Bon. Mon déjeuner de demain matin, j'ai encore l'odeur bien fienteuse :
Ca va mé y faire, ils sont de ce jour, à la coque avec des mouillettes de pain frais. Seul souci, la boulangère du village, elle fait toujours une gueule de six pieds de long, je préfère nettement son employée, Maï-Li, intermittente de la boutique, mais tellement plus aimable.
Au fait, LTF, une spéciale dédicasse, jettes un nieu sur le journal, c'est chez toi, chez moi c'est plus dur à porter la lecture de la rubrique des chiens écrasés. Vous n'allez pas me dire le contraire, Snowfun et Cacalaü, des Glières.
C'est comme chez Pascal, on a bien mangé hier, mais sa femme, Nicole, c'est un tue-client. Pascal, toujours aussi excellent tant au niveau de la cuisine que de la reception.
Un peu embêté à dîner ce jour. Rillettes d'oie aux olives vertes, ça c'est de la boîte, les rillettes tu les étale sur le pain, les olives vertes, tu en bouffe, euh, en même temps.
J'ai fait un sauté de cerf aux airelles. Et des nouilles.
Il me reste les nouilles.
inscrit le 29/08/10
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