nev_sum ( 7 avril 2014) disait:
exactement. Avec trop souvent la sensation qu'il est interdit de poser la moindre question à la sommité médicale en face de nous, qui s'abaisse déjà suffisamment à encaisser notre chèque....
J'avoue que ce genre de comportement a tendance à me repousser. Je me souviens d'un chir grenoblois qui a sa propre clinique et roule en Jag. (mais je ne dirais pas le nom
).
Rendez vous quasi sur la pas de porte, même pas regardé les examens et vlam : "Faut opérer, prenez RDV avec ma secrétaire. Ca fait 75 euros".
Ma réponse a eu l'air de le surprendre :
" 1 J'ai pour habitude de séparer les choses. En conséquence celui qui me prescrit l'opération, n'est pas celui qui m'opère. Donc je ne prends pas rendez-vous.
2 Ca ressemble à une consultation (je sors une pièce de 1 euros de ma poche et la laisse tomber parterre ) et ce bruit ressemble à un paiement.
Au revoir monsieur".
Le mec médusé et moi hilare. Finalement, après avis de deux autres chir, il n'était pas nécessaire que je sois opéré...
Le problème, me semble-t-il c'est qu'une minorité de salopard qui opère à la chaine pour un oui pour un non, mais surtout pour le pognon, discréditent la majorité, qui j'en suis certain travaille comme il faut.
C'est comme un chir (grand ponte paraît-il et qui a sa propre clinique aussi - enfin celle de papa si j'ai tout compris ) qui m'a opéré du tendon d'Achille. Lorsqu'il m'a dit, je vais donc faire ça, ça et ça, je lui ai demandé si c'était lui ou un de ses subalterne. Très honnêtement il m'a dit que ça serait tel interne. Au moins c'est clair net et précis. Première visite après mon réveil, le ponte et un mec avec lui qui prenait des notes le jour où il m'avait expliqué ce qui allait se passer. Le ponte me dit, je vous présente votre chirurgien. Du coup c'est sur que si on me demande mon avis sur ce mec, il ne peut qu'être positif parce que la relation a été honnête
inscrit le 05/11/10
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