chebo (25 nov.) disait:
Gardons-nous de ce type de réflexions à l'emporte pièce.
Personne n'est dans les discussions et je rappelle que Leduc SAS se sont des fonds privés et qu'ils réfléchissent sur le long terme visiblement.
On sait tous ici, au-delà de notre propre attachement et nostalgie que le ski dans les Vosges a peu d'avenir...et regardez le nombre d'acteurs publics pour vous en convaincre qui sont à la barre des domaines skiables sur le massif. A Gérardmer c'est la commune qui paie tout, mais pour combien de temps encore..10-20-30 ans.
Pour les Leduc je comprends qu'ils veuillent en sortir vite pour ne pas plomber leur affaire. Les condamner gratuitement ou faire des insinuations sans fondement, c'est jouer un jeu nauséabond et puérile...et oublier qu'ils ont porter ce projet à bout de bras pendant 3 générations.
Je ne vois pas où est le jugement à l'emporte pièce ou la condamnation.
Si le contrat actuel n'est pas économiquement viable (trop de contraintes d'exploitation par rapport aux produits envisageables) la voie de l'avenant est compliquée. Principe d'égalité des candidats empêchant les modifications substantielles après la signature. Donc pour changer en profondeur les clauses du contrat (typiquement les périodes / plages d'ouverture, les tarifs hors indexation) il faut résilier et relancer une consultation qui donnera lieu à un nouveau contrat pour l'obtention duquel plusieurs candidats auront été en mesure de se positionner. Et ce même si sur ce type de station il n'y aura probablement pas de concurrence. Ca me semble être la stratégie et je ne l'ai pas jugée.
Ensuite sur le chômage partiel c'est une vraie question: si un opérateur économique a fermé avant l'intervention de l'événement lui imposant de fermé ce n'est pas la même chose que s'il a fermé à cause de l'événement. un cinéma qui aurait décidé de fermer le 1er mars 2020 parce que ça ne tournait pas bien n'aurait pas été légitime à demander le chômage partiel au titre de la fermeture imposée le 15 mars.
inscrit le 20/10/05
45K messages