Le Crewstacez revient avec sincérité sur sa presque victoire au Kumi Yama, 5 mois après l'événement.
Cette année, nous ouvrons nos colonnes à la prose et autres bêtises animées du Crewstacez parce qu'ils nous font toujours rire et c'est bien le plus important pour nous autres qui n'iront pas à Sotchi.
Quel événement peut justifier la présence simultanée d'un panda, d'un ninja, de dragons et de boules de dragons dans un snowpark en été ?
La réponse paraît évidente: le célèbre Kumi Yama organisé aux 2 Alpes (mais pour être tout à fait honnête, le ninja et le panda sont quelque peu hors-sujet). Alors d'emblée vous me direz que c'est un peu charrier de balancer un article sur un événement estival en plein mois de janvier. Oui certes.
Bref, il semble donc qu'un nouvel échelon dans l'absurdité de nos épisodes ait été franchi, tout comme un nouvel exploit de lenteur de mise en ligne. Il aura fallu en effet pas moins de 183 jours soit 5 mois et 30 jours pour délivrer cette belle incohérence audiovisuelle, record pulvérisé.
Revenons-en au sujet: comment nous avons failli remporter le Kumi Yama. Voici donc les 3 raisons principales qui nous ont empêché d'accrocher ce prestigieux trophée dans notre armoire débordante de médailles et prize money en tout genre:
n°1) Florian Rumoz ne grab jamais ses switch 5 plus qu'un centième de seconde.
n°2) Nico Vuignier ne parvient jamais au bout d'un rail. En même temps on le comprend, les rails c'est pas le plus important au FWT.
n°3) Alex Neurohr ne plaque jamais dans la zone prévue à cet effet et sort systématiquement du champ de vision des juges qui en déduisent qu'il est tombé.
Ajoutez à cela des adversaires nettement meilleurs en finale et le tour est joué. Mais plutôt que d'insister péniblement sur l'échec mortifiant survenu dans la dernière phase de la compétition, pourquoi ne pas exulter sur cette inattendue accession au podium ? Car il faut bien l'admettre, nous n'étions pas vraiment parti pour figurer si honorablement dans la hiérarchie du Kumi Yama.
Quand à cette vidéo qui met fin à de longs mois de famine audiovisuelle, elle n'est qu'une mise en évidence de la totale incohérence de ce délicieux cocktail improbable qu'est le Kumi Yama, avec une touche supplémentaire d'absurdité maison.
Impossible de ne pas terminer cet article par nos remerciements à l'organisation du Kumi Yama qui a pris soin des moindres détails pour délivrer un contest si coloré !
Allez, Sayonara & Stay Blogged!
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