Sysy,
J’ai oublié les
et les
après « j’en remets une couche… ».
Quand je parlais de tactique du coach, je voulais dire que visiblement peu de coureurs étaient habitués à des tracés aussi tournant. Et c’est bien dommage. Le manque d’habitude ou de pratique n’empêche pas cependant de se bagarrer et de prendre des points. Tu en es l’exemple même…
Ce que je trouve dommage c’est que des skieurs n’arrivaient pas à prendre de plaisir sur un tracé qui sortait un peu de l’ordinaire. Car le but de la course, c’est quand même de prendre du plaisir. Et c’est là que je me pose des questions (à titre personnel ). Faut-il stéréotyper les tracés pour que tout le monde y trouve son compte ? Je ne crois pas. Sur ce deuxième tracé, celui qui a gagné, c’est celui qui c’est le plus bagarré pour garder des trajectoires. Doit-on abandonner certaines formes de tracés ? Il y a des tas de choses qui pour des raisons de facilité de lecture de tracé tendent à disparaitre. Avant, tous les coureurs ne prenaient pas le tracé de la même façon. Certains rentraient dans une enfilade en dessus, d’autres en dessous. On a perdu cette analyse stratégique…
Une fois je me suis amusé à aligner deux figures : une double suivie d’une banane (on fait plus communément l’inverse ). Petit détail la double plongeait en devers. C’était assez foklo à regarder. Mauvaise reco, mauvaise compréhension du tracé, etc…
C’est certain qu’à Vaujany, le tracé aurait été différent. Et quant au but d’un tracé quelque soit le niveau, les formateurs pour le traceur (régional et national ) ne cessent de répéter que le but d’un tracé n’est pas de piéger le coureur. Le but est d’emmener un maximum de coureur en bas et que la différence se fassent sur le chrono et non sur la capacité d’arriver en bas…
inscrit le 03/03/08
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