Difficultés pour Anais Caradeux

Bertoni/Rolland où l'exemple type de la recherche de sponsor sur le court terme en regardant la ligne des euros mais en regardant pas avec qui on signe. Rien sur le moyen/long terme.

Bertoni gagne les X, décide de signer un gros contrat avec Orage (puis se fait virer d'Orage), change de contrat station pour quitter La Clusaz et filer à Tignes, se fait virer de Rossignol pour filer chez Coreupt qui fait faillite. Wow quel business plan de malade... finalement il quitte le pipe et le freeski project et décide de faire de l'image et du backcountry.

Rolland, gagne tout et décide de tout changer, Coreupt de la tête au pied, fini Rossignol et Peak... place à la faillite de Coreupt... vite de nouveau sponsor Nike de la tête au pied... place au retrait de Nike des sports d'hiver, heureusement il reste Coreupt pour les ski, mais non en fait. heureusement il reste sponsorisé par Sosh, des huiles essentielles et une marque de caleçon. Tous ses projets perso foire ou s

En fait dans le freeski project, heureusement que Toto Krief est fidèle à Salomon et à Quiksilver depuis qu'il a 6 ans et que Rossignol et Billabong sont derrière Ben Valentin (qui soit dit en passant peut remercier Bertoni et Rolland d'avoir piquer tout le budget sponsoring chez coreupt ce qui lui a permis d'aller chez Rossignol). D'ailleurs c'est souvent que Greg Guenet est habillé en Billabong ou en Quiksilver.

Maintenant, Rolland se retrouve sans sponsors ski, avec une saison en cours et des budgets sponsoring déjà boucler. Rossignol a un Ben Valentin qui commence à être très très bon, et un roi du style qui fait parler de lui avec JPV... ils ont plus besoin de Rolland.

Tu résumes très bien la situation Yone !
Mais n'oublions pas que ces mecs sont d'abord des riders avant d'être des businessman

mere_michele_prod (18 déc. 2014) disait:

Tu résumes très bien la situation Yone !
Mais n'oublions pas que ces mecs sont d'abord des riders avant d'être des businessman

Pourtant la première chose que font les rider "pro" quel que soit leur age (je le mets entre guillemets rider pro car comme on la vu précédemment ça veut tout et rien dire), c'est de monter une société dont le rider est l'unique actionnaire (il n'y qu'à rentrer les noms des riders sur dirigeant.com, ils sont quasi-tous dirigeants de leur propre société afin de gérer leur carrière).

Si le rider monte une boite c'est qu'il accepte le deal du business, si il est pas businessman vaut mieux qu'il le devienne vite si il ne veut pas qu'il arrive un souci avec sa société. Sport is business, show is business alors les sports alternatifs qui vendent du show le sont encore plus.

D'après Greg guenet le manque de sponsor vient du fait que les jeux sont passés... Mais bon comme l'a dit Yone ben Valentin et TK sont chez leurs sponsors depuis un bail..Kevin faisait pas parti de la team BMW aussi?J'ai jamais compris en quoi ça consistait !

clement69 (18 déc. 2014) disait:

D'après Greg guenet le manque de sponsor vient du fait que les jeux sont passés... Mais bon comme l'a dit Yone ben Valentin et TK sont chez leurs sponsors depuis un bail..Kevin faisait pas parti de la team BMW aussi?J'ai jamais compris en quoi ça consistait !

T'as surement droit à une caisse et en echange tu fais actes de présences sur les salons de l'auto et autres manifestations organisées par BMW... bref tu finances pas ta saison avec ça (d'ailleurs il a pas de stickers BMW ou d'encart... comme il a pas de stickers Beaume et Mercier ou Allianz assurances).

Yone, je trouve que tes analyses sont pleines de bon sens, et plutôt pertinentes. Elle semblent néanmoins un peu à charge contre certains. (KR par exemple).

On peut aussi penser que KR et XB ont été "victimes" de leur succès relativement rapide (trop ?) avec l'arrivée des Xgames en France et surtout la couverture de Canal+. Victimes aussi peut-être de leur charisme "bancable"... avec du coup probablement des décisions difficiles à prendre rapidement.

Exemple : Quand la marque X ou Y te propose un contrat, oui dans le meilleur des mondes tu pèses le pour et le contre, le court et le long terme... mais une chose à prendre en compte est la blessure. Si tu te blesses, dans 2 mois avec potentiellement un an ou deux ans de carrière à mettre entre parenthèses, tu peux définitivement t’asseoir sur ces propositions !

Dans le doute, et la précipitation, il peut se révéler naturel de penser exclusivement à court terme.

Ensuite, le choix du sportif est une chose, mais ya aussi la mauvaise foie de la marque. Certaines marques (on le voit bien) sont des vrais mécènes, des vrais partenaires... D'autres de font miroiter monts et merveilles mais sont simplement des rapaces.

Enfin je rejoins certains commentaires sur un point : Dealer un sponsoring exclusivement matos, c'est du perdant/gagnant (gagnant pour la marque bien entendu). C'est certainement difficile de résister quand une grande marque te propose tout le matériel ou avantages que tu veux, mais c'est nécessaire pour professionnaliser ton parcours.

My 2 cents

Après ce qu'il faut se dire c'est que la marge de progression d'un ben Valentin, un Thomas krief ou même un JPV est bien plus importante que celle de Kevin Rolland, je pense qu'il est impossible qu'il rattrape le niveau de Wise et Wallace que ce soit a court,moyen ou long terme!

UgiveITup (18 déc. 2014) disait:

Yone, je trouve que tes analyses sont pleines de bon sens, et plutôt pertinentes. Elle semblent néanmoins un peu à charge contre certains. (KR par exemple).

On peut aussi penser que KR et XB ont été "victimes" de leur succès relativement rapide (trop ?) avec l'arrivée des Xgames en France et surtout la couverture de Canal+. Victimes aussi peut-être de leur charisme "bancable"... avec du coup probablement des décisions difficiles à prendre rapidement.

Exemple : Quand la marque X ou Y te propose un contrat, oui dans le meilleur des mondes tu pèses le pour et le contre, le court et le long terme... mais une chose à prendre en compte est la blessure. Si tu te blesses, dans 2 mois avec potentiellement un an ou deux ans de carrière à mettre entre parenthèses, tu peux définitivement t’asseoir sur ces propositions !

Dans le doute, et la précipitation, il peut se révéler naturel de penser exclusivement à court terme.

Ensuite, le choix du sportif est une chose, mais ya aussi la mauvaise foie de la marque. Certaines marques (on le voit bien) sont des vrais mécènes, des vrais partenaires... D'autres de font miroiter monts et merveilles mais sont simplement des rapaces.

Enfin je rejoins certains commentaires sur un point : Dealer un sponsoring exclusivement matos, c'est du perdant/gagnant (gagnant pour la marque bien entendu). C'est certainement difficile de résister quand une grande marque te propose tout le matériel ou avantages que tu veux, mais c'est nécessaire pour professionnaliser ton parcours.

My 2 cents

Pas si tu es avec le sponsor depuis (ou pour) des lustres.
Si le sponsor sait que t'es une girouette à l'affut de la moindre occasion pour te barrer voir ailleurs, là c'est clair qu'il sera retissant à te garder en cas de blessure car il va se dire : "OK, c'est les croisés, il est out pour 1 an, pendant 1 an c'est moi qui le paye, qui vait lui mettre à dispo le top du top pour qu'il reskie et dès qu'il pourra reskier il va se barrer ailleurs vu qu'il change de crémerie comme de pull-in".

Ce qui est symptomatique c'est que par exemple dans le freestyle, on ne compte plus le nombre de skieurs qui se sont barrés la même année que la sortie de leur promodel de lunettes, de ski, de fringues... ce qui n'est pas pour rassurer les sponsors... donc ils sponsorisent moins (ou mieux pour pas se faire avoir) et là c'est sûr que certains se cassent (ou vont se casser) les dents.

A l'inverse, star ou non du freeski, si t'es un gars qui a une parole et qui a une vision sur le long terme (TK avec Salomon et Quik, JPV avec Rossignol, Candide et Quik, Ducroz avec Dynastar, Kaj avec Salomon, Pollard avec Line et Dakine, Pettit avec K2, Fujas avec K2, Hoji et 4FRNT, Taillfer avec Line et Planks, Atomic et Wells etc...) tu peux te blesser, le sponsor reste à tes côtés car il sait que vous n'êtes pas ensemble uniquement pour 2-3 ans, mais bien plus et c'est du donnant donnant sur du moyen/long terme.

mere_michele_prod (18 déc. 2014) disait:

Tu résumes très bien la situation Yone !
Mais n'oublions pas que ces mecs sont d'abord des riders avant d'être des businessman

Ah ?

Je trouve ça très utopiste quand même, ça dépend vraiment qui.

Pour moi les riders qui sont des riders avant d'être des business man sont des skibums. Les riders qui sont des business man avant d'être des riders sont des proriders... Et au sens professionnel, rémunération, etc, pas juste de haut niveau avec quelques contrats matos. Enfin je vois plutôt ça comme ça

T'façon être pro dans la plupart des cas c'est une situation provisoire donc il vaut mieux être businessman et s'assurer le futur... Surtout vu la dépendance aux blessures et autres aléas.

Tu vois exclusivement le mal du coté du sportif.

Peut-être faut-il également mettre en corrélation, la fidélité du sponsor/l'argent dépensé/l'attrait pour le sportif.
Je m'explique : si les marques que tu cites dépensent peu, elle peuvent se permettre d'être fidèles (même en cas de coup dur sportif ou médical). Et si elles engagent peu financièrement, ça peut conduire certains sportifs à voir ailleurs (avec ou sans succès par ailleurs). Sur tous les riders que tu cites, tu ne sais finalement pas s'ils ont cherché, un jour, à changer de crèmerie.

Je connais pas du tout les montants engagés dans le skis, j'aimerais en savoir plus d'ailleurs. En revanche j'ai été team manager dans un domaine similaire au sport et je sais que la mécanique n'est tout même pas si simple (ni blanc ni noire).
Sinon pour connaître quelqu'un chez Quik, j'ai bien l'impression que c'est un vrai partenariat avec Candide (avec les autres aussi j'imagine) et à terme c'est clairement la situation gagnante

UgiveITup (18 déc. 2014) disait:

Tu vois exclusivement le mal du coté du sportif.

Peut-être faut-il également mettre en corrélation, la fidélité du sponsor/l'argent dépensé/l'attrait pour le sportif.
Je m'explique : si les marques que tu cites dépensent peu, elle peuvent se permettre d'être fidèles (même en cas de coup dur sportif ou médical). Et si elles engagent peu financièrement, ça peut conduire certains sportifs à voir ailleurs (avec ou sans succès par ailleurs). Sur tous les riders que tu cites, tu ne sais finalement pas s'ils ont cherché, un jour, à changer de crèmerie.

Je connais pas du tout les montants engagés dans le skis, j'aimerais en savoir plus d'ailleurs. En revanche j'ai été team manager dans un domaine similaire au sport et je sais que la mécanique n'est tout même pas si simple (ni blanc ni noire).
Sinon pour connaître quelqu'un chez Quik, j'ai bien l'impression que c'est un vrai partenariat avec Candide (avec les autres aussi j'imagine) et à terme c'est clairement la situation gagnante

justement, à l'heure actuelle, la très grande majorité des marques veulent dépenser peu sur court ou moyen terme.

on peut trouver des chiffres, ou tout est "confidentiel". Le sujet m’intéresse beaucoup

UgiveITup (18 déc. 2014) disait:

on peut trouver des chiffres, ou tout est "confidentiel". Le sujet m’intéresse beaucoup

pas de chiffre, juste les articles qui relatent le fait que les riders (de compétition) arrivent de moins en moins à boucler leur budget car les sponsors reduisent les budgets.

Aucune news pour les riders qui font que de la vidéo (cela dit pour un sponsor c'est mieux de se faire voir sur une video qui va être vu des dizaines de milliers de fois sur le net et à la TV que de se faire voir sur un rider qui va tellement vite que tu ne vois le sponsor que 2min à la fin du run dans l'aire d'arrivée de la compet sur une chaine du cable à 4h du mat).

UgiveITup (18 déc. 2014) disait:

Tu vois exclusivement le mal du coté du sportif.

Peut-être faut-il également mettre en corrélation, la fidélité du sponsor/l'argent dépensé/l'attrait pour le sportif.
Je m'explique : si les marques que tu cites dépensent peu, elle peuvent se permettre d'être fidèles (même en cas de coup dur sportif ou médical). Et si elles engagent peu financièrement, ça peut conduire certains sportifs à voir ailleurs (avec ou sans succès par ailleurs). Sur tous les riders que tu cites, tu ne sais finalement pas s'ils ont cherché, un jour, à changer de crèmerie.

Je connais pas du tout les montants engagés dans le skis, j'aimerais en savoir plus d'ailleurs. En revanche j'ai été team manager dans un domaine similaire au sport et je sais que la mécanique n'est tout même pas si simple (ni blanc ni noire).
Sinon pour connaître quelqu'un chez Quik, j'ai bien l'impression que c'est un vrai partenariat avec Candide (avec les autres aussi j'imagine) et à terme c'est clairement la situation gagnante

Après justement en parlant de Candide et Quick je me suis rendu compte que ca faisait deux ans qu'il n'y avait plus de pro modele de Candide dans la collection! Après faut voir sur quoi porte le partenariat mais il y a quand même très peu d'image de candide depuis Few Word même si OOTD à fait un sacré buzz, d'ailleurs quelqu'un à une idée de quand il met le 2 en ligne?

ça devait etre mardi, pas de nouvelle depuis ...

C'est facile d'attaquer les skieurs sur leurs partenariats, quand on te presente un gros chèque, et que tu sais que ta carrière est pas enternelle, forcement tu es tenté d'accepter ! D'autant plus que Coreupt laisse entendre des pro-modèles vraiment fait à la demande du skieurs, et une grosse contribution au developement de la marque.
Les marques sont pas vraiment fidèles non plus, c'est du business ! Petit rappel : Red bull qui lache Tanner Hall à se retour de blessure ...

Faut pas oublier que la marque n'est pas un sponsor par plaisir, elle le fait pq elle voit une source d'argent derrière. Que le mec soit bon, fidèle, elle s'en fou du moment qu'il fait vendre ! Et c'est pareil dans tous les sports, surtout d'équipe. Maintenant certains athlètes essaient de rester fidèles pour avoir mon de pression à ce niveau la, et pouvoir se concentrer uniquement sur le sport.

clement69 (18 déc. 2014) disait:

UgiveITup (18 déc. 2014) disait:

Tu vois exclusivement le mal du coté du sportif.

Peut-être faut-il également mettre en corrélation, la fidélité du sponsor/l'argent dépensé/l'attrait pour le sportif.
Je m'explique : si les marques que tu cites dépensent peu, elle peuvent se permettre d'être fidèles (même en cas de coup dur sportif ou médical). Et si elles engagent peu financièrement, ça peut conduire certains sportifs à voir ailleurs (avec ou sans succès par ailleurs). Sur tous les riders que tu cites, tu ne sais finalement pas s'ils ont cherché, un jour, à changer de crèmerie.

Je connais pas du tout les montants engagés dans le skis, j'aimerais en savoir plus d'ailleurs. En revanche j'ai été team manager dans un domaine similaire au sport et je sais que la mécanique n'est tout même pas si simple (ni blanc ni noire).
Sinon pour connaître quelqu'un chez Quik, j'ai bien l'impression que c'est un vrai partenariat avec Candide (avec les autres aussi j'imagine) et à terme c'est clairement la situation gagnante

Après justement en parlant de Candide et Quick je me suis rendu compte que ca faisait deux ans qu'il n'y avait plus de pro modele de Candide dans la collection! Après faut voir sur quoi porte le partenariat mais il y a quand même très peu d'image de candide depuis Few Word même si OOTD à fait un sacré buzz, d'ailleurs quelqu'un à une idée de quand il met le 2 en ligne?

Tony Hawk est sponso par Quiksilver... est ce que Tony Hawk fait encore des vidéos de skate? non. Candide c'est quasi kif kif, c'est l'avantage quand à partir d'une certaine aura dans ton sport, t'es plus juste sponso, t'es Ambassadeur de la marque qui te sponsorise.

La dernière vidéo de Candide ça coute pas cher et c'est efficace : 12 sec, plus de 46000 vues sur youtube et vu l'ambiance de malade au High Five pour OOTD2 et la deuxième place de Candide au Powder Award cette année, t'inquiète pour le Chave. De plus Candide a jamais été un gars qui matraque le net par ses vidéos ou ses sorties médiatiques (ce qui rend l'impact médiatique encore plus grand... tout bénef pour le partenaire).

yone74 (18 déc. 2014) disait:

(..)cela dit pour un sponsor c'est mieux de se faire voir sur une video qui va être vu des dizaines de milliers de fois sur le net et à la TV que de se faire voir sur un rider qui va tellement vite que tu ne vois le sponsor que 2min (..)

Je ne suis pas certain que 100.000 vues online soient plus intéressantes que 30 secondes sur Canal+.

A mon avis les deux sont complémentaires. Tu touches les connaisseurs d'un côté, et les spectateurs/amateurs de l'autre.

Et puis au niveau distribution (c'est aussi un enjeu fort du sponsoring) tu peux gagner en linaire dans les shop spécialisés d'un coté et te faire une petite place dans les grandes enseignes de l'autre.

C'est donc complémentaire, et est totalement fonction de la stratégie de la marque.

yone74 (18 déc. 2014) disait:

(..) à la fin du run dans l'aire d'arrivée de la compet sur une chaine du cable à 4h du mat).

Par contre ça c'est un point sensible ! L'arrêt des Winter X-game Europe et la diffusion sur les grandes chaines a pour moi clairement joué un rôle négatif, et créé un situation un peu plus tendue.

La fidélité est quand même une protection dans ce domaine. Par exemple, Pollard se blesse gravement.
1) line arrête le sponsoring - > l'image renvoyé par la marque est très mauvaise. Tout le monde se dit c'est un peu des enculés chez line.

2) line continue son sponsoring -> ils sont cools chez line. Il garde un mec qui participait à l'image actuelle de la marque même si il ne peut plus skier.

UgiveITup (18 déc. 2014) disait:

on peut trouver des chiffres, ou tout est "confidentiel". Le sujet m’intéresse beaucoup

comme il a été indiqué, il suffit dans bien des cas de taper le nom du rider dans societe.com pour connaitre le CA de sa structure quand il a en une, c'est à dire sauf montage spécial le montant de ses contrats sponsoring pour l'année et autres revenus éventuels (cours de ski, conférences...).
Attention, ce montant n'est pas ce qui reste dans la poche du rider à la fin de la saison, loin s'en faut.

Vous avez des nouvelles d'Anais Caradeux. Elle s'était blessée en janvier (ligaments croisés) mais son indisponibilité avait été annoncée pour seulement deux mois. C'est peu pour une blessure de ce type et je voulais savoir ce qu'il en était aujourd'hui.

Il me semble qu'elle se soit fait opérer il y a quelques jours et ça s'est plutôt bien passé !

Ah c'est super ! Elle est sympathique cette fille.