rpg : putain j'y crois pas, la première fois que je renvoie un bulletin de participation et -incroyable- je gagne une journée de ride avec Jeremy Jones ....argh... Jeremy Jones... ... sûrement ma seule journée de ride avec Jeremy Jones de toute ma seule et unique vie et Toi qu'est-ce que Tu fais : tu neiges pas pendant 15 jours !??!! ? T'oublies d'envoyer la pow-pow, putain j'y crois pas, T'es encore MORT ?
DIEU : non toujours là mais besoin moment négatif pour réussite absolue, pur achèvement : fin de la mission Huygens. Peux plus choisir gros négatif, 20ème siècle passé, fait, clos, alors choisi ta journée avec Jeremy Jones, pas pow-pow, cailloux : moment négatif, va bien, tout passé dans Huygens, voilà.
rpg : ouh-là! C'est pas la forme, t'arrives même plus à faire Ton Hegel ...on dirait du Fabius ! mdr. Bon j'ai pas la télé moi et je ride, vaguement entendu parler de cette sonde qu'a atterri sur Titan, c'était bien au moins, ça servait à quoi ?
DIEU : arrgh ... trop bon, 7 ans de devenir, multiples moments achevés dans une singularité, le pur instantané, achèvement absolu : cette photo.
rpg : euh... qu'est-ce que c'est que ça ? T'as sacrifié ma journée avec Jeremy Jones pour une photo de cailloux ?! T'es marteau, t'as complètement pété les plombs ? Comprends pas.
DIEU : cailloux à Val Thorens, cailloux sur Titan. Humour divin. mdr.
rpg : ... .. .... les doigts me tombent du clavier, franchement. En tout cas je confirme : les voies de Dieu sont impénétrables ! Bon tant pis j'y pense plus. Et pour la SwallowMania t'as prévu quoi ?
DIEU : 70cm station. pure pow-pow. négation de l'éternel du caillou dans l'immédiat du ride par la médiation éphémère du flocon, moment absolu déjà écrit de toute éternité.
rpg : ah super je réserve de suite... Ca va, tu es Bon !
De ce petit chat privé vous avez compris qu'il n'avait pas neigé depuis looonnnngtemps, j'étais venu le jour avant pour bien faire connaissance avec ma nouvelle board et franchement je pensais pas qu'on pourrait sortir des pistes, mais Jeremy Jones nous a quand même trouvé des runs corrects en pow-pow *vierge* à ValTho 15 jours après la dernière chute, incroyable, d'ailleurs je propose qu'on le Claptonise et que désormais çe soit lui qu'on appelle : Dieu. (toi le jeune si tu comprends rien va chercher papa il t'expliquera et pour le reste fais voir à ton prof de philo)
Damien le team manager de chez Rossignol et Claire de l'école Ski-Cool de ValTho avait tout organisé, tout bien, aux petits oignons, non aux petits lardons, on a pas arrêté de bouffer, petit dèj américain le matin, bière, gros rouge et tartiflette au déjeuner, chocolat chaud au goûter, quand t'as l'habitude de prendre juste 3 nougats sur le télésiège pour rider plus, la montée à pied sur les crêtes de ValTho l'après-midi c'était genre montée de ton escalier à quatre pattes le 1er janvier sur les 7h du mat en essayant de surtout pas y penser pour avoir le temps d'arriver jusqu'aux chiottes...
Non sérieux c'était tout bien préparé, Ski-Cool te mettait l'arva et le casque, Rossignol offrait tout, consos, forfaits, encadrement, c' était bien de chez bien.
Donc -je reprends au début- après l'énorme petit dèj, pendant que tu serrais tes bottes, y z'avaient demandé à une pisteuse si on pouvait y aller, et tu sais comment ils sont les pisteurs, faut jamais leur demander directement si on peut y aller, faut périphraser à mort pour avoir une petite chance d'apprendre qqchose, et là ils avaient du être très très directs car la fille elle te disait que tu pouvait pas dépasser le 30kmh, qu'y fallait faire au moins un virage tous les 10m, surtout jamais de tout droit, que c'était que des cailloux hyper dangereux qui demandaient qu'à t'arracher un lobe de cervelle, qu'il fallait bien attacher le casque, bien écouter, bien suivre Mr Jones sauf quand il allait vite et toujours toujours garder le contrôle, super important le contrôle. Quand je me suis relevé en fait j'ai pas compris, c'était pas la méchante pisteuse de service, c'était la très, très, jolie fille de chez Ski-Cool qui s'occupait de nous et qui s'est avéré ensuite rider comme une déesse, franchement la réalité c'est trop compliqué, moi je cherche plus, ça fait mal à la tête.
Damien de chez Rossignol et la très très jolie fille (en fait je sais pas si c'était avec elle mais elle était très très jolie et elle rid... bon ok j'arrête) avaient concocté un groupe d'une dizaine de riders bien homogène, personne attendait personne, sauf Jeremy Jones qu'attendait tout le monde bien sûr, il y avait même un rider plus vieux que moi, Jean-Marc, qui connaissait la station comme sa poche et m'a montré des coins de ride magnifiques -en plus on pouvait discuter bobos sur le télésiège c'était bien- il y avait Alex qui descendait les pistes comme une balle j'avais du mal à le suivre même avec mon 191 (bon il est aussi testeur de boards, ça a sûrement un rapport !), il y avait même le photographe de chez SnowSurf et oui oui je confirme ils ont bien la vie merveilleuse que t'imagines quand t'épluches le portfolio de ton mag préféré, il y avait aussi deux belles filles qu'avaient gagné et qui ridaient comme des reines (sans compter la très tr...) et Jeremy a pu emmener tout son petit monde dans les runs qu'il avait repéré depuis un moment pour honorer la montagne des seules traces de free-ride visibles pour longtemps à ValTho.
Après le ride t'avais un pot où tu pouvais discuter avec Jeremy autant que tu voulais, Damien te gavait de petits cadeaux Rossignol en particulier un dvd avec les meilleures parts des meilleures video du moment, autant te dire que c'est le ...meilleur... dvd de snow que j'ai. La part de Jeremy Jones est sublime, c'en est difficile à regarder tellement t'as les boyaux qui suivent chaque virage, il y a la fameuse séquence où il est suspendu sous 50 m de filin à l'helico pour dropper un couloir entre deux falaises, celle où il suit une crête hyper pentue-powpowtée mais de 2m de large, trop bon, que de la gavade sublime.
Jeremy il te dédicaçait son poster, moi je voulais qu'il marque qqchose d'incisif pour un des gones de ma famille qu'est en skis mais qu'est hyper doué pour apprendre le snowboard, mais il a pas voulu car il aime bien les skieurs -il est trop parfait ce mec- et il a mis 'Antoine, follows your dreams, JJ' à la place, mais c'est bon je vais lui filer le dvd Rossignol ça va le faire dreamer de ce qui va dix fois mieux et qu'est 100 fois plus beau dans la pow-pow...
BON ALORS ET JEREMY JONES ? Ben il était beau, il sentait bon le fart chaud... Il s'est bien occupé de nous, à réussi à nous trouver deux belles pentes vierges à peu près en pow-pow qu'il avait repérées, la deuxième avec une marche en crête bien engagée, bien freeride. On n'a pas vraiment pu le voir en action les pentes étaient bien loin de son niveau vidéo, du coup c'était genre "rider next door" avec tout de même son style slash/chassé arrière tellement classieux (m'a expliqué comment faut faire -faut bien appuyer sur l'avant- mais j'ai pas encore essayé
. Il parle lentement avec une belle voix grave et avec ton anglais franchouillard de terminale tu comprends tout. Même avec un groupe aux basques, tu sens qu'il a envie de rider, qu'il check les pentes, passe devant pour entraîner tout le monde, un vrai pur rider, un vrai passionné, c'est clair.
Sinon, il ride avec son pro model Rossignol, la planche de série, ouais ouais exactement la même qu'en chop. Je me souviens plus de la taille mais c'était petit et quand il veut s'empêcher d'aller vite il ride avec la 152 : hallucinant ! (moi je suis incapable de rider quoi que soit en dessous de 168, comment ils font lui ou Pauporté pour aller à des vitesses pareilles sur leurs boards minuscules, franchement ça relève du mystère métaphysique). Au niveau bottes et fix j'ai pas trop fait gaffe, son matos avait l'air tout à fait banal (bottes à lacets, pas de serrage câble par ex.). Sa planche à l'air de recevoir pas mal, du coup je me suis senti un peu moins pisseux d'autant esquinter les miennes.
Voili-voilou, et ma conclusion c'est respect et grand et sincère merci au monde des pros en général et à Rossignol en particulier.
Je trouve qu'ils s'occupent quand même bien de nous les riders que ça soit au Mondial, à la SwallowMania et dans des évènements aux petits oignons comme celui-là. Un super bon souvenir.
Bon les photos maintenant, en fait c'est pas des photos juste des snaps de séquences DV ultra pourries que j'ai tournées, c'était la première fois que je pose mon index sur un caméscope et en fait c'est difficile (tiens c'est con personne te le dit quand tu fais le chèque!) Je vais essayer de récupérer les photos de Mr le photographe de SnowSurf et je reposterai s'il est d'accord.
Bon là c'est le premier moment, la rencontre, au petit dèj et le bonnet à droite c'est celui de Jeremy Jones.
Si tu trouves que c'est nul comme photo c'est que t'es pas fan, tu peux pas comprendre.
Là c'est le départ et les jambes en noir au milieu c'est celles de Jeremy Jones, pareil.
Là des gagnants h e u r e u x, comme moi :
Là le summum du bonheur humain sur cette planète : le photographe de SnowSurf ! Visez le sourire !
Là le premier coin à powpow en redescendant depuis la cime Caron vers la combe qui mène au lac, je connaissais pas, un bon plan donné par Ski-Cool avec en plus pour la prochaine fois un aperçu de belles pentes qui redescendent l'arrivée Orelle :
Là Jeremy Jones en train de nous concocter une descente en pow-pow vierge, avec la belle preuve qui suit :
Là c'est très important, c'est Jeremy Jones en train de mater ma board.
Et le sourire il est pas narquois, il est complice (c'est juste un artefact du sous-échantillonnage jpg).
De toute façon l'américain c'est trop pur dans son coeur, ça peut pas faire de sourire narquois.
Là c'est Jeremy Jones derrière moi, ouais vous avez bien lu, derrière moi :
Bon d'accord je lui avais demandé.
Et un dernier moment de ride...
DIEU : non toujours là mais besoin moment négatif pour réussite absolue, pur achèvement : fin de la mission Huygens. Peux plus choisir gros négatif, 20ème siècle passé, fait, clos, alors choisi ta journée avec Jeremy Jones, pas pow-pow, cailloux : moment négatif, va bien, tout passé dans Huygens, voilà.
rpg : ouh-là! C'est pas la forme, t'arrives même plus à faire Ton Hegel ...on dirait du Fabius ! mdr. Bon j'ai pas la télé moi et je ride, vaguement entendu parler de cette sonde qu'a atterri sur Titan, c'était bien au moins, ça servait à quoi ?
DIEU : arrgh ... trop bon, 7 ans de devenir, multiples moments achevés dans une singularité, le pur instantané, achèvement absolu : cette photo.
rpg : euh... qu'est-ce que c'est que ça ? T'as sacrifié ma journée avec Jeremy Jones pour une photo de cailloux ?! T'es marteau, t'as complètement pété les plombs ? Comprends pas.
DIEU : cailloux à Val Thorens, cailloux sur Titan. Humour divin. mdr.
rpg : ... .. .... les doigts me tombent du clavier, franchement. En tout cas je confirme : les voies de Dieu sont impénétrables ! Bon tant pis j'y pense plus. Et pour la SwallowMania t'as prévu quoi ?
DIEU : 70cm station. pure pow-pow. négation de l'éternel du caillou dans l'immédiat du ride par la médiation éphémère du flocon, moment absolu déjà écrit de toute éternité.
rpg : ah super je réserve de suite... Ca va, tu es Bon !
De ce petit chat privé vous avez compris qu'il n'avait pas neigé depuis looonnnngtemps, j'étais venu le jour avant pour bien faire connaissance avec ma nouvelle board et franchement je pensais pas qu'on pourrait sortir des pistes, mais Jeremy Jones nous a quand même trouvé des runs corrects en pow-pow *vierge* à ValTho 15 jours après la dernière chute, incroyable, d'ailleurs je propose qu'on le Claptonise et que désormais çe soit lui qu'on appelle : Dieu. (toi le jeune si tu comprends rien va chercher papa il t'expliquera et pour le reste fais voir à ton prof de philo)
Damien le team manager de chez Rossignol et Claire de l'école Ski-Cool de ValTho avait tout organisé, tout bien, aux petits oignons, non aux petits lardons, on a pas arrêté de bouffer, petit dèj américain le matin, bière, gros rouge et tartiflette au déjeuner, chocolat chaud au goûter, quand t'as l'habitude de prendre juste 3 nougats sur le télésiège pour rider plus, la montée à pied sur les crêtes de ValTho l'après-midi c'était genre montée de ton escalier à quatre pattes le 1er janvier sur les 7h du mat en essayant de surtout pas y penser pour avoir le temps d'arriver jusqu'aux chiottes...
Non sérieux c'était tout bien préparé, Ski-Cool te mettait l'arva et le casque, Rossignol offrait tout, consos, forfaits, encadrement, c' était bien de chez bien.
Donc -je reprends au début- après l'énorme petit dèj, pendant que tu serrais tes bottes, y z'avaient demandé à une pisteuse si on pouvait y aller, et tu sais comment ils sont les pisteurs, faut jamais leur demander directement si on peut y aller, faut périphraser à mort pour avoir une petite chance d'apprendre qqchose, et là ils avaient du être très très directs car la fille elle te disait que tu pouvait pas dépasser le 30kmh, qu'y fallait faire au moins un virage tous les 10m, surtout jamais de tout droit, que c'était que des cailloux hyper dangereux qui demandaient qu'à t'arracher un lobe de cervelle, qu'il fallait bien attacher le casque, bien écouter, bien suivre Mr Jones sauf quand il allait vite et toujours toujours garder le contrôle, super important le contrôle. Quand je me suis relevé en fait j'ai pas compris, c'était pas la méchante pisteuse de service, c'était la très, très, jolie fille de chez Ski-Cool qui s'occupait de nous et qui s'est avéré ensuite rider comme une déesse, franchement la réalité c'est trop compliqué, moi je cherche plus, ça fait mal à la tête.
Damien de chez Rossignol et la très très jolie fille (en fait je sais pas si c'était avec elle mais elle était très très jolie et elle rid... bon ok j'arrête) avaient concocté un groupe d'une dizaine de riders bien homogène, personne attendait personne, sauf Jeremy Jones qu'attendait tout le monde bien sûr, il y avait même un rider plus vieux que moi, Jean-Marc, qui connaissait la station comme sa poche et m'a montré des coins de ride magnifiques -en plus on pouvait discuter bobos sur le télésiège c'était bien- il y avait Alex qui descendait les pistes comme une balle j'avais du mal à le suivre même avec mon 191 (bon il est aussi testeur de boards, ça a sûrement un rapport !), il y avait même le photographe de chez SnowSurf et oui oui je confirme ils ont bien la vie merveilleuse que t'imagines quand t'épluches le portfolio de ton mag préféré, il y avait aussi deux belles filles qu'avaient gagné et qui ridaient comme des reines (sans compter la très tr...) et Jeremy a pu emmener tout son petit monde dans les runs qu'il avait repéré depuis un moment pour honorer la montagne des seules traces de free-ride visibles pour longtemps à ValTho.
Après le ride t'avais un pot où tu pouvais discuter avec Jeremy autant que tu voulais, Damien te gavait de petits cadeaux Rossignol en particulier un dvd avec les meilleures parts des meilleures video du moment, autant te dire que c'est le ...meilleur... dvd de snow que j'ai. La part de Jeremy Jones est sublime, c'en est difficile à regarder tellement t'as les boyaux qui suivent chaque virage, il y a la fameuse séquence où il est suspendu sous 50 m de filin à l'helico pour dropper un couloir entre deux falaises, celle où il suit une crête hyper pentue-powpowtée mais de 2m de large, trop bon, que de la gavade sublime.
Jeremy il te dédicaçait son poster, moi je voulais qu'il marque qqchose d'incisif pour un des gones de ma famille qu'est en skis mais qu'est hyper doué pour apprendre le snowboard, mais il a pas voulu car il aime bien les skieurs -il est trop parfait ce mec- et il a mis 'Antoine, follows your dreams, JJ' à la place, mais c'est bon je vais lui filer le dvd Rossignol ça va le faire dreamer de ce qui va dix fois mieux et qu'est 100 fois plus beau dans la pow-pow...
BON ALORS ET JEREMY JONES ? Ben il était beau, il sentait bon le fart chaud... Il s'est bien occupé de nous, à réussi à nous trouver deux belles pentes vierges à peu près en pow-pow qu'il avait repérées, la deuxième avec une marche en crête bien engagée, bien freeride. On n'a pas vraiment pu le voir en action les pentes étaient bien loin de son niveau vidéo, du coup c'était genre "rider next door" avec tout de même son style slash/chassé arrière tellement classieux (m'a expliqué comment faut faire -faut bien appuyer sur l'avant- mais j'ai pas encore essayé
. Il parle lentement avec une belle voix grave et avec ton anglais franchouillard de terminale tu comprends tout. Même avec un groupe aux basques, tu sens qu'il a envie de rider, qu'il check les pentes, passe devant pour entraîner tout le monde, un vrai pur rider, un vrai passionné, c'est clair.Sinon, il ride avec son pro model Rossignol, la planche de série, ouais ouais exactement la même qu'en chop. Je me souviens plus de la taille mais c'était petit et quand il veut s'empêcher d'aller vite il ride avec la 152 : hallucinant ! (moi je suis incapable de rider quoi que soit en dessous de 168, comment ils font lui ou Pauporté pour aller à des vitesses pareilles sur leurs boards minuscules, franchement ça relève du mystère métaphysique). Au niveau bottes et fix j'ai pas trop fait gaffe, son matos avait l'air tout à fait banal (bottes à lacets, pas de serrage câble par ex.). Sa planche à l'air de recevoir pas mal, du coup je me suis senti un peu moins pisseux d'autant esquinter les miennes.
Voili-voilou, et ma conclusion c'est respect et grand et sincère merci au monde des pros en général et à Rossignol en particulier.
Je trouve qu'ils s'occupent quand même bien de nous les riders que ça soit au Mondial, à la SwallowMania et dans des évènements aux petits oignons comme celui-là. Un super bon souvenir.
Bon les photos maintenant, en fait c'est pas des photos juste des snaps de séquences DV ultra pourries que j'ai tournées, c'était la première fois que je pose mon index sur un caméscope et en fait c'est difficile (tiens c'est con personne te le dit quand tu fais le chèque!) Je vais essayer de récupérer les photos de Mr le photographe de SnowSurf et je reposterai s'il est d'accord.
Bon là c'est le premier moment, la rencontre, au petit dèj et le bonnet à droite c'est celui de Jeremy Jones.
Si tu trouves que c'est nul comme photo c'est que t'es pas fan, tu peux pas comprendre.
Là c'est le départ et les jambes en noir au milieu c'est celles de Jeremy Jones, pareil.
Là des gagnants h e u r e u x, comme moi :
Là le summum du bonheur humain sur cette planète : le photographe de SnowSurf ! Visez le sourire !
Là le premier coin à powpow en redescendant depuis la cime Caron vers la combe qui mène au lac, je connaissais pas, un bon plan donné par Ski-Cool avec en plus pour la prochaine fois un aperçu de belles pentes qui redescendent l'arrivée Orelle :
Là Jeremy Jones en train de nous concocter une descente en pow-pow vierge, avec la belle preuve qui suit :
Là c'est très important, c'est Jeremy Jones en train de mater ma board.
Et le sourire il est pas narquois, il est complice (c'est juste un artefact du sous-échantillonnage jpg).
De toute façon l'américain c'est trop pur dans son coeur, ça peut pas faire de sourire narquois.
Là c'est Jeremy Jones derrière moi, ouais vous avez bien lu, derrière moi :
Bon d'accord je lui avais demandé.
Et un dernier moment de ride...
bravo
inscrit le 23/12/04
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