C'est la grande question de cette fin de printemps ; Comment sera notre été.
Au delà des loupés des prévisions saisonnières de l'hiver dernier, voici quelques éléments de réponse.
J'ai pris comme référence, les 20 dernières années , en effet, il vaut mieux prendre dorénavant comme bases statistiques des années assez proches de nous, aux vues du R.C.
Les grandes sécheresse commencent généralement dès la fin de l'hiver sans connaitre de pause au printemps. 1976 a vue la grande sécheresse arriver dès le mois de février.
Hors cette année nous avons globalement un mois de Mai assez humide et dépressionaire.
Pour s'installer, la sécheresse doit générer de l'air sec et chaud pour favoriser l'établissement de conditions anticycloniques, si les sols sont humides, l'évaporation alimente de petits systèmes dépressionaires favorables aux refroidissement et aux orages.
Ce type de système s'auto-alimente tout comme les sécheresses dans l'autre sens.
Les hiver 90, 98 et autres 2002 ont été très doux et suivit d'un été sans excès de chaleur et souvent humides.
A l'inverse, les été de grandes chaleurs suivent très souvent un hiver assez froid et parfois humide, 2003, 2006, 1991.
L'année 2007 est l'année du minimum solaire.
Les été excessivement chauds et secs ne vont statistiquement jamais par paires hors 2006 a été chaud et sec.
Alors cette fois, je me garde bien de tirer de grandes conclusions (chat échaudé ........ ) mais si vous voulez en imaginez, moi j'ai bien une toute petite idée ......
Au delà des loupés des prévisions saisonnières de l'hiver dernier, voici quelques éléments de réponse.
J'ai pris comme référence, les 20 dernières années , en effet, il vaut mieux prendre dorénavant comme bases statistiques des années assez proches de nous, aux vues du R.C.
Les grandes sécheresse commencent généralement dès la fin de l'hiver sans connaitre de pause au printemps. 1976 a vue la grande sécheresse arriver dès le mois de février.
Hors cette année nous avons globalement un mois de Mai assez humide et dépressionaire.
Pour s'installer, la sécheresse doit générer de l'air sec et chaud pour favoriser l'établissement de conditions anticycloniques, si les sols sont humides, l'évaporation alimente de petits systèmes dépressionaires favorables aux refroidissement et aux orages.
Ce type de système s'auto-alimente tout comme les sécheresses dans l'autre sens.
Les hiver 90, 98 et autres 2002 ont été très doux et suivit d'un été sans excès de chaleur et souvent humides.
A l'inverse, les été de grandes chaleurs suivent très souvent un hiver assez froid et parfois humide, 2003, 2006, 1991.
L'année 2007 est l'année du minimum solaire.
Les été excessivement chauds et secs ne vont statistiquement jamais par paires hors 2006 a été chaud et sec.
Alors cette fois, je me garde bien de tirer de grandes conclusions (chat échaudé ........ ) mais si vous voulez en imaginez, moi j'ai bien une toute petite idée ......
inscrit le 26/09/05
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