PVFresh #4 : Friends

Retrouvez tous les  lundis - ou les mardis si nous sommes en retard - un nouveau chapitre de PVFresh, le film de PVS Company consacré aux jeunes tueurs de la scène freestyle. Cette semaine place à une armée de skieurs : Jessy Cornu, Alexandre Boussant-Morin, Laurent Lanvers, Tim Baud, Etienne Mérél, Tom Granier, Romain Jaillet, Andy et Sandy Collet...

- Quel est votre meilleur souvenir sur le tournage de PVFresh ?

Etienne Mérel : La Session à Vars ! Il y avait (presque) tout le monde réuni, il faisait beau et chaud, on pouvait rider toute la journée sur les modules de fou shapés pour l'Urban Jib. On a bien ridé mais surtout bien rigolé (j'en ai aussi profité pour gaper sur un rail avec mes couilles - visible dans le teaser-)

Tim Baud : Quand Jessy a plaqué son rodeo 720 sur une courbe en bois au stash à Avoriaz.

Alexandre Boussant-Morin : Mon meilleur souvenir était sur un tournage à Flaine avec Bouli (Alex Blaise) et Jessy Cornu parce qu'on avait bien rigolé, c'était une bonne ambiance et si je pouvais refaire ce petit trip je le ferais 100 fois.

- La plus grosse galère ?

Etienne Mérel  : C'était en juillet, quand il fallait filmer les scénarios de PVFresh, on avait fini de shooter à 3h du mat et on a du se taper le retour Chamonix/Grenoble direct après parce que cet abruti de Pablo devait se faire opérer la main à 7h à l'hosto. On a donc passé un trajet du retour luttant contre le sommeil en écoutant la musique pourrie de Kikou... heureusement que il y avait les bons gâteaux de la maman à Tom (Granier) pour nous garder en forme et à peu près éveillé.

Tim Baud : Trouver des spots malgré le manque de neige.

Alexandre Boussant-Morin : Alors la plus grosse galère c'était toujours ce même trip à Flaine parce qu'on cherchait à faire du BC alors qu'il n'y avait pas un pet' de neige. Du coup au bout de 3 jours et 1 spot, on est allé à Val Tho pour le Frostgun. Là bas c'était une bonne galère, je remercie encore panpan d'avoir allumé le sauna quand je me suis endormis dedans en revenant de la fracassante soirée avec Jessy (rires)

- Une anecdote secrète sur le tournage ?

Robin Roméra "kikou" : On jouait un retour de soirée bien arrosé, Tom taquine Pablo pendant que Étienne me pousse dans un caddie et on se met une boite dans un tas de trucs dégueulasses et plus ou moins dangereux. Évidemment, on refait la scène bons nombres de fois jusqu’à ce que je me ruine le coude, qui restera bleu, enflé et douloureux deux semaines.

Romain Jaillet : je suis tombé sur le cul sur le rail 5 kinks à Annecy et j'ai voulu abandonner. Finalement, je me suis re-motivé à faire un essaie ou deux.  Et le suivant après ma chute, je le rentre direct jusqu'au bout !

Tim Baud : J'ai conseillé à Jessy de mettre un casque car le rail to drop était son premier spot urbain hors du snowpark.

Alexandre Boussant-Morin : Alors l'anecdote secrete serait qu'il faudrait filmer toutes les galères et les aléas d'un tournage et je pense qu'on pourrait faire un lourd long métrage.

- Que représente PVfresh pour vous ?

Etienne Mérel : Une bande de copains avec qui on s'amuse bien.

Tim Baud : J'étais ambassadeur sur ce projet, j'ai guidé les jeunes sur mes spot de shred à Avoriaz, mes autres images sont dans la video Animus de PVS. PVFresh c'est un projet top monté et filmé par JR Ceron et Alex Blaise à qui je passe le big up, qui met en scene tous les jeunes freeskieurs Français.

Alexandre Boussant-Morin : Pour moi, PVfresh ça représente quelque chose de bien parce que c'est comme ça que pleins de jeunes freestylers peuvent se faire connaitre, je trouve que c'est une idée géniale de la part de Dav et les autres! Je penses que les autres grosses boites de production devraient faire ça également, cela pourrait permettre à pleins de jeunes de réaliser leurs rêves.

Jessy Cornu : Pour ce projet, PVS a été très ouvert sur la sélection des skieurs. Pour ma part j'ai eu le culot d'envoyer un mail a Dav Lacote en début de saison dernière et il m'a rappelé directement. Le lendemain j'étais déjà en train de shooter avec une équipe qui était vers chez moi. ils ont apprécié mon ski et j'ai pu continuer à filmer avec eux et avoir quelques images dans le film.
Ce film a permis a pas mal de skieurs de se faire montrer et cela gratuitement, ce qui n'est pas le cas dans les films de ski habituellement. Un film a réaliser représente beaucoup de travail sans avoir de retour immédiats pour la boite de production. Je pense que tous les skieurs les remercieront pour ce qu'ils ont fait. Encore merci à PVS et profiter tous de la fin de saison !

Andy Collet : PVFrech représente tous les jeunes (et quelques vieux qui s'incrustent) qui se bougent pour montrer se qu'ils sont capables de faire sur les skis .... Et c'est plutôt comme ça $$ ou comme ça €€ en général ...