les passages les plus poudreux (en forêt notamment) n'ont pas été immortalisés pour cause de pas le temps et froid aux mimines.
zou.
Mention spéciale pour la deuxième
Vivement la suite
quote:
les passages les plus poudreux (en forêt notamment) n'ont pas été immortalisés pour cause de pas le temps et froid aux mimines
Dites, je peux venir moi aussi ???? Suis tout gentil, je ride bien et j'ai toujours du thé chaud avec moi...
en plus il est trop beau !
Risque 3.
Pour ceux qui sont pas d'accord avec moi, je vais tenter de m'expliquer...
Ces photos sont tres belles, mais avec un cadrage un peu plus réfléchi, elles auraient été merveilleuses, exeptionnelles ! J'vais pas donner toutes les techniques de cadrage en un topic, mais je vous invite tous à acheter un bouquin sur la photographie, qui pourront bcp mieux expliquer cela que moi
Mais félicitation quand meme au photographe, elles sont tres belles, mais je suis certain qu'avec un peu plus d'entrainement de d'apprentissage, les prochaines seront meilleurs
(j'espere ne pas avoir été trop dur, mais je pense que cela peut servir, car si on ne m'avait jamais fais de reflexion sur mes photos, je n'aurais jamais progressé )
C'est bien la le probleme. Le prise de vue en montagne est tres spécifique, sans compter la pente, le froid, le matos que tu as au pied, etc.. Il est peut etre + dur d'appliquer la théorie du cadrage en montagne. C'est pour ca qu'il faut pas etre trop "critique" sur des photos qui sont vraiment pas mal..
sympa aussi la maison du bonheur !
Quelques paramètres que tu aurais du prendre en compte dans ton analyse et qui n'auraient pas du t'échapper en tant que photographe :
il s'agit de photos d'action : le rider est rapide, et de surcroit shooté au 70/200 (transformé en 100/320 sur le D60)
Pour corser, on rajoute une faible lumière (tout à l'ombre).
Ces paramètres rendent une mise au point manuelle précise impossible (sans meme parler des doigts engourdis) donc obligation de laisser faire l'AI Servo. Et avec la disposition et l'efficacité des 3 pauvres capteurs AF d'un D60, je te met au défi de pouvoir composer un cadrage avec un rider qui file dans ces conditions.
Résultat : et oui, le sujet est centré et c'est pas bien.
Y'aurait bien moyen de décaler un chouilla en changeant de collimateur mais c'est anecdotique, pas assez souple de toute façon.
Ca c'était pour la technique photo, ensuite viennent les contraintes environnementales : quand t'es par -20 ° à la sortie d'un couloir, tu vois les choses un peu différement en termes de contraintes de cadrage qu'avec un pied tranquillement installé dans la campagne.
Par -20 à l'ombre, je peux te garantir qu'il ne faut pas long avant que les doigts s'engourdissent... Alors on fait au plus vite, et puis on sait jamais ce qui peut nous tomber sur la gueule...
Toutes proportions gardées, c'est comme si tu reprochais à un photographe de guerre de ne pas avoir suffisamment porté attention à son cadrage en traversant une rue sous un feu nourri...
Tout ceci fait qu'il s'agit de photos de "reportage", pas de photos d'art, j'en suis conscient, ça ne me pose pas de problème.
Il est possible mais extrêmement compliqué de composer des images en Freeride. C'est possible quand on a le temps, les moyens de caler précisément la trajectoire du rider mais pas un jour où il fait -20 et où c'est le rush.
Là, ça se limite à " je me met en bas et vous descendez". De toute façon, sans lumière, on sait déjà que ces photos ne pourront être que du souvenir, alors pas la peine de prendre 10 mn à se caler avec les riders : on a tous autre chose à faire
Tout ça pour dire que ces photos sont sans prétention, juste des témoignages instantanés d'une bonne journée.
et pour que les choses soient claires, je ne remet absolument pas en question le fait que j'ai des progrès à faire en photos, je ne suis qu'un "amateur"...
Les critiques ne me dérangent pas, c'est juste que dans ce cas précis, elles n'étaient pas très pertinentes et témoignaient d'un manque d'analyse.
G.
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