Voici une tendance pour la prochaine période glissante de 30 jours c'est-à-dire du 17 janvier au 17 février établie le 12 janvier dernier avec MF
Quoiqu’il en soit, jusqu’à maintenant les prévisions non pas saisonnières mais à moyen terme se sont solder par un échec. Personne n’avait opté pour ce genre de configuration pour ce mois de janvier. Plusieurs experts européens voyaient une vague de froid celle-ci se fait toujours attendre et depuis le début du mois de décembre, la douceur domine largement les situations
Les outils utilisés sont simples et précis. Certains paramètres souvent cités n’ont aucune valeur dans la prévision à long terme , tel est le cas pour l’Indice de l’ONA qui sert seulement à faire un comparatif ou l’indice de l’OA encore mal maîtrisé.
La dynamique de l’anticyclone influent ainsi que le différentiel de pressions sur deux jours qui est modélisé permet une approche intéressante dont la fiabilité reste au jugement du grand public.
Par cette méthode que j’avais utilisé déjà en novembre pour apprécier le temps de ce début d’hiver , le résultat reste mitigé. La douceur prévue était bien au rendez vous mais pas dans cette proportion. Les abondantes précipitations sous forme neigeuse en haute montagne ont été bien plus modestes.
Pour la période de 30 jours qui commencent, la situation s’annonce analogue a celle connue au mois de janvier sur la disposition des champs d’action. La seule différence apparaître sur la position de l’anticyclone en latitude.
Plus concrètement, l’anticyclone pourrait se retrouver au niveau de la Manche, c'est-à-dire à une latitude anormalement haute après avoir camper sur la méditerranée pendant près d’un mois. Cette position pourrait faire barrage à la circulation Atlantique au profit d’un flux le plus souvent continental. Si , très souvent ce dernier est propice au froid sur une longue période, il ne s’agit pas à ce jour d’un pont anticyclonique antre le centre des Açores et celui de Russie toujours autant discret. De plus, étant donné l’absence de réserve d’air froid de l’Ukraine à la Laponie, on ne voit pas vraiment d’où pourrait venir le froid. Aussi j’écarte l’éventualité d’une vague de froid sur une longue période.
Toutefois, les températures seront moins élevées qu’en janvier avec une plus forte amplitude diurne. Une fois encore, les phénomènes de basses couches ne sont pas prévisibles. Et auront de l’importance. Par une tel situation, les Tn pourraient être conformes aux normes et les Tx au dessus.
Les précipitations pourraient être bien en dessous de la normale. Toutefois, il n’est pas impossible que les hautes pressions soient bousculées par un thalweg sur le proche Atlantique occasionnant un flux méridien de sud, avec cette fois un temps épisodiquement perturbé principalement au sud de la Loire.
Autrement dit de manière vulgaire, on pourrait reprendre la même situation en Janvier mais dans le sens inverse avec une activité pluvieuse plus importante sur le sud.
Ceci n’est qu’une situation probable et moyenne sur la période glissante de 30 jours et n’est pas caractéristique de la situation de chacun des 30 jours.
A plus courte échéance, un changement de temps s’opère pour les prochains 6 jours et une épisodique baisse des températures, pour l’activité des précipitations elle reste difficile à cerner nous en connaitrons plus dimanche
Bientôt va naître « ClimatetMétéo » site d’information météo pour l’espace ligérien, l’Auvergne et les Alpes.
Quoiqu’il en soit, jusqu’à maintenant les prévisions non pas saisonnières mais à moyen terme se sont solder par un échec. Personne n’avait opté pour ce genre de configuration pour ce mois de janvier. Plusieurs experts européens voyaient une vague de froid celle-ci se fait toujours attendre et depuis le début du mois de décembre, la douceur domine largement les situations
Les outils utilisés sont simples et précis. Certains paramètres souvent cités n’ont aucune valeur dans la prévision à long terme , tel est le cas pour l’Indice de l’ONA qui sert seulement à faire un comparatif ou l’indice de l’OA encore mal maîtrisé.
La dynamique de l’anticyclone influent ainsi que le différentiel de pressions sur deux jours qui est modélisé permet une approche intéressante dont la fiabilité reste au jugement du grand public.
Par cette méthode que j’avais utilisé déjà en novembre pour apprécier le temps de ce début d’hiver , le résultat reste mitigé. La douceur prévue était bien au rendez vous mais pas dans cette proportion. Les abondantes précipitations sous forme neigeuse en haute montagne ont été bien plus modestes.
Pour la période de 30 jours qui commencent, la situation s’annonce analogue a celle connue au mois de janvier sur la disposition des champs d’action. La seule différence apparaître sur la position de l’anticyclone en latitude.
Plus concrètement, l’anticyclone pourrait se retrouver au niveau de la Manche, c'est-à-dire à une latitude anormalement haute après avoir camper sur la méditerranée pendant près d’un mois. Cette position pourrait faire barrage à la circulation Atlantique au profit d’un flux le plus souvent continental. Si , très souvent ce dernier est propice au froid sur une longue période, il ne s’agit pas à ce jour d’un pont anticyclonique antre le centre des Açores et celui de Russie toujours autant discret. De plus, étant donné l’absence de réserve d’air froid de l’Ukraine à la Laponie, on ne voit pas vraiment d’où pourrait venir le froid. Aussi j’écarte l’éventualité d’une vague de froid sur une longue période.
Toutefois, les températures seront moins élevées qu’en janvier avec une plus forte amplitude diurne. Une fois encore, les phénomènes de basses couches ne sont pas prévisibles. Et auront de l’importance. Par une tel situation, les Tn pourraient être conformes aux normes et les Tx au dessus.
Les précipitations pourraient être bien en dessous de la normale. Toutefois, il n’est pas impossible que les hautes pressions soient bousculées par un thalweg sur le proche Atlantique occasionnant un flux méridien de sud, avec cette fois un temps épisodiquement perturbé principalement au sud de la Loire.
Autrement dit de manière vulgaire, on pourrait reprendre la même situation en Janvier mais dans le sens inverse avec une activité pluvieuse plus importante sur le sud.
Ceci n’est qu’une situation probable et moyenne sur la période glissante de 30 jours et n’est pas caractéristique de la situation de chacun des 30 jours.
A plus courte échéance, un changement de temps s’opère pour les prochains 6 jours et une épisodique baisse des températures, pour l’activité des précipitations elle reste difficile à cerner nous en connaitrons plus dimanche
Bientôt va naître « ClimatetMétéo » site d’information météo pour l’espace ligérien, l’Auvergne et les Alpes.
inscrit le 19/12/05
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