Que faire un lundi où l'on a pas de cours, où le brouillard nous empêche de voir la maison du voisin, où la famille est partie s'amuser à Europapark, où finalement je me retrouve seul, dans le plus profond des ennuis...??
Eh ben... PARTIR EN RANDO, PARDIS!!
Aussitôt dit, aussitôt fait, un coup de fil à mon powpow9 d'ami, on enfile les chaussures de marche, une tomme "Jean-Louis" et 3 cervelas dans le sac, et c'est parti pour une journée au dessus des nuages, sur le plus haut sommet fribourgeois!
Arrivés sur place, le cadre est à la hauteur de nos espérances, pas un nuage, un temps frais comme il faut, les chamois pour nous accompagner...
Pas chiards, ils se laissent plutôt bien approcher.
Derrière nous, la brume se faufile aussi haut qu'elle peut dans le vallon, mais elle ne nous rattrappera pas!
Elle prend par contre un malin plaisir à aller chatouiller les " Trois Pucelles" (véridique)
On avance un peu, on lève les yeux: oh le zouli avion tout blanc!
... suivi de près par une escadrille d'oies sauvages!
Trève de plaisanterie, l'objectif est en point de mire: le Vanil Noir, avec ses 2388m, sans un pet de neige, qui nous nargue à l'horizon.
On voit déjà le passage en V qui nous posera quelques soucis par la suite: un seul petit cable qui nous retient pour passer un vide de plusieurs dizaines de mètres...brrrh! j'ai peur maman!
Sur notre chemin, un petit muret typique de pâturages montagneux.
On avance, on avance, les heures passent, et le chalet des Marindes où nous avons pris notre pause de midi s'éloigne de plus en plus.
Avis aux amateurs de géologie, les Préalpes recellent un magnifique "patrimoine rocheux", des plus intéressants à observer!
La flore n'est pas en reste...
Une pente moyenne pour arriver à l'arête, d'où nous espérons avoir une vue à la hauteur de nos efforts, avant de "tirer" sur la gauche et amorcer la partie la plus abrupte.
"Toujours plus haut", telle est la devise respectée par l'ami powpow9!
Et en effet la vue est splendide, mais ce qui nous réjouit le plus, c'est le fait d'imaginer tous ces pauvres gens qui sont coincé dans la peuf!!! quel manque de chance, ah la la... on les plaindrait presque
On aperçoit à l'horizon le trio Eiger Mönch et Jungfrau, majestueuses...
et, plus proche, la Dent de Savigny accompagnée de ses Trois Pucelles.
Plus haut, les bouquetins nous accueillent et nous narguent en sautillant d'un rocher à l'autre... MEME PAS PEUR!
Que peut-il y avoir de si intéressant là-bas?
Après moultes efforts et frayeurs, nous parvenons enfin au sommet. AVec, en guise de cadeau, un panorama exceptionnel!
le glacier des Diablerets
une montagne imposante dont j'ignore encore le nom, mais je pense que quelqu'un ici saura me renseigner...
Les Grandes Jorasses et le majestueux Mont Blanc
Le Moléson, émergeant de la brume, que vous commencez peut-être à connaître?...
Le Mont-Gibloux et sa tour, seul ilôt dans cette mer de brouillard!
ahhh quel bonheur...
Eh ben... PARTIR EN RANDO, PARDIS!!
Aussitôt dit, aussitôt fait, un coup de fil à mon powpow9 d'ami, on enfile les chaussures de marche, une tomme "Jean-Louis" et 3 cervelas dans le sac, et c'est parti pour une journée au dessus des nuages, sur le plus haut sommet fribourgeois!
Arrivés sur place, le cadre est à la hauteur de nos espérances, pas un nuage, un temps frais comme il faut, les chamois pour nous accompagner...
Pas chiards, ils se laissent plutôt bien approcher.
Derrière nous, la brume se faufile aussi haut qu'elle peut dans le vallon, mais elle ne nous rattrappera pas!
Elle prend par contre un malin plaisir à aller chatouiller les " Trois Pucelles" (véridique)
On avance un peu, on lève les yeux: oh le zouli avion tout blanc!
... suivi de près par une escadrille d'oies sauvages!
Trève de plaisanterie, l'objectif est en point de mire: le Vanil Noir, avec ses 2388m, sans un pet de neige, qui nous nargue à l'horizon.
On voit déjà le passage en V qui nous posera quelques soucis par la suite: un seul petit cable qui nous retient pour passer un vide de plusieurs dizaines de mètres...brrrh! j'ai peur maman!
Sur notre chemin, un petit muret typique de pâturages montagneux.
On avance, on avance, les heures passent, et le chalet des Marindes où nous avons pris notre pause de midi s'éloigne de plus en plus.
Avis aux amateurs de géologie, les Préalpes recellent un magnifique "patrimoine rocheux", des plus intéressants à observer!
La flore n'est pas en reste...
Une pente moyenne pour arriver à l'arête, d'où nous espérons avoir une vue à la hauteur de nos efforts, avant de "tirer" sur la gauche et amorcer la partie la plus abrupte.
"Toujours plus haut", telle est la devise respectée par l'ami powpow9!
Et en effet la vue est splendide, mais ce qui nous réjouit le plus, c'est le fait d'imaginer tous ces pauvres gens qui sont coincé dans la peuf!!! quel manque de chance, ah la la... on les plaindrait presque
On aperçoit à l'horizon le trio Eiger Mönch et Jungfrau, majestueuses...
et, plus proche, la Dent de Savigny accompagnée de ses Trois Pucelles.
Plus haut, les bouquetins nous accueillent et nous narguent en sautillant d'un rocher à l'autre... MEME PAS PEUR!
Que peut-il y avoir de si intéressant là-bas?
Après moultes efforts et frayeurs, nous parvenons enfin au sommet. AVec, en guise de cadeau, un panorama exceptionnel!
le glacier des Diablerets
une montagne imposante dont j'ignore encore le nom, mais je pense que quelqu'un ici saura me renseigner...
Les Grandes Jorasses et le majestueux Mont Blanc
Le Moléson, émergeant de la brume, que vous commencez peut-être à connaître?...
Le Mont-Gibloux et sa tour, seul ilôt dans cette mer de brouillard!
ahhh quel bonheur...
inscrit le 02/01/03
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