probleme

les deux peuvent avoir raison

il faut regarder tes skis et voir si la fixation et sur une plaque
ou directement sur le ski

dans le 1er cas pas de soucis
dans le second il peux y avoir des problème si ton changement de coque est trop important

mais essaye de poser ta chaussure sur le ski et en cas de doute passe voir un magasin spécialisé ou met une photo ici quelqu'un te répondra

Les Z12 disposent d'une gamme de réglage de 32 mm sur la talonnière par crans de 4 mm.
Il faut regarder le chiffre indiqué sur le coté de tes anciennes chaussures, et sur les nouvelles pour voir une différence de longueur éventuelle.
Si tes anciennes chaussures ont été centrées au milieu de la gamme de réglage, tu dispose d'environ 12 à 16 mm en plus ou en moins simplement en faisant glisser la talonnière.
Il suffit de glisser un gros tournevis et le faire tourner pour soulever le blocage de la talonnière.

est ce que tout les magasin re perce les ski ou sertaint ne le font pas quar la difference de longueur et de 34mm

marco48 (21 jui 2010) disait:

est ce que tout les magasin re perce les ski ou sertaint ne le font pas quar la difference de longueur et de 34mm

ça craint !!!

Petite question :
tes anciennes chaussure, tu les avait acheté quand ton pied continuait de grandir?
Non parce que 34mm de différence en longueur de coque, c'est au bas mot 2 pointure d'écart (et plus probablement 3 pointures d'ailleurs).

cravi

oui les chaussures que je vais changer date de 2 ans quar l annee passer j ai louer des ski s est pour ca qui il y a un aussi grande difference de pointure

De toute manière et s'il faut reperser les ski, il vaut mieux que la différence soit grande car tu ne peux pas trop faire de trou trop rapproché.

Mais le meilleur moyen reste d'essayer : Apporte un ski à la boutique et test.

euh non mes ski m arrive au nez y sont pas trop petit et j ai fait repercer mes ski

C a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! ! c a r ! !