Gavarnie dans les Pyrénées)... un mur de 1900m où l'on entend uniquement le bruit de plusieurs cascades et le son de qq cloches.
De là, commence la véritable montée... un sentier assez raide et bien marqué traverse rapidement la forêt pour arriver dans les pâturages des "Pierres-Noires". La montée se fait maintenant plus calmement au milieu des moutons et avec une belle vue sur les sommet des Diables et le "Mauvais glacier". Puis arrivée à 11h sur le plateau de Pierredar et son refuge. (qq personnes sur la terasse).
Après une petite pause, hop direction Prapioz... la première grimpette se fait sur un mini cône de déjection, puis il faut franchir une petite barre de rochers qui donne directement sur le bas de la langue glacière. A partir de là, commence la via ferrata. Câbles et autres chaînes donnent l'assurance nécessaire dans les passages scabreux.
Je suis encore monté un bout en suivant le bord du glacier, mais n'ai pas osé m'aventurer seul à travers les crevasses. Du coup, après une brève tentative de contourner la langue par le bas en montant directement en direction du Bottaspitz (Scex Rouge), je suis redescendu prendre un bon bain, premièrement de soleil au bout du plateau de Pierredar (vue plongeante sur le bas de Creux de Champs), puis d'eau bien fraîche à environ 300m du refuge.
Après avoir récupéré ma montre qui prenait tranquillement le soleil, je suis rapidement descendu en direction du village en croisant une dizaine de personnes..
Bilan de cette première véritable sortie: de l'air frais, une vue à couper le souffle et très peu d'humains croisés! Le seul regret: ne pas avoir pu observer d'animaux, si ce n'est qq papillons, oiseaux et une petite souris croisée dans la forêt!
!!
Excellent le petit coeur, quand la nature se fait artiste.
Posé la voiture à Chamointze 1900m. Bon sentier jusque vers 2000m, puis une bonne traversée, ensuite un cours passage un tout petit peu exposé. Puis c'est parti pour une bonne grimpette sur un sentier raide par endroits. Il coupe a plusieurs reprises le torrent, ce qui permet de se raffaichir un peu. Arrivée au lac (2450m). Je continue un petit peu en direction du petit glacier de la Forcla. Pas de vraies crevasses sur ce petit (tout petit) glacier, seules une ou deux microfissures.
2 bouquetins visibles au loin.
Je casse la croute, reste un peu la haut.
Puis redescente par le même sentier, profil assez pénible à éviter par temps humide, pas que ce soit vraimment dangereux, mais pour éviter d'être tout le temps dur le cul.
Une petite rando sympa, croisé un peu trop de monde. Quelques photos ces prochains jours.
), c'est de là que commence la vraie grimpette...
Le côté jeu mis à part c'est vrai que le reste est assez intéressant.
Aujourd'hui:
Allières-Col de Perchia-Col de Jaman-Dent de Jaman-Merdasson-La Perche; ^1320m, v570m; 1000-1860-1510-1870-1800-1860-1800m. Temps: je sais pas (vieille carte et j'ai pas retenu les panneaux, mais je dirais dans les 5h).
Départ de Genève comme d'hab, grand beau ou presque. Je pense que la perturbation est donc passée. Grave erreur...
Depuis Allières (accès en train depuis Montreux ou voiture), la montée sur le col de Perchia peut se faire soit par la combe d'Allières, ce que j'ai pris (c'est pas super-interessant et le sentier est peu marqué et balisé au début), soit par la combe d'Orgevaux, que j'ai vue d'un haut et qui avait l'air plus sympa comme montée.
Depuis le col de Perchia, possibilité de monter (1h AR) sur la Cape au Moine par un sentier assez difficile et aérien; étant donné que j'ai essuyé grosse averse et gros nuages au sommet, j'ai passé mon chemin alors qu'a la base je visais l'enchainement de 3 sommets pour cette rando... Je reviendrai.
Donc depuis le col de la Perchia, descente à flanc de montagne en balcon sur le Léman sur un sentier facile vers le col de Jaman; inutle de préciser qu'un bon quart-d'heure après que j'aie quitté le col le sommet de la Cape au Moine s'est découvert, alors que je venais de patientier près d'une heure au col en attendant une éclaircie...GRR.
Depuis le col de Jaman, un sentier non-indiqué et non-balisé, mais très bien tracé tout du long (bizarre), part droit derrière le resto du col de Jaman et monte sur le versant Nord de la Dent de Jaman. On rejoint ensuite le sentier venant de la station de Jaman et il reste ^100m de sentier raide (et glissant, constaté à la descente...) jusqu'au sommet, où la vue est une nouvelle fois magnifique (le versant côté Léman est à pic), et où j'ai la chance de voir le plus bel arc-en-ciel de ma vie (si si!), en arc-de-cercle parfait et suivable des deux côtés jusqu'au sol, grandiose!!).
Après une descente assez glissante donc, je décide d'enchaîner avec le Merdasson (petit sommet Herbeux/Forestier plein Sud par rapport à la Dent) malgré le temps qui recommence à se couvrir sérieusement, en longeant la voie de chemin de Fer jusqu'à la Halte de la Perche. De là, ^60m de montée à travers champ jusqu'au sommet (on rejoint un ancien sentier en vue du sommet). Vue identique que depuis la Dent de Jaman, mais là en plus les nuages affluent par paquets ventés juste au sommet, c'est magnifique, et les éclaircies sur le Léman permettent de différencier des dizaines de nuances de bleu sur le Lac, je me rappelle pas de l'avoir vu comme ça!!
Enfin, redescente sur la Perche, et train jusqu'à Montreux (c'est cher même simple course demi-tarif... Mais bon, ça évite v1500m quand-même...)
Pas de bestioles. Pas d'humains non-plus à deux exceptions près (compréhensible vu le temps.)
Décu de pas avoir pu enchaîner les 3 sommets, mais bon...
Le Reculet, sommet de la chaîne du Jura (quoi que, y'a débat avec le Crêt de la Neige, suivant les cartes). C'est pas en Suisse mais c'est pas grave, je laisse dans ce sujet...
Départ en voiture jusqu'au Tiocan (eh oui, pas de bus postaux en France...), un chalet à l'abandon sur la route forestière du flanc du Jura, au-dessus de Thoiry.
La première partie de la montée se fait sur une piste de 4x4 bien raide et droite à travers la forêt, qui part à gauche du chalet; c'est pas extraordinaire... On croise 2x des chemins forestiers jusqu'à une bifurcation (50min); de là, on peut gagner le Reculet soit par la droite sois par la gauche. Préférer la gauche pour la montée, c'est plus joli. Le chemin se transforme en sentier, pente variable, et débouche peu après dans une grande combe au pied du Reculet (on ne voit pas encore le sommet).
Le dernier bout de montée se fait en un grand lacet au pied de petites falaises, avant de gagner la croix sommitale. Vue sur tout le Léman et ses montagnes devant, l'arrière chaîne du Jura derrière.
Pour varier la descente, suivre le sentier plein Est sur la crête, qui rejoint un chalet un peu plus bas, puis un chemin caillouteux bien chiant, jusqu'à la biffurcation décrite précédemment.
Temps chaud, brumeux en plaine.
Pas mal de monde au sommet (5 grpes en 20 min).
Le cheminement sur la crête du Jura depuis le Grand Crêt d'Eau jusqu'au Col de la Faucille doit être pas mal, mais il faut un véhicule aux deux bouts...
Eh ben, que d'émotions cette semaine...
Je suis donc revenu monter cette Cape au Moine après mon renoncement précédent.
Départ avant 8h pour éviter les grosses chaleurs.
Cette fois je monte au col de Perchia par la combe d'Orgevaux plutot que par celle d'Allières; les deux montées se vallent, avec peut-être une préférence pour cette par Orgevaux (départ à droite de la gare d'Allières).
En vue du petit col qui relie la combe d'Allières à celle d'Orgevaux, je prend trop à l'ouest et je me gourre de montée (et dire que j'avais une carte... la sortir de temps en temps, c'est utile) et je monte dans la petite cuvette dite de "Pra Fleuri", entre le col de Perchia et le Vanil des Artses, au lieu de monter dans celle de Pierra Perchia, qui lui ressemble beaucoup. Faut dire aussi que quand j'étais passé y'a 2 semaines j'y voyais pas à 50m à cause du brouillard...
Enfin bref arrivée en haut je me rend compte que je me suis gourré. Et là j'ai le choix soit de redescendre pour prendre la bonne cuvette, soit de monter dir.SW sur la pointe dite du Pilâ sur une pente très raide, mais passable.
Bon j'ai pas envie de m'éterniser là-dessus, mais enfin j'ai suivi une espèce de vire qui m'a amené bien trop à droite, et je me suis retrouvé sur la face NW du Pilâ qui est quasiment à pic à escalader les 100 derniers metres; j'en menais vraiment pas large et ça me servira de leçon pour un bon moment...
En plus, une fois au sommet, impossible de suivre la crête jusqu'au col de Perchia, car elle est interrompue par une petite falaise; je dois redescendre au fond de la cuvette de Pierra-Perchia...
Au final, plus d'1h de perdue, mais ça m'a pas vraiment préoccuppé!
Enfin bref, retour au cheminenement normal de la rando. Depuis le col de Pechia, un sentier très aérien non-balisé monte au sommet de la Cape au Moine (pas de mains courantes); fortement déconseillé par terrain glissant (j'ai bien fait de renoncer la dernière fois).
Au sommet (ce sommet fait partie de la chaîne continue N-S Dent de Lys-Vanil des Artses-Cape au Moine-Corbé-Dent de Jaman-Merdasson-Rochers de Naye), la vue classique sur le Léman et les environs se dévoile; c'est magnifique même si y'a le classique voile de brûme du au temps très chaud.
Redescente par le même sentier. De là, plein de possiblités: soit redescendre sur le col de Jaman et le train des Rochers de Naye (voir rando précédente), soit descendre sur le col de Soladier (sentier bien tracé mais pas indiqué) puis sur Les Paccorts, soit sur le col de Soladier, puis la crête qui part depuis le Molard jusqu'à Sonloup, au-dessus des Avants.
J'ai pris la 3ème solution; la descente est en pente douce et presque totalement en sous-bois (très Lothardisé d'ailleurs). Arrivé à la Goille au Cerf continer sur la crête en ignorant le panneau pour Sonloup, c'est plus joli, même si y'a un bout en hors-sentier juste avant Sonloup.
De là, descente en funiculaire sur les Avants, où l'on retrouve le MOB qui ramène à Montreux.
Temps: caniculaire (noooon?)
Monde: 2 groupes au col de Perchia, 3 sur la crête en revenant à Sonloup.
Animô: 3 faisans (enfin je crois, j'en ai jamais vu ailleurs que dans une assiette), rien d'autre...
Cette fois ça y est, j'ai envoyé du gros!!
Départ de Bovernier (village dans la vallée du Gd-St-Bernard près de Martigny, atteignable en train), pour une montée directe au Catogne, sommet en forme de cône bien visible de la vallée du Rhône, entre Martigny et Champex.
Depuis la gare de Bovernier, c'est bien simple, c'est près de ^2000m de montée à froid, sans véritable palier! Temps de montée indiqué: 5h15...
Le sentier commence à s'élever à la sortie du village, toujours en forêt; la pente est assez douce (montée à flanc) sur un bon sentier (ancienne piste 4x4 apparament) jusqu'au chalet du Clou. A partir de là, le sentier attaque vraiment la pente. On atteint rapidement une impressionante clairière artificiellement créée par Lothar, puis la montée se poursuit dans la forêt du Clou. Passé la falaise de la monnaie, le sentier alterne montées raides et passages à flanc (attention, le sentier redescend même parfois et le balisage n'est pas évident) avant d'émerger de la forêt et d'atteindre le chalet de Catogne (1810m).
Le sentier gravit maintenant l'alpage, direction W, jusqu'à atteindre une grande combe pierreuse (Montagne-Vria). La progression est d'ailleurs traîtreusement ralentie par des ENORMES champs de myrtilles qui tapissent tous les pans du Catogne. Une fois la combe traversée, on arrive à un panneau en bois; de là, attention à ne pas se tromper: monter en suivant le bord droit de la combe sur un sentier vaguement balisé. (le balisage "normal" entraîne encore 1km à l'Ouest et fait perdre v100m avant de monter sur une autre crête (W) )
Les deux sentier se rejoingnent sur un premier petit sommet au Nord du Catogne (2402m). La montée se poursuit (balisage très vague) en suivant la crête, jusqu'au sommet du Catogne (2598m) à travers les pierriers (monter à vue; croix au sommet).
Magnifique vue sur le massif du Mont-Blanc, avec notamment le Plateau du Trient tout proche; la vue plonge aussi sur le lac de Champex, le Grand Combin magnifiquement enneigé, le Six Blanc, les glaciers autour de Verbier, la vallée du Rhône et enfin les Dents du Midi.
Mais rien n'est fini; après ^2000m il faut encore se tapper 1300m jusqu'à Champex... L'horreur quoi.
La sentier qui redescent (bien balisé cette fois) est d'ailleurs assez mal-foutu; on commence par rejoindre un petit sommet au S du Catogne, puis la descende s'amorce droit en bas dans une combe pierreuse dir. S-W.
Après v500m le sentier remonte brutalement sans prévenir de ^100m (le terrain ne le justifie pas d'ailleurs, bizarre) avant de serpenter à plat sur le flanc SW du Catogne jusqu'au "replat du 700éme".
De là, il reste près de v800m très raides et bien casse-pates dans la forêt jusqu'à Champex et son lac, d'où l'on peut reprendre un bus jusqu'à Orsières, puis le train jusqu'à Martigny.
A noter que lors de la descente la vue est gâchée par le sinistre domaine skiable de Champex-La Breya (j'y reviendrai).
Beau temps, pas trop chaud. Croisé 5 personnes au cours de la descente, c'est tout. Pas d'animaux vus (sauf oiseux, etc. bon...)
C'était mon record de dénivellé; pour la montée ça allait bien, mais cette descente, pénible, pénible!! Au final, 3400m de den. kan même, pas trop mal quoi!
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A propos du domaine de ski Champex-La Breya:
Quelle tristesse... Pour info, c'est un petit domaine de 20km de pistes; 2TSF, 3TK's, mais de belles pistes nord (rouges et noires).
Oui mais voilà... Ces imbéciles ont décidé de s'adonner au remodellage de piste, comme c'est la coutume dans les grandes stations. Ils ont donc consciencieusement dynatimé, bullé, applani le terrain sur la piste rouge qui part du sommet de la Breya de manière à faire une ENORME trace rectiligne dans la montagne... Le résultat est affligeant, ce terrassement est visible à des KM à la ronde...
Pitoyable.
Franchement, quand on a un domaine de 20km de pistes et des installations vielllotes, on ne s'amuse pas à dépenser de l'argent pour remodeller une malheureuse piste, comme le font les grandes stations...
Je les vois déjà me faire "oui mais que voulez-vous, on fait ça pour faciliter le dammage et l'enneigement en vue d'un meilleur confort du skieur..."
D'une, votre skieur sera davantage content si vous renouvellez votre parc de RM (par exemple les 2 TSF2) plutôt que si vous remodellez vos pistes pour en faire des boulevards débutants, même bien enneigés. (il faut avouer que les pistes de Champex sont plutot difficiles, mais quoi, c'est le terrain qui veut ça, c'est comme ça.)
De deux, quand on a un petit domaine skiable comme ça, dans une région aussi magnifique (Champex est sur le parcours du Tour du Mt-Blanc, au pied de nombreuses cabanes de montagne et glaciers), on voit un peu plus loin que le bout de son nez et on pense aussi aux activités d'été, en évitant de bousiller une montagne qui reste sans neige plus de la moitié de l'année.
Honte à Champex!!!!!!!!!!
C'était mon coup de gueule du jour (qui sera bien sûr suivi d'un mail à l'OT, pour quel résultat, aucun bien sûr, mais tant pis...)
Une promenade de santé en comparaison de ma dernière rando!
Départ du col des Mosses après montée en train+bus depuis Aigle.
Au col, on monte par un sentier puis un chemin assez gras jusqu'à Lioson d'en bas (ferme); on voit encore la ligne et les pylones du TC Les Mosses-Lioson-Chaussy, qui n'ont jamais été démontés alors qu'ils sont HS depuis bien 10 ans (scandaleux).
Au-dessus de Lioson-d'en-Bas (parking), deux possibilité pour monter au Pic Chaussy: par le lac de Lioson: route gravilloneuse jusqu'au lac puis sentier, ou alors sentier tout du long en passant pas "Vers-les-Lacs", sur le tracé de l'ancienne (et magnifique semble-t-il) piste noire. J'ai choisi la deuxième solution.
Après ^300m on atteint la grande cuvette de "Vers-les-Lacs" (buvette fermée), au fond de laquelle se trouve 3 petits lac quasiment à sec, sécheresse oblige... dommage pour le cadre, mais bon. On est au pied de la paroi du Pic Chaussy qui est encore ^400m au-dessus; l'endroit est magnifique et très sauvage (presque impossible de remarquer qu'une piste passait ici). Au fond de la cuvette le sentier tire à gauche et rejoint celui qui monte depuis le Lac Lioson. Il reste alors ^300m de montée assez raide sous la ligne du TC pour atteindre la gare d'arrivée en état de délabrement avancé (sans commentaire...). Le sommet est juste un peu plus haut (2351m). Vue magnifique (oui je dis ça partout, mais enfin c'est vrai) sur les Préalpes et Alpes environnantes (par contre on voit pas le Léman), notamment encore et toujours le Grand Combin, les Dents du Midi, etc...
On est très près de toute la paroi Nord des Diablerets et de ses glaciers (Sex Rouge, Dar, Prapioz...), et de l'autre côté on voit bien le massif du Vanil Noir au-dessus du Pays d'enhaut.
La descente se fait d'abord le long de la crête direction E (un ancien sentier dont on distingue encore un peu la trace descend droit dessous plein sud sur "la Première") presque jusqu'à la pointe des Semeleys, puis le sentier attaque la pente en zig-zag à travers les nombreux pare-avanlances du coin.
On atteind une petite route près de La Lé, puis on suit un sentier direction E en balcon sur la vallée des Ormonts jusqu'à Isenau, quasiment à plat, en traversant des petits hameaux constitués de ferme.
Depuis Isenau (à pied, rajouter encore v600m), descente en TC jusqu'aux Diablerets, puis retour en train jusqu'à Aigle.
Beau temps, assez chaud mais un peu brumeux comme toujours ces temps, avec quand-même plus de cumulus que d'habitude.
Croisé 5 groupes (!!) au sommet du Pic Chaussy qui sont tous montés (et redescendus - c'est ça de venir en voiture!) par le lac Lioson. C'est beaucoup pour un vendredi... L'endroit est assez connu, c'est pour ça. Pour éviter trop de monde, monter avant midi. Personne d'autre sur tout le reste du parcours.
Pas d'animaux (je suis sur une mauvaise série!! Mais c'est vrai que c'est pas courant d'en voire en pleine journée, enfin ça dépend).
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Un petit topo sur les domaines skiables pour finir; on voit quasi toutes les Alpes Vaudoises depuis le Pic.
Au Mosses (que des TK's) c'est zéro remodellage, le paysage est intact. Les anciennes pistes du Pic Chaussy sont quasi indécellables, la nature a repris ses droits, ce qui montre que sans terrassements le ski n'est pas une fatalité pour la montagne. Par contre, il reste cette ligne de TC (enfin les pylones et les gares) qui pourrissent...
Sur Leysin c'est pas trop mal non-plus, on voit pas grand impact, mais c'est plus loin.
Idem pour les Diab'-Meillerets, rien à redire.
Sur Isenau, quelques petits terrassements à sigaler à gauche de la TC, mais c'est reengazonné et peu visibe.
A Villars, ça se gâte. Sur Chaux-Ronde on voit deux pistes très moches de très loin, et la piste (enfin le chemin) qui descend de Chaux-Ronde au TSF de liaison avec les Diab's est aussi hyper visible.
Au Glacier, tout est assez dicret et bien fait, sauf évidemment la "station Botta" qui est voyante mais, disons, qui passe quoi.
J'enchaîne pas mal ces jours.
Départ du Col du Sanetsch (montée en car postal depuis Sion, week-end uniquement) direction Est par un sentier, récemment balisé et refait (inclus dans le Tour du Wildhorn) qui monte gentiment sur la crête qui part depuis le col. Cette crête est constituée de petites montagnes de terre noire quasiment sans caillasse, c'est marrant... Après une montée de ^300m on débouche dans une énorme combe impressionnante; pas un végétal, pas une construction humaine visible, quasiment pas d'eau ni de neige (deux lacs de glacerquand-même et un petit glacier en fond); uniquement du rocher et de la caillasse partout, à perte de vue. Le sentier descend à gentiment à flanc jusqu'au fond, au pied du deuxième petit lac, avant d'attaquer la paroi raide qui permet de monter au col des Audannes. L'itinéraire "logique" voudrait qu'on monte vers le col visible au NE (col du Brochet), mais un glacier recouvre l'autre côté du col, c'est pourquoi on monte directement dans la pente.
En vue du col des Audannes le sentier devient vraiment raide (passage d'escalade facile assuré par main courante) et est même doublé 50m à gauche par une longue échelle moche et inutile.
Du col, la vue se dégage sur le lac des Audannes, au pied du Glacier du même nom. On descend v180m pour arriver à la Selle, d'ou bifurque un sentier qui va justement vers le lac (cabane) et vers les Rousses, sur la route du barrage du Tseuzier (arrêt de car postal). On peut aussi descendre côté Anzère (ce que j'ai fait) dans la vallée de la Sionne. Au cours de la descente, on peut encore choisir de remonter un peu (^100m) pour passer le Pas de Maimbré et rejoindre le sommet de la TC d'Anzère (le plus court) où descendre directement à la station.
Temps: beau puis pas mal nuageux. Température idéale voire fraiche, mais normal pour une rando qui reste tjrs entre 2000 et 3000m.
Monde: trop, beaucoup trop!! Une quinzaine de groupes croisés, surtout au départ, et depuis le col des Audannes. Bon, vous me direz, normal pour un dimanche...
Je vais me faire traiter (a raison...) d'antisocial et d'agoraphobe, mais ça gâche vraiment le plaisir de croiser du monde en rando, surtout dans un endroit aussi sauvage que ça!!! C'est pas que j'aime pas les gens hein, c'est sympa de disctuter avec qqn de sa rando en arrivant par exemple, mais croiser sans arrêt des gens quand je pars en rando seul comme cette fois-ci ça m'énerve 
!!!
Animaux: un oiseau non-identifié (j'y connais que dalle, mais ça me semblait un poil petit pour un aigle), une marmotte, that's all; de toute façon sur une partie du parcours je pense pas qu'on devait en trouver beaucoup (trop aride, aucune trace).
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A noter que le domaine skiable d'Anzère est très bien intégré, pas trace de remodellage, bravo! J'ai bien envie d'aller y faire un tour un jour car il semble qu'il y aie pas mal de pentes et pistes interessantes (majoritairement Sud malheureusement).
La station a récemment investé pour remplacer sa TC par une TC8 Doppelmayer magnifique (cabines panoramiques CWA - au passage, les cabines CWA sont incontestablement bien plus réussies que les Poma )
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handbless> Mon tour sur la Forclaz?? Lequel??
La Forclaz c'était moi. Ca devait être le 29 ou 30 juillet.
Ce jour la il y avait un groupe d'assez jeunes qui parlaient anglais.
J'avais cassé la croute au niveau des 2 petits lacs au pied du "glacier".
Tour d'Ai depuis les Fers.
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Départ les Fers : 1600 et des poussières
Sommet Tour d'Ai : 2331
Déniveléé : env 700m
Depuis Leysin aller au fond du parking de la tc et suivre la route goudronnée jusqu'aux Fers.
Du restaurant des fers prendre la route carrossable sur 200 mètres jusqu'à une baraque. De la le sentier part en descente dans les paturages sur env. 50 m. de dénivelée. Puis il traverse une combe et remonte sur le flanc gauche jusqu'au pied d'une cheminée haute d'environ 20-30 mètres et équipées de chaines.
Un peu a gauche de cette cheminée se trouve l'entrée d'une grotte. Il parait qu'elle s'appelle grotte ou gouffre de Brion. Si quelqu'un à des infos. Un Genevois qui venait d'y faire queqlues mètres m'as prété sa frontale. J'ai fait une bonne cinquantaines de mètres en légère descente sur des gros blocs de cailloux humides. Après ca descendait plus raide, il parait qu'on peut continuer jusqu'au bord d'un gouffre. Vu que j'avais pas de lampe de poche de rechange en cas de problème, je me suis arrété là. Mais elle à l'ait immense cette grotte.
Ensuite j'ai gravi la cheminée, au sommet le sentier poursuit tranquilement au milieu de paturages et de quelques lapias. Puis on arrive au lac des mayens, qui était plutot une gouille.
De la prendre une route carrossable sur 300 mètres, puis prendre le sentier sur la droite. Il franchit en diagonale une petite barre rocheuse équipée de mains courantes.
Puis au dessus le sentier zigzague dans une praire alpine. En haut on vient heurter une barre rocheuse équipée d'une échelle puis de mains courantes.
Puis le sentier monte en traversée ascendante sur la flanc droit. Sentier confortable, mais assez exposé et aérien.
Quelques cables pour rassurer les gens.
Puis un passage dans des gradins rocheux équipés de main courantes.
Puis la traversée se poursuit équipée tout de long de cables, avec quelques passages sur le fil, ou sa descend à pic des 2 cotés.
Ensuite encors un petit passage dans des gradins rocheux avec main courante, puis on arrive au sommet.
Le sommet est une belle pente d'herbe en pente douce. La vue est magnifique. On voit le lac léman, les dents du midi, dents de morcles, pic chaussy, lac de l'hongrin puis très loin sur Fribourg.
Tellement beau que j'y suis resté 3 heures.
Bon le temps était relativement nuageux masquant pas mal les sommets alentours et la brume sur le lav empéchait de voir très loin.
Sur les 3 heures il y à eu en tout et pour tout 4 personnes sur ce sommet. De quoi bien e profiter.
J'ai parlé avec un des types au sommet. Il m'as dis venir de Lausannes.
Je lui ai demandé jusqu'ou il est monté en voiture, il m'as dis n'être pas venu en voiture. Donc je lui ai demandé comment ca allait pour venir en train, mais il n'est venu en train.
Accrochez vous bien, les suisse apprécieront et seront sur le cul.
Il est partit très tot ce matin depuis Lausannes. Il à fait l'intégralité du trajet Lausannes-Tour d'Ai à pied. Il est passé par Aigle, soit en plus environ 2000 mètres de dénivelée entre Aigle et Tour d'Ai + 50 kils en longeant les routes cantonales entre Lausanne et Aigle. Ce soir il est redescendu prendre le train à Aigle.
La je suis resté sur le cul, respect !!!
Elle s'appelle gouffre du chevrier et descend jusqu'à -646 mètres. Il y a une floppées de salles et de jonctions avec d'autres grottes et gouffre.
Je pensais pas que c'était si énorme.
Une page qui l'explique un peu.
http://www.speleo-lausanne.ch/06_Activites/Explorations/Vd-alpes/Mayen-Famelon/Bryon/Reseau/Reseau-Bryon-description.htm
Nan je déconne... Faut le faire pour se tapper Lausanne-Aigle comme mise en train d'avant ascension!! Quel âge le gars?
Sinon j'ai pas encore passé dans cette région mais j'ai deux randos en prévision; une depuis les Mosses: montée au Mont d'Or puis enchainement Famelon-Mayen-Ai (en fait je sais pas si on peut facilement monter sur la Tour du Mayen? T'as vu ça Marc?) et terminus à la Berneuse... 4 sommets dans la journée ça le fait!!
L'autre c'est départ des Rochers de Naye-col de Chaude-Pte d'Aveneyre-crête jusqu'à Malatraix-descente sur Ayerne et remontée sur la Berneuse, une autre course assez corsée.
Bien plus agé que nous le type, 60 ans.
Mais il a de l'entrainement, il marche quasiment tout les jours. (il est à la retraite)
Je connais pas très bien cette région, le
seul autre truc que j'ai fait par la bas c'est le Pic Chaussy par le lac Lioson.
Je situe pas la tour de famelon, c'est celle qui est au dessus Des fers ?
Ca ma parait quand même assez mastoque ces 4 sommets en une journée.
Le passage entre la Tour des Mayens et la Tour d'Ai se fait obligatoirement par la redescente sur le lac des mayens a ~1800m.
D'après mes topos, ainsi qu'à vue d'oeil, la Tour des Mayens est moins technique que celle d'Ai.
Quand t'iras pense à prendre une lampe de poche pour visiter le premier bout du gouffre. Il parait qu'il y a un panneau au sommet du 1er puit.
Si tu cherches des belles courses dans le bas valais, il y aussi la Grande Dent de Morcles (2969). Au sommet la vue est vraimment magnifique.
Paysage impressionnant depuis le col du sanetch, on voit des immenses zones de lapiaz, puis au fond le glacier de Tsanfleuron.
Départ dans de lapiaz partiellement recouverts d'herbe, puis on arrive au sommet d'un éspèce de gros cratère avec deux petits lacs sur ces flancs.
Le problème c'est que la j'ai pas trouvé la suite du sentier, j'ai vu des gens qui descendaient par la vague piste 4x4, j'ai cru que c'était par la, conforté dans ma montée par le balisage. Sur cet itinéraire on voit plusieurs petits lacs.
Au départ je visais la quille du diable, mais cette montée plutot chiante m'as démotivé. Je me suis donc arrété à la cabane. Puis je suis redescendu par le vrai sentier qui passe sur les rochers polis.
J'ai vu quelques lagopèdes.
Au final je dirais que le cadre est très beau, des très grands espaces avec un peu de végétation sur le bas, puis plus haut un décor minéral avec le glacier de tsanfleuron.
Trop fréquenté à mon gout, et les sentiers ne sont pas très intéressants.
A la fin je me suis fait une petite baignade dans le lac de sénin qui se trouve vers l'arrivée du téléphérique. Baignade assez courte vu la température de l'eau, je pense dans les 7°.
Pour les grottes, une qui est facile et sympa à faire c'est la grotte de Naye, d'ailluers le sentier passe carrément à l'intérieur (y'a aussi un passage par l'extérieur). Pour quelqu'un qui n'a jamais fait de spéléo (j'en avais fait 1x) c'est assez impressionnant parce que le départ de fait dans un goulet d'~1m3 et que c'est le noir total... 'Vaut mieux éviter la panne de lampe de poche!
La montée Sanetch-Diabl's c'est vrai qu'elle est assez surpeuplée... Et effectivement le sentier se sépare en plusieurs embranchements, sans compter le chemin 4x4 qui monte à la cabane. Le bout Prarochet-Quille du Diable est effectivement pas super interessant (tout en premier) mais sympa quand-même; ce qui est chiant c'est la demi-heure pour traverser le glacier dans la soupe jusqu'au TPH et les 38.- de la descente (ils contrôllent...)
A noter que y'a un truc pour éviter la foule: y'a un nouveau sentier (enfin, il n'est pas sur ma carte de rando des Diablerets, mais seulement sur la nouvelle qui vient de sortir, donc nouveau je suppose) qui rejoint la cabane depuis la "Chaux de Mié" ( grosso-modo) entre Derborence et le Sanetch. Il est prenable soit depuis Derborence en passant par le Poteu des Etales (un joli passage en échelles, j'ai vu des photos), soit depuis les mayens de Conthey par le col de la Croix de la Cha, soit même depuis l'auberge de Tsanfleuron (un peu avant le col du Sanetch) en partant d'abord SW; a mon avis il doit être très peu fréquenté par rapport à l'autre.
Bon, après, vaut mieux être allé à Derborence en car postal, parce qu'une fois à la Quille, se tapper v1500m pour aller rechercher la voiture :-\...
Novel-Neuteu-col de Pavis-Portes d'Oche-Col de Planchamp-Dent d'Oche-Cabane d'Oche-Col Rebollion-Col de Neuva-Novel; 6h, ^1200m, v1200m (1220-1945-1760-2220-1775-1220m)
La Dent d'Oche donc, promontoire sur le Léman au-dessus de Meillerie.
France oblige, voiture et boucle obligatoire...
Départ au-dessus du village de Novel (au-dessus lui aussi de St-Gingolph) et départ plein sud en direction des chalets de Neuteu. Entre Novel et Neuteu, on est d'ailleurs sur le GR5, le sentier Léman-Méditerannée. La montée est assez tranquille, à moitié en sous-bois. A mi-chemin, bifurcation pour le lac de Lovanex et le Grammont.
Après ^450m, on débouche sur le versant sud d'une petite vallée, on traverse les chalets de Neuteu et on continue la montée, en pente douce, jusqu'au col de Pavis (1944m). On aperçoit le lac de Darbon en contre-bas. Le sentier ne descend pratiquement pas et passe tout-de-suite un deuxième col, les Portes d'Oche, avant de descendre sur le lac de la Case. Prendre à droite juste avant d'arriver au lac, pour se retrouver au pied du versant Sud de la Dent d'Oche. La montée attaque la pente de front, plein nord, jusqu'au col de Planchamp, d'ou la vue sur le Léman est magnifique. Après ce petit palier, le sentier s'oriente à l'ouest et monte en direction de la dent à travers les falaises du versant Sud (nombreuses mains courantes). Après ^450m, on arrive au sommet (2221m). Vue exceptionnelle sur le lac qu'on voit quasiment en totalité, la Dent d'Oche étant située quasiment en son milieu. On voit aussi tout le Chablais, le Valais, le Jura...
La descente s'amorce, toujours direction ouest, très raide comme la montée (à nouveau, mains courantes) jusqu'à la cabane CAF de la dent d'Oche. On emprunte ensuite une longue cheminée bien raide, jusqu'à une bifurcation. A gauche, le sentier redescend sur les Chalets d'Oche puis la station de Bernex (possibilité de revenir aussi sur le lac de la Case); à droite, le sentier passe le col de Rebollion et descend en pente douce vers le pic de Bore et la station de Thollon. Après v200, prendre la biffurcation de droite vers le col de la Neuva (^50m), qui ramène par un chemin 4x4 sur le parking au-dessus de Novel. La descente est aussi possible par la combe de Trepertuis (passer le premier col à droite avant celui de la Neuva). C'est plus joli (sentier) mais un peu plus long et difficile (sentier plus balisé et pas entretenu).
Temps: Chaud mais potable (car nuages de temps en temps et petit vent)
Monde & Animaux: Je lie les deux... pkoi?
Ben c'était extraordinaire!!
En fait, j'ai vu autant de personnes que de bouquetins. Jusque là, rien d'anormal...
Sauf que... Les Français sont encore en vacances, et un Français à la montagne, ça randonne, de bleu de bleu!! Par "cordées" de 10 parfois, ils t'arpentent ces sentiers de partout, ça grouille litéralement! Sur la Dent par contre c'était un peu plus calme (4 pers.).
Et ben j'ai vu autant de bouquetins!! Au col de Pavis, allongés tranquillement à 20 mètres du sentier, une colonie d'une soixantaine de têtes!!!!! Je sais pas si c'est banal, mais jusque là j'en avais jamais vu plus que 6 en même temps, et encore, dans les pires endoits isolés... Ben là ils étaient tranquille en plein passage, sous les yeux d'une quinzaine de personnes... (l'endroit doit être connu pour ça).
J'en ai encore vu 3 plus loin.
Comme quoi, même en pleine journée quand la foule est là on peut en voir une kyrielle!! Ca gâcherait presque le plaisir...!
Pour la Grande Dent de Morcles j'était monté en voiture jusqu'au parking des martenaux à 1700. De la on suit un peu la route militaire (fermée par une barrière), puis on prend un sentier qui arrive près des barraquements de Rionda, jusque la pas de problèmes. Le premier bout au dessus de Rionda, ca va, puis ensuite c'est la grande vire, une traversée ascendente, sur une sente, avec une jolie vue sur Lavey qui se trouve 2000m plus bas. Ensuite on trouve vers 2600m le départ du couloir du nant rouge, il navigue de part et d'autre du couloir qui devient de plus en plus raide et contourne des gradins rocheux, puis une petite cheminée encombrée d'un bloc. De la les derniers mètres jusqu'au sommet sont easy. Pour cette montée il faut avoir le pied sur et pas de vertiges. Il n'y a aucun équipement.
Il y a une autre voie plus facile qui part de Fenestral, mais je l'ai pas faite.
Pour les grottes je savais même pas qu'il y en avait la bas. C'est une rencontre avec ce genevois qui a fait que je suis aller un bout dedans, mais pas trop loin de peur que les piles tombent en rade. C'est pas un motif de rando en soit.
Pour les bouquetins, si tu veux en voir beaucoup de (très) près il faut aller aux cornettes de bises, j'ai pris des photos de bouquetins à 2 mètres !!
Mais les moutons t'empêchent de casser la croute au sommet.
inscrit le 22/10/01
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