Profil du testeur :
31 ans | m | 70kg | Expert | Osséja Acheté :
80€ en magasin Conditions du test :
Activités hivernales, ski de randonnée, ski de descente
Eh bien ça dépend de ce que l'on fait. Pour du ski de piste ou du freeride, on recherchera plutôt l'apport thermique et le confort. Pour le ski de rando, il faut que la première couche respire un minimum.
Cette première couche Icebreaker serait un compromis des deux.
Pourquoi 200?
Chez Icebreaker le numéro correspond à l'épaisseur du tissu. Si on ne présente plus les propriétés de la laine de mérino, différentes épaisseurs de laine permettent un apport thermique plus ou moins important. Avec le 200, on est à l'intermédiaire pour les premières couches.
En ski de randonnée
Sur une activité dynamique comme le ski de randonnée où l'on transpire vite, cette première couche Ice breaker est un peu chaude, attention de ne pas trop se couvrir dessus sans quoi on est vite trempé. La respirabilité n'est pas optimum. Ce n'est pas très agréable même si il est vrai que l'on ne prend pas trop froid même mouillé avec le mérino. En plus, cette première couche ne sèche pas très rapidement. En revanche, aucun problème pour la porter quelques jours de suite si tant est que peut la faire sécher en fin de journée. Elle ne retient pas les odeurs. Superbe pour les raids à ski avec nuits en refuge, on ne sent pas le "chacal" dès le deuxième jour.
En ski de descente
Son apport thermique la place parfaitement bien pour la pratique du ski de descente. Son principal atout est son confort inégalable. En effet, la laine naturelle est très agréable à porter, on ne l'enlève plus une fois sur le dos. A noter qu'elle n'entrave pas les mouvement même si son élasticité n'est pas comparable à un produit en synthétique.
Bilan
Ne serait ce que pour le confort incomparable de la laine naturelle, on ne peut que la recommander. Elle est d'autant plus agréable si les conditions sont froides et que l'on ne transpire pas trop vite.
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