Trouvé sur le net :
"Un chercheur algérien présente une nouvelle théorie
« Le sel marin contrôle le climat de la Terre »
Le professeur Ahmed Boucenna, enseignant et chercheur à l’université Ferhat Abbès de Sétif, jette un pavé dans la mare. Cet éminent universitaire, dont le curriculum est bardé de travaux publiés, remet sur le tapis la question du réchauffement climatique, sujet d’actualité de première importance.
Le réchauffement de la terre est souvent attribué à l’effet de serre dû à une augmentation de la quantité du gaz carbonique (CO2) dans l’atmosphère, liée à l’activité humaine, est remise en cause par la théorie du professeur Boucenna, montrant que ce sont plutôt des oscillations climatiques naturelles qui contribuent le plus aux perturbations que traverse la climat terrestre. Les travaux du professeur, publiés dans l’édition d’avril de l’international Review of Physics, ont fait l’objet d’un grand intérêt des scientifiques américains, russes, ukrainiens, vietnamiens et autres. Le scientifique algérien, qui présente une nouvelle hypothèse au sujet du mécanisme des changements à long terme du climat du monde, déclare en exclusivité à El Watan : « La théorie est basée sur la dépendance entre la profondeur des courants froids des fonds des océans et la salinité des eaux les composant. Plus la salinité de l’eau est élevée, plus sa densité est élevée et plus est profond le courant correspondant », souligne le chercheur qui développe : « Les courants chauds naissent dans les régions chaudes de la planète et viennent adoucir le climat des régions froides, en particulier les pôles. La salinité des régions froides est plus élevée à cause de la quantité optimale de glaciers formés. Ces courants chauds, formés d’eau chaude de moindre densité, se dirigent en surface des régions chaudes vers les régions froides pour les réchauffer. Arrivée en régions froides, l’eau devient plus froide et de densité plus élevée. Elle plonge alors profondément dans les océans, donnant des courants de densité plus élevée, froids et profonds, qui retournent aux régions chaudes pour fermer le circuit. Au fur et mesure que les courants chauds de surface arrivent en région froide, les glaciers fondent, la salinité et la densité des eaux froides diminuent. L’eau froide de densité moins élevée plonge alors moins profondément dans les océans. Les courants froids, de densité moins élevée, se rapprochent progressivement de la surface et interfèrent avec les courants chauds de surface. Les effets des courants chauds sont alors progressivement compensés par les courants froids. Les courants chauds sont progressivement diminués, ralentis, voire arrêtés. La régénérescence des glaciers est à nouveau favorisée. A nouveau, un courant froid de plus en plus profond, s’écarte de plus en plus des courants chauds de surface. L’influence des courants froids sur les courants chauds diminue. Les courants chauds arrivent à nouveau vers les régions froides, relançant à nouveau la fonte des glaciers et ainsi de suite. La profondeur séparant les courants chauds et froids n’est donc pas constante. Elle oscille entre deux valeurs limites suivant la salinité de la région froide qui oscille elle aussi entre deux valeurs limites correspondant à la fonte et la régénération optimales des glaciers. Le cycle de la fonte et de la régénération des glaciers entraîne des variations de la densité des eaux des régions froides des océans en fonction de leur salinité. »
Le mécanisme de changement du climat
Pour le professeur, le cycle entraîne donc des oscillations climatiques qu’il explique : « Ce cycle conduit à penser à un climat oscillant entre deux positions extrêmes : un maximum de températures chaudes et un minimum de températures froides. Cette oscillation se traduit par le passage de la planète par des ères chaudes, des ères douces et des ères froides, entraînant le phénomène des oscillations climatiques des grandes saisons. Ainsi, notre planète vit quatre grandes saisons : un grand hiver, un grand printemps, un grand été et un grand automne constituant une grande année qui viennent envelopper nos quatre petites saisons et notre petite année. Ce phénomène de l’oscillation climatique des grandes saisons est un phénomène naturel, propre à notre planète. Il est dû à la présence des sels dans les eaux des océans. Il peut être accéléré par les effets de l’augmentation de la quantité de gaz carbonique (CO2) dans l’atmosphère liée à la pollution. La période de la circulation thermo haline est estimée approximativement à 1000 ans. On pourrait assimiler la période des oscillations climatiques des grandes saisons à cette période. N’ayant pas toutes les données nécessaires à la détermination exactes de la période de ces oscillations climatiques engendrant les grandes saisons, en se basant uniquement sur des observations historiques la période, elle est estimée approximativement à huit siècles (T = 800 à 1000 ans). La durée d’une grande saison serait de deux à deux siècles et demi (200 à 250 ans). La période des oscillations des grandes saisons climatiques constitue la base du mécanisme des changements à long terme du climat du monde. Les maximums de chaleur ou les points culminants des grands étés seraient situés autour des années 2000 + ou - 800 à 1000) k, où k est un nombre entier : - 5200, - 4400, -3600, -2800, -2000, -1200, -400, 400,1200, 2000, 2800, 3600. Les maximums de froid ou les points culminants des grands hivers seraient situés autour des années 1600 ± (800 à 1000) k, où k est un nombre entier : - 4000, -3200, -2400, -1600, -800, 1, 800,1600, 2400, 3200, 4000, … Le dernier grand hiver se confond avec le mini âge glacial qu’a traversé l’Europe et dont témoignent des écrivains de l’époque et nous traversons actuellement un grand été. Et le chercheur de conclure : « Le sel marin contrôle le climat de la Terre. » Avec cette nouvelle donne du chercheur algérien, le débat concernant le réchauffement climatique reprend de plus belle …
Kamel Beniaiche"
Pour relancer un peu plus le débat ou pour rassurer ceux qui croient que l'homme n'y est pour rien.
"Un chercheur algérien présente une nouvelle théorie
« Le sel marin contrôle le climat de la Terre »
Le professeur Ahmed Boucenna, enseignant et chercheur à l’université Ferhat Abbès de Sétif, jette un pavé dans la mare. Cet éminent universitaire, dont le curriculum est bardé de travaux publiés, remet sur le tapis la question du réchauffement climatique, sujet d’actualité de première importance.
Le réchauffement de la terre est souvent attribué à l’effet de serre dû à une augmentation de la quantité du gaz carbonique (CO2) dans l’atmosphère, liée à l’activité humaine, est remise en cause par la théorie du professeur Boucenna, montrant que ce sont plutôt des oscillations climatiques naturelles qui contribuent le plus aux perturbations que traverse la climat terrestre. Les travaux du professeur, publiés dans l’édition d’avril de l’international Review of Physics, ont fait l’objet d’un grand intérêt des scientifiques américains, russes, ukrainiens, vietnamiens et autres. Le scientifique algérien, qui présente une nouvelle hypothèse au sujet du mécanisme des changements à long terme du climat du monde, déclare en exclusivité à El Watan : « La théorie est basée sur la dépendance entre la profondeur des courants froids des fonds des océans et la salinité des eaux les composant. Plus la salinité de l’eau est élevée, plus sa densité est élevée et plus est profond le courant correspondant », souligne le chercheur qui développe : « Les courants chauds naissent dans les régions chaudes de la planète et viennent adoucir le climat des régions froides, en particulier les pôles. La salinité des régions froides est plus élevée à cause de la quantité optimale de glaciers formés. Ces courants chauds, formés d’eau chaude de moindre densité, se dirigent en surface des régions chaudes vers les régions froides pour les réchauffer. Arrivée en régions froides, l’eau devient plus froide et de densité plus élevée. Elle plonge alors profondément dans les océans, donnant des courants de densité plus élevée, froids et profonds, qui retournent aux régions chaudes pour fermer le circuit. Au fur et mesure que les courants chauds de surface arrivent en région froide, les glaciers fondent, la salinité et la densité des eaux froides diminuent. L’eau froide de densité moins élevée plonge alors moins profondément dans les océans. Les courants froids, de densité moins élevée, se rapprochent progressivement de la surface et interfèrent avec les courants chauds de surface. Les effets des courants chauds sont alors progressivement compensés par les courants froids. Les courants chauds sont progressivement diminués, ralentis, voire arrêtés. La régénérescence des glaciers est à nouveau favorisée. A nouveau, un courant froid de plus en plus profond, s’écarte de plus en plus des courants chauds de surface. L’influence des courants froids sur les courants chauds diminue. Les courants chauds arrivent à nouveau vers les régions froides, relançant à nouveau la fonte des glaciers et ainsi de suite. La profondeur séparant les courants chauds et froids n’est donc pas constante. Elle oscille entre deux valeurs limites suivant la salinité de la région froide qui oscille elle aussi entre deux valeurs limites correspondant à la fonte et la régénération optimales des glaciers. Le cycle de la fonte et de la régénération des glaciers entraîne des variations de la densité des eaux des régions froides des océans en fonction de leur salinité. »
Le mécanisme de changement du climat
Pour le professeur, le cycle entraîne donc des oscillations climatiques qu’il explique : « Ce cycle conduit à penser à un climat oscillant entre deux positions extrêmes : un maximum de températures chaudes et un minimum de températures froides. Cette oscillation se traduit par le passage de la planète par des ères chaudes, des ères douces et des ères froides, entraînant le phénomène des oscillations climatiques des grandes saisons. Ainsi, notre planète vit quatre grandes saisons : un grand hiver, un grand printemps, un grand été et un grand automne constituant une grande année qui viennent envelopper nos quatre petites saisons et notre petite année. Ce phénomène de l’oscillation climatique des grandes saisons est un phénomène naturel, propre à notre planète. Il est dû à la présence des sels dans les eaux des océans. Il peut être accéléré par les effets de l’augmentation de la quantité de gaz carbonique (CO2) dans l’atmosphère liée à la pollution. La période de la circulation thermo haline est estimée approximativement à 1000 ans. On pourrait assimiler la période des oscillations climatiques des grandes saisons à cette période. N’ayant pas toutes les données nécessaires à la détermination exactes de la période de ces oscillations climatiques engendrant les grandes saisons, en se basant uniquement sur des observations historiques la période, elle est estimée approximativement à huit siècles (T = 800 à 1000 ans). La durée d’une grande saison serait de deux à deux siècles et demi (200 à 250 ans). La période des oscillations des grandes saisons climatiques constitue la base du mécanisme des changements à long terme du climat du monde. Les maximums de chaleur ou les points culminants des grands étés seraient situés autour des années 2000 + ou - 800 à 1000) k, où k est un nombre entier : - 5200, - 4400, -3600, -2800, -2000, -1200, -400, 400,1200, 2000, 2800, 3600. Les maximums de froid ou les points culminants des grands hivers seraient situés autour des années 1600 ± (800 à 1000) k, où k est un nombre entier : - 4000, -3200, -2400, -1600, -800, 1, 800,1600, 2400, 3200, 4000, … Le dernier grand hiver se confond avec le mini âge glacial qu’a traversé l’Europe et dont témoignent des écrivains de l’époque et nous traversons actuellement un grand été. Et le chercheur de conclure : « Le sel marin contrôle le climat de la Terre. » Avec cette nouvelle donne du chercheur algérien, le débat concernant le réchauffement climatique reprend de plus belle …
Kamel Beniaiche"
Pour relancer un peu plus le débat ou pour rassurer ceux qui croient que l'homme n'y est pour rien.
inscrit le 26/09/05
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