sandydidou (03 juin 2007 19 h 17) disait:On va en profiter, avant d'expirer, pour la dernière.
Ben dites donc les gars, vous n'êtes pas en panne d'inspiration !
Pardonnes-nous Sandy, tu sais quels vieux gamins nous sommes.
Libre à toi de revancher. Un week-end Skipasseurs sur le lac Léman
Pardonnes-nous Sandy, tu sais quels vieux gamins nous sommes.
Libre à toi de revancher. 
phil6611 (03 juin 2007 20 h 12) disait:Moi. Laisses, gamin, ne te prends pas le chou et que la farce soit avec toi.
vieux? qui ça qui est vieux? ..............
Proverbe Clermontois du maréchal férrand. Et il n'y a pas de Pétain, ichi il n'y a que des femmes qui bossent.
Oulalala, j'ai du "mâle" à trouver la sortie --->[]
Oué, des caissières, quoi.
non en général, c'est moi qui encaisse
mdr ....moi je débourse ..........
============================> >>> ok je suit deja sortie
non en général, c'est moi qui encaisse
mdr ....moi je débourse ..........
============================> >>> ok je suit deja sortie
phil6611
Le 4 juin 2007 - 19:52
themoorhuhn68 (04 juin 2007 10 h 11) disait:
mdr ....moi je débourse ..........
============================> >>> ok je suit deja sortie
non,reste,il faut des clients pour payer le dernier pathfinder à jige
phil6611 (04 juin 2007 19 h 52) disait:Non, j'ai bien retourné la question, Phil.
non,reste,il faut des clients pour payer le dernier pathfinder à jige
Je vais rester raisonnable, Dodge Ram :
Il y en a un un qui rôde, ici, en double pont.
Dés que que je le chope, c'est direct le concours.
phil6611 (04 juin 2007 22 h 50) disait:Non, non.. La différence réside dans le 457 CI surconsommateur, inhérent à Pontiac, Chevy. Nous sommes H.S., je t'evoie un truc dans le sujet adéquat.
tu vois la différence entre toi et moi, c'est que toi tu as toujours de la classe
tu vois la différence entre toi et moi, c'est que toi tu as toujours de la classe
J'espère bien qu'il l'a ! Je vais vérifier ça de visu d'ici trois semaines.
J'espère bien qu'il l'a ! Je vais vérifier ça de visu d'ici trois semaines.
no comment!!!!
biheuzfamilie.blogspot.com
mdr j'ai bien reconnu le coin mais je suit incapable de croire que ta bu de l'eau sans pastice !
mdr pdr xpdr
mdr pdr xpdr
oups " pastis" 
Description
Gambas flambées au pastis.
Gambas flambées au pastis.
Le pastis est le résultat de la macération de plusieurs plantes : le fenouil et la réglisse. Le fenouil a été remplacé par la badiane chinoise dont les fruits sont beaucoup plus riches en anéthol. Il se boit en apéritif, complété avec de l'eau. On ajoute de cinq à sept volumes pour un volume de pastis. Mais libre à chacun de le boire plus ou moins léger, selon ses goûts et la température extérieure (il est préférable que l'eau soit fraîche).
Lorsque l'on fait le mélange en versant l'eau, on passe alors d'une couleur ambrée assez transparente à un jaune trouble un peu laiteux. Ce trouble provient de la précipitation de l'anéthol, peu soluble dans l'eau ; si l'on attend quelques heures, le précipité disparaît. Ce phénomène apparaît aussi lors de la réfrigération du pastis pur (on dit alors que le pastis « paillette ».
La couleur jaune du pastis est due à un colorant, souvent du caramel. Il existe des pastis blancs sans colorant. Certains producteurs (Janot, etc.) ont même créé des pastis bleus.
Dans le pourtour méditerranéen on trouve d'autres boissons semblables à base d'anis (en général de couleur blanche) :
* l'anisette (Algérie avant 1962),
* le cristal.
* l'ouzo en Grèce.
* le rakı en Turquie.Pas de point sur le ı.
* l'arak au Liban et en Syrie.
* la sambuca en Italie.
* le rakija en Croatie (côte dalmate).
Histoire
« Le pastis, c'est comme les seins : un, c'est pas assez, et trois, c'est trop. » (Fernandel)
« Le pastis, c'est comme les seins : un, c'est pas assez, et trois, c'est trop. » (Fernandel)
Les Romains buvaient déjà du vin d'anis mélangé à des plantes.
En 1915, survient l'interdiction de l'absinthe et des boissons similaires en France. Très floue, la loi laisse des doutes et la production des boissons à base d'anis chute. En 1920, l'État autorise à nouveau la production et rétablit l'autorisation des consommations anisées dont le degré d'alcool est inférieur à 30°. Puis, en 1922, le degré est relevé à 40°. Une véritable frénésie s'empare alors de la Provence où il est présent dans tous les bars. Chaque marque personnalise ses recettes en ajoutant à l'anis d'autres plantes aromatiques telles que le fenouil, l'anis vert, la réglisse, etc. C'est en 1932 que le mot pastis apparaît.
En 1938, on autorise la production et la vente de pastis et boissons anisées titrant 45°.
Paul Ricard fait preuve d'innovation en élaborant une recette incluant de l'anis étoilé, de l'anis vert et de la réglisse. Son slogan, « Ricard, le vrai pastis de Marseille ». C'est la première fois que le mot pastis apparaît sur l'étiquette d'un apéritif anisé. Un très large réseau de distribution, permettent à ses ventes de décoller et il devient le premier vendeur de pastis.
Jusqu'à leur fusion en 1975, les sociétés Ricard et Pernod se livrent une concurrence rude sur le marché des boissons anisées qui atteint son apogée dans les années 60. Le groupe Pernod Ricard domine aujourd'hui le marché mondial du pastis avec les marques Ricard et 51 (qui fut d'abord commercialisé en 1951 sous la marque Pernod 51, puis Pastis 51 de 1954 à 1999). À noter que le Pernod du même groupe est une boisson anisée, et non un pastis.
Il existe évidemment d'autres marques de pastis se partageant le reste du marché, notamment les Marseillais Duval et Casanis (tous deux la propriété du groupe Boisset et produits dans la même distillerie) et Berger blanc (un pastis blanc de la société Gemaco de la maison Marie Brizard, détenue par le groupe Belvédère). Certaines productions artisanales, comme Eyguebelle ou Henri Bardouin, visent le marché haut-de-gamme.
Depuis les années 90, les marques dites « économiques » se sont appropriées près de 40% du marché français[1], parmi lesquelles Cigalis, la marque des hypermarchés Cora, ou la marque du distributeur hard discount Leader Price.
Selon la société Pernod-Ricard, la consommation de pastis en France représente quelque 112 millions de litres par an, soit plus de 2 litres par habitant.
Il existe aussi des producteurs de pastis hors de France, comme par exemple la distillerie Charbay, qui produit en Californie un pastis à 45° sans colorant.
Description
Gambas flambées au pastis.
Gambas flambées au pastis.
Le pastis est le résultat de la macération de plusieurs plantes : le fenouil et la réglisse. Le fenouil a été remplacé par la badiane chinoise dont les fruits sont beaucoup plus riches en anéthol. Il se boit en apéritif, complété avec de l'eau. On ajoute de cinq à sept volumes pour un volume de pastis. Mais libre à chacun de le boire plus ou moins léger, selon ses goûts et la température extérieure (il est préférable que l'eau soit fraîche).
Lorsque l'on fait le mélange en versant l'eau, on passe alors d'une couleur ambrée assez transparente à un jaune trouble un peu laiteux. Ce trouble provient de la précipitation de l'anéthol, peu soluble dans l'eau ; si l'on attend quelques heures, le précipité disparaît. Ce phénomène apparaît aussi lors de la réfrigération du pastis pur (on dit alors que le pastis « paillette »
.La couleur jaune du pastis est due à un colorant, souvent du caramel. Il existe des pastis blancs sans colorant. Certains producteurs (Janot, etc.) ont même créé des pastis bleus.
Dans le pourtour méditerranéen on trouve d'autres boissons semblables à base d'anis (en général de couleur blanche) :
* l'anisette (Algérie avant 1962),
* le cristal.
* l'ouzo en Grèce.
* le rakı en Turquie.Pas de point sur le ı.
* l'arak au Liban et en Syrie.
* la sambuca en Italie.
* le rakija en Croatie (côte dalmate).
Histoire
« Le pastis, c'est comme les seins : un, c'est pas assez, et trois, c'est trop. » (Fernandel)
« Le pastis, c'est comme les seins : un, c'est pas assez, et trois, c'est trop. » (Fernandel)
Les Romains buvaient déjà du vin d'anis mélangé à des plantes.
En 1915, survient l'interdiction de l'absinthe et des boissons similaires en France. Très floue, la loi laisse des doutes et la production des boissons à base d'anis chute. En 1920, l'État autorise à nouveau la production et rétablit l'autorisation des consommations anisées dont le degré d'alcool est inférieur à 30°. Puis, en 1922, le degré est relevé à 40°. Une véritable frénésie s'empare alors de la Provence où il est présent dans tous les bars. Chaque marque personnalise ses recettes en ajoutant à l'anis d'autres plantes aromatiques telles que le fenouil, l'anis vert, la réglisse, etc. C'est en 1932 que le mot pastis apparaît.
En 1938, on autorise la production et la vente de pastis et boissons anisées titrant 45°.
Paul Ricard fait preuve d'innovation en élaborant une recette incluant de l'anis étoilé, de l'anis vert et de la réglisse. Son slogan, « Ricard, le vrai pastis de Marseille ». C'est la première fois que le mot pastis apparaît sur l'étiquette d'un apéritif anisé. Un très large réseau de distribution, permettent à ses ventes de décoller et il devient le premier vendeur de pastis.
Jusqu'à leur fusion en 1975, les sociétés Ricard et Pernod se livrent une concurrence rude sur le marché des boissons anisées qui atteint son apogée dans les années 60. Le groupe Pernod Ricard domine aujourd'hui le marché mondial du pastis avec les marques Ricard et 51 (qui fut d'abord commercialisé en 1951 sous la marque Pernod 51, puis Pastis 51 de 1954 à 1999). À noter que le Pernod du même groupe est une boisson anisée, et non un pastis.
Il existe évidemment d'autres marques de pastis se partageant le reste du marché, notamment les Marseillais Duval et Casanis (tous deux la propriété du groupe Boisset et produits dans la même distillerie) et Berger blanc (un pastis blanc de la société Gemaco de la maison Marie Brizard, détenue par le groupe Belvédère). Certaines productions artisanales, comme Eyguebelle ou Henri Bardouin, visent le marché haut-de-gamme.
Depuis les années 90, les marques dites « économiques » se sont appropriées près de 40% du marché français[1], parmi lesquelles Cigalis, la marque des hypermarchés Cora, ou la marque du distributeur hard discount Leader Price.
Selon la société Pernod-Ricard, la consommation de pastis en France représente quelque 112 millions de litres par an, soit plus de 2 litres par habitant.
Il existe aussi des producteurs de pastis hors de France, comme par exemple la distillerie Charbay, qui produit en Californie un pastis à 45° sans colorant.
Très chouette exposé, dommage que j'aime pas le pastaga...
Je vais répondre comme ça les zigues du chablais seront avertis :
j'ai beaucoup de mal à avaler un alcool fort (passé 20° sauf la cachaça dans la caïpirinha. J'aime toutes les bières et tous les bons vins, avec une passion pour les blancs, et j'ai une tendresse particulière pour les Porto et la suze.
j'ai beaucoup de mal à avaler un alcool fort (passé 20°
sauf la cachaça dans la caïpirinha. J'aime toutes les bières et tous les bons vins, avec une passion pour les blancs, et j'ai une tendresse particulière pour les Porto et la suze.
sandydidou (07 juin 2007 12 h 01) disait:Bin ça tombe bien, ici il y a de bons cépages de blancs, a savoir Crépy, Marin et Ripaille. Un peu plus loin l'excellente méthode tradionnelle de la maison Mollex.
Je vais répondre comme ça les zigues du chablais seront avertis :
j'ai beaucoup de mal à avaler un alcool fort (passé 20°
A la tienne !
Ripaille, c'est mortel comme nom !
kjohann (09 juin 2007 01 h 13) disait:Je ne le crois pas. La grivoiserie n'est pas incompatitible avec d'autres cas tout aussi bourrins.
que d'alcoolique! quel problème de santé publique!
j'vais m'ennuyer ferme au milieu de tous ces bourrins hétéros et grivois!
jige74 (09 juin 2007 03 h 22) disait:
Et quand bien même, toi (oui, toi Yohann), issu d'une formation littéraire, tu aurais pu t'abstenir de certaines inhérences grammaticales et orthographiques. Non, sur ce coup là, tu me déçois. Si, si.
Tu peux montrer l'exemple en écrivant mon prénom correctement!
tous ces bourrins hétéros et grivois
Même si je vire ma cutie, je ne deviendrais pas pour autant objet de désir pour toi
Même si je vire ma cutie, je ne deviendrais pas pour autant objet de désir pour toi
phil6611 (10 juin 2007 18 h 34) disait:L'idée n'est pas de moi, mais de l'inénarrable (hein, mon lapin) Johann. Bon, toute fin août, les P.O. why not ? Mais c'est l'occasion d'un annif familial (nous sommes tous des vierges
jige, je crois que je vais te piquer l'idée du week end skipasseur et essayer d'en organiser un dans les P.O fin aout
), et en revanche, mon ex belle-mère avec qui j'ai toujours d'exccccellents contacts (MP) est à 15 bornes de Perpi. . Si tu nous prépare un coup comme ça, va falloir que je m'organise.
petite sortie à 2000m, peche en lac, apéro,grillades,apéro,grillades
fait gafe tu va avoir du monde .....
je postule mdr
fait gafe tu va avoir du monde .....
je postule mdr
Même si je vire ma cutie, je ne deviendrais pas pour autant objet de désir pour toi
change pas on t'aime comme sa !
en plus tu trouvera pas beaucoup de filles chez jigé
change pas on t'aime comme sa !
en plus tu trouvera pas beaucoup de filles chez jigé
phil6611
Le 10 juin 2007 - 22:06
themoorhuhn68 (10 juin 2007 21 h 39) disait:
petite sortie à 2000m, peche en lac, apéro,grillades,apéro,grillades
fait gafe tu va avoir du monde .....
si j'arrive à organiser, c'est le but du jeu qu'il y ait du monde
sandydidou disait:Le porto, no problemo, mais la Suze, il doit y avoir un truc qu'il faut que l'on m'explique : comment fait-on pour avaler ça sans dég****er tout de suite après ?
j'ai une tendresse particulière pour les Porto et la suze.
inscrit le 17/11/05
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