Disons qu'une question en appelle une autre.
La solution pour le rider banal c'est d'aller au shop, tater sa board, et aller l'acheter sur internet parce que les prix sont plutot moins chers.
Maintenant, si l'on continue, le probleme c'est que l'on ne soutient plus le shop qui va se décarcasser pour présenter des boards, te les laisser toucher, te conseiller objectivement. Au final, il ne sera pas récompensé, ne fera plus de chiffre d'affaire, et se convertira à la toile. Pas bien, méchant consommateur !
Donc si le problême est dans le "soutien" de tel ou tel idéal, cela signifie qu'il faut pousser plus loin le bouchon Maurice. On préfère aller acheter sa board dans son petit shop underground pour ne pas aller engraisser bluetomato, ok. Maintenant, nous arrivons au problême réel. Ce petit shop dans lequel tu vas te faire plaisir te présentera forcément moins de boards que tout le catalogue que tu trouveras sur le web. Pour pouvoir s'assurer un minimum de bénéfices, ce shop est obligé de vendre en majeur partie des marques ultra commerciales telles que B, Ride, Nitro, etc... Ce qui est inévitable. Mais ceci n'est-il pas contraire à l'idéal ? Ne devrions nous pas, dans la continuité de notre pensée, opter pour des marques plus artisanales ? Eh oui, il est bien rare de trouver Artec ou Dinosaurs Will Die dans notre magasin. Alors forcément, on doit acheter sur internet, et dans des sites qui peuvent se permettre financièrement de risquer quelques roupilles au prix de ne pas vendre ce matos... Cercle vicieux. Mieux vaut soutenir la petite marque ou le petit shop ?
Voilà le paradoxe. A qui la clé ? ...
(Sans doute à celui qui va vendre Artec dans un 15 mètres carré
)
inscrit le 07/07/10
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