Magnifico (03 mars 2009 22 h 44) disait:
chipinzebox (03 mars 2009 22 h 37) disait:
Cet allégement, n'est ce pas ce qu'on retrouve également lorsqu'on souhaite "absorber" une cassure et ne pas décoller ?
attention le opp traken est un monde en soi..
J’utilise des termes hors lexicologie mais généralement compris de tout le monde : Lorsque tu as une bosse devant toi (La bosse ça n’est pas une cassure. La bosse ressemble à un tremplin d’appel), tu peux t’en servir de tremplin pour sauter. Si au contraire tu ne veux pas sauter, je dis au gamin qu’il faut la lécher ou la sucer. C’est-à-dire rester en contact, « adhérer à la neige ». Les termes sont impropres mais ça marche donc je ne me pose pas de questions métaphysiques ou magnifiquiste.
Effectivement sur une bosse l’avalement permet de maintenir le contact ski neige sur la première partie. Quand tu attaques la bosse tu laisses remonter les jambes devant toi (c’est ce qu’on a appelé un avalement passif) et dès que tu arrives au sommet de la bosse tu repousses tes jambes vers le bas pour garder le contact ski neige. Ca se pratique dans les woop (succession de « bosses » dans les skieurcross ) par exemple. Si tu regardes le woop de coté, tu dois voir la tête du skieur qui a une trajectoire rectiligne tandis que les jambes agissent comme des ressorts ou amortisseurs. Terme encore hors lexicologie mais que tout le monde comprends.
Quant au op traken c’est surtout utilisé dans les disciplines de vitesse. L’exemple type c’est face à une cassure. Plutôt que de se laisser envoler, je vais m’alléger au maximum (voire décoller si nécessaire ) avant la cassure pour me reposer juste derrière celle-ci. Donc rien à voir avec un avalement.
Dis moi : Je suis clair ou en train de plonger dans le coté obscur de la magnifiquite ???
inscrit le 03/03/07
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