Spécial dédicace pour Ronan alias « le rasé » sans qui je n’aurais pas pris mon APN…
Allez, encore une petite ballade en duo avec Laurent alias « le grillon » dans le 65 ou « le marin » dans le 40. On devait rejoindre au Campbieil les toulousaings (piji, peyo et ZIGZAG31) partis bien plus tôt du lac de Cap de Long. Nous, sommes montés par l’Estaragne pour éviter le portage sans fin, là toujours 10mn et on chausse… Il y avait un peu de monde, ça change des randos vierges, mais ça reste très sympat
. Arrivé au sommet de l’Estaragne, le Campbieil nous est apparu béton ce qui fut vite confirmé par un gars qui en venait… Alors, on ne s’est pas fait prier pour skier l’Estaragne qui était à juste à point, et puis, on est pas là pour cocher du sommet, mais pour le plaisir de la glisse. D’ailleurs, on a halluciné quand on à vu un gamin vraiment petit (moins de 10 ans !) qui attaquait la descente depuis le sommet avec un certain engagement alors que la neige était encore un peu croustadée… L’avenir est en route …
Allez, place aux presque vieux, Laurent sur le haut :
Ma pomme, là où ça avait grave coulé il y a 6 jours, aujourd’hui, c’est stable avec un peu de fraîche de juin certes traffolée par nos prédécesseurs, mais bien bonne…
Plus bas, nous remontons plusieurs fois pour se faire qq belles pales, et oui, faut rentabiliser le voyage, 940m de dénivelé c’est un peu juste…Alors on remet quelques couches… pour avoir la dose…
En voilà une légèrement saupoudrée, on l’a remonté jusqu’en haut, elle est plus belle en « live » qu’en photos et même bien raidos sur le haut… Votre serviteur :
Laurent sur le haut d’une autre :
Laurent attaque le dernier névé :
Allez, une vue partielle du bas :
Une vue partielle du haut :
Une vue d’ensemble prise de loin :
Une fois de plus ce fut une très bonne journée en montagne, avec du ski de qualité de A à Z. Fallait pas monter plus tôt et ni plus haut pour profiter du nectar. Et après avoir retrouvé les toulousaings, on est content de notre choix.… Il s’est avéré bon… De toute façon, le plus court chemin pour le Campbieil c’est par l’Estaragne. Certains aiment ça, nous on veut un ratio monté / descente qui favorise au max la descente et de la bonne…
Juin est là, ça reste tout bon, mais pour combien de temps…
Allez, encore une petite ballade en duo avec Laurent alias « le grillon » dans le 65 ou « le marin » dans le 40. On devait rejoindre au Campbieil les toulousaings (piji, peyo et ZIGZAG31) partis bien plus tôt du lac de Cap de Long. Nous, sommes montés par l’Estaragne pour éviter le portage sans fin, là toujours 10mn et on chausse… Il y avait un peu de monde, ça change des randos vierges, mais ça reste très sympat
. Arrivé au sommet de l’Estaragne, le Campbieil nous est apparu béton ce qui fut vite confirmé par un gars qui en venait… Alors, on ne s’est pas fait prier pour skier l’Estaragne qui était à juste à point, et puis, on est pas là pour cocher du sommet, mais pour le plaisir de la glisse. D’ailleurs, on a halluciné quand on à vu un gamin vraiment petit (moins de 10 ans !) qui attaquait la descente depuis le sommet avec un certain engagement alors que la neige était encore un peu croustadée… L’avenir est en route …Allez, place aux presque vieux, Laurent sur le haut :
Ma pomme, là où ça avait grave coulé il y a 6 jours, aujourd’hui, c’est stable avec un peu de fraîche de juin certes traffolée par nos prédécesseurs, mais bien bonne…
Plus bas, nous remontons plusieurs fois pour se faire qq belles pales, et oui, faut rentabiliser le voyage, 940m de dénivelé c’est un peu juste…Alors on remet quelques couches… pour avoir la dose…
En voilà une légèrement saupoudrée, on l’a remonté jusqu’en haut, elle est plus belle en « live » qu’en photos et même bien raidos sur le haut… Votre serviteur :
Laurent sur le haut d’une autre :
Laurent attaque le dernier névé :
Allez, une vue partielle du bas :
Une vue partielle du haut :
Une vue d’ensemble prise de loin :
Une fois de plus ce fut une très bonne journée en montagne, avec du ski de qualité de A à Z. Fallait pas monter plus tôt et ni plus haut pour profiter du nectar. Et après avoir retrouvé les toulousaings, on est content de notre choix.… Il s’est avéré bon… De toute façon, le plus court chemin pour le Campbieil c’est par l’Estaragne. Certains aiment ça, nous on veut un ratio monté / descente qui favorise au max la descente et de la bonne…
Juin est là, ça reste tout bon, mais pour combien de temps…
inscrit le 23/05/03
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