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Depuis un conflit avec la FFS (fédération française du ski) en 2007, l'AFS (Association Francaise de Snowboard) n'a plus reçu les budgets rétribué par la FFS. Elle a alors été mise en redressement judiciaire.
Depuis, le snowboard en France est géré par une section de la FFS dédiée au snowboard.
Mais est-ce efficace? Non !
A l'heure d'aujourd'hui, heure des Jeux Olympiques de Sochi, les Français présents en snowboard sur les différentes épreuves se font très rare.
Seulement 8 snowboarder Francais aux JO contre 55 skieurs.
Particulièrement en Freestyle snowboard (personne en Slopestyle? et 3 riders en Half-Pipe...) contre Ski freestyle (2 en Slopestyle, 6 en Half-Pipe...) alors que le Slopestyle est en plein développement et qu'il est présent pour la 1ère fois aux Jeux Olympiques.
Donc nous français, passionné de snowboard et de slopestyle, nous nous retrouvons a encouragé des Anglais, des Belges ou des Irlandais qui n'ont pourtant pas de station chez eux.
Comment l'expliquer?
Reprenons le problème à sa base :
D'abord, en France, contrairement aux autres pays, si l'on prend des cours de snowboard à l'ESF (Ecole de ski Français), le professeur aura passé autant, voir plus de temps sur des skis que sur un snowboard.
C' est regrettable d'être obligé de passé des épreuves en Ski pour devenir professeur de Snowboard. Où est la logique la dedans? Il s'agit de 2 discipline totalement différente. C'est un peu comme si l'on mettait dans le même panier le tennis, le ping pong et le badminton...
inscrit le 08/11/12
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