Salut à tous,
Je profite d’un petit moment de tranquillité pour présenter un petit peu la veste que j’ai eu l’honneur de recevoir dans le cadre des tests privés : l’Ortovox Swisswool Andermatt 2L.
L’objectif de ce sujet est plutôt de concentrer les différentes questions que vous pourriez avoir et surtout de lever des interrogations avant l’arrivée du test final. N’ayant malheureusement pas la science infuse, je peux passer à côté de certains trucs.. alors cette démarche me permet également d’orienter mon test pour répondre aux exigences de chacun, bref.. je suis votre cobaye.
Pour lancer les hostilités je vais un peu donner mon ressenti lorsque je l’ai eu dans les mains pour la première fois mot pour mot : « ouh que c’est doux ! ».
Un vrai duvet à l’intérieur sans pour autant peser une tonne (elle me parait plus lourde que ma Norrona Narvik 2L mais je vais la peser plus tard pour savoir si ce n’est qu’un ressenti ou pas.) ;
Concernant l’extérieur nous somme loin de la texture cartonnée des gore-tex classiques, ici nous avons une veste assez élastique et douce au touché.
Niveau pratique, on se retrouve avec une flopée de poches bien camouflées, des aérations large et sans filets sous les bras, une capuche suffisamment large pour accueillir un casque et une jupe au maintient de la taille très ajustée.
Seuls regrets actuels sont les manchons trop larges et courts qui n’ont pas de trous pour les pouces.
Ca n’a pas manqué lors des premiers chutes, les manches remontent sec et on se retrouve avec plein de neige et les bras trempés (et le coude brulé, woopsy).. j’ai changé de gant (avec manchette cette fois) et bien serré les manches de la veste avec le velcro extérieur au niveau des poignets pour ne pas reproduire cette situation désagréable.
Pour la partie positive : chaud chaud chaud ! Je suis bluffé par sa capacité de protection thermique au point de ne rider qu’en t-shirt en dessous jusqu’à des températures avoisinant les -10°C où je me muni d’un petit thermique histoire de ne pas refroidir sur les remontées mécaniques (limite trop chaud quand je descends).
On a donc un sentiment de légèreté et de souplesse à ne pas avoir plein de couche sous la hardshell grâce à cette « technologie » du mouton noir.
Pour le moment je ne parle pas de la forme et de la fonctionnalité globale de la veste, j’en garde sous le coude pour le test, sauf s’il y a des questions précises dessus évidemment..
En attendant je m’efforce à me planter dans les cailloux, la glace et même parfois sous les branches pour tester la résistance et l’imperméabilité des tissus
Je profite d’un petit moment de tranquillité pour présenter un petit peu la veste que j’ai eu l’honneur de recevoir dans le cadre des tests privés : l’Ortovox Swisswool Andermatt 2L.
L’objectif de ce sujet est plutôt de concentrer les différentes questions que vous pourriez avoir et surtout de lever des interrogations avant l’arrivée du test final. N’ayant malheureusement pas la science infuse, je peux passer à côté de certains trucs.. alors cette démarche me permet également d’orienter mon test pour répondre aux exigences de chacun, bref.. je suis votre cobaye.
Pour lancer les hostilités je vais un peu donner mon ressenti lorsque je l’ai eu dans les mains pour la première fois mot pour mot : « ouh que c’est doux ! ».
Un vrai duvet à l’intérieur sans pour autant peser une tonne (elle me parait plus lourde que ma Norrona Narvik 2L mais je vais la peser plus tard pour savoir si ce n’est qu’un ressenti ou pas.) ;
Concernant l’extérieur nous somme loin de la texture cartonnée des gore-tex classiques, ici nous avons une veste assez élastique et douce au touché.
Niveau pratique, on se retrouve avec une flopée de poches bien camouflées, des aérations large et sans filets sous les bras, une capuche suffisamment large pour accueillir un casque et une jupe au maintient de la taille très ajustée.
Seuls regrets actuels sont les manchons trop larges et courts qui n’ont pas de trous pour les pouces.
Ca n’a pas manqué lors des premiers chutes, les manches remontent sec et on se retrouve avec plein de neige et les bras trempés (et le coude brulé, woopsy).. j’ai changé de gant (avec manchette cette fois) et bien serré les manches de la veste avec le velcro extérieur au niveau des poignets pour ne pas reproduire cette situation désagréable.
Pour la partie positive : chaud chaud chaud ! Je suis bluffé par sa capacité de protection thermique au point de ne rider qu’en t-shirt en dessous jusqu’à des températures avoisinant les -10°C où je me muni d’un petit thermique histoire de ne pas refroidir sur les remontées mécaniques (limite trop chaud quand je descends).
On a donc un sentiment de légèreté et de souplesse à ne pas avoir plein de couche sous la hardshell grâce à cette « technologie » du mouton noir.
Pour le moment je ne parle pas de la forme et de la fonctionnalité globale de la veste, j’en garde sous le coude pour le test, sauf s’il y a des questions précises dessus évidemment..
En attendant je m’efforce à me planter dans les cailloux, la glace et même parfois sous les branches pour tester la résistance et l’imperméabilité des tissus
Message modifié 1 fois. Dernière modification par Traipan, 22/02/2018 - 19:59
inscrit le 22/10/08
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