1ère semaine : départ de Liège, pas de CLM par équipes, passage par les Vosges et descente vers les Alpes
1 : pas de prologue, mais un CLM à Liège de 15-20 km
2 : Liège – Liège, avec un final comprenant les côtes de la Redoute et du Sart-Tilman
3 : Liège – Thionville (pour sprinters ou baroudeurs)
4 : Thionville – Strasbourg (pour sprinters)
5 : Sélestat – Mulhouse (moyenne montagne : 155 km avec les cols du Bonhomme, du Calvaire, de la Schlucht, du Platzerwasel et le Grand Ballon). Une étape qui doit permettre à un favori ambitieux d’attaquer.
6 : Belfort – Dijon (pour sprinters)
7 : Dijon – Bourg-en-Bresse (pour sprinters)
8 : Bourg-en-Bresse – Evian (final accidenté).
Voilà, pour la première partie : l’idée est qu’il y ait au moins de l’animation tous les 3 jours (départ, Vosges, arrivée accidentée sur Evian), pour à peu près tous les types de coureurs et que la course ne soit pas verrouillée par les équipes de sprinters.
Deuxième partie : les Alpes
9 : Montreux – La Thuile (montagne : 175 km avec les cols des Planches, du Grand Saint-Bernard et le San Carlo). Etape suisso-italienne. L’arrivée est située en descente 8 km après le col du San Carlo. Le col du San Carlo, c’est 10 km à 10% !
10 : Val-Thorens en CLM (37 km)
REPOS
11 : Albertville – Chamrousse (montagne : 150 km avec le cols de Marcieu, du Coq, de Porte et la montée finale sur Chamrousse). Une étape courte après la journée de repos et sans temps mort à partir du col de Marcieu (hormis la traversée de Grenoble).
Troisième partie : la descente vers les Pyrénées
12 : Voiron – Orange (pour sprinters)
13 : Avignon – Sète-Mont-Saint-Clair
14 : Sète – Castres (pour sprinters ou baroudeurs)
Quatrième partie : une longue traversée des Pyrénées...en 2 temps
15 : Revel – Plateau de Beille (montagne : 185 km avec le port de Pailhères et la montée finale sur le Plateau de Beille)
16 : CLM entre Pamiers et Muret de 60-70 km. Un long chrono plat avant 2 terribles étapes de montagne.
REPOS
17 : Muret – Lannemezan (pour sprinters : traversée du Gers, les petits cols ariégeois sont volontairement évités)
18 : Saint-Gaudens – Hautacam (montagne : 200 km avec les cols du Portillon, de Peyresourde, d’Aspin, du Tourmalet et la montée finale sur Hautacam). La grosse étape de montagne de ce Tour.
19 : Lourdes – Saint-Jean-Pied-de-Port (montagne : 200 km avec les cols d’Aubisque, de Marie-Blanque, du Soudet, de Bagargui et de Burdincurutcheta). Une étape qui n’a rien à envier à la précédente, peut-être même plus dure. Les cols du Soudet et de Bargargui valent bien le Tourmalet.
Cinquième partie : la fin
20 : Cambo-les-Bains – Bordeaux (pour sprinters)
21 : Rambouillet – Paris (pour sprinters, malgré la vallée de Chevreuse).
TOTAL :
- 21 étapes (pas de prologue) + 2 jours de repos
- Etapes de plat : 9 (3–4–6–7–12–14–17–20–21)
- Etapes avec un final accidenté : 3 (2–8–13)
- Moyenne montagne : 1 (5)
- Montagne : 5 (9–11–15–18–19)
- CLM : 3 (1–10–16) : 115-125 km, dont 37 en côte
ou des étapes de 300 km
inscrit le 07/11/02
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