Alors, je vais tenter de répondre à toutes ces questions, sentences définitives et autres nimperies :
Le couloir n'a pas été descendu à vue. Robin la remonté. S'il y a continué c'est qu'il a jugé à chaque instant de sa progression qu'il était résonnable d'y aller. Il l'a skié entièrement, goulotte comprise. A mon sens, Il a fait ça dans les règles de l'art. Bien sûr, il aurait pu avoir un pépin, on est jamais à l'abris. Les charognards se seraient surement empréssés de médire...
Le couloir Swann n'est pas encore une horreur. Y'a bien pire.
Si tu peux m'affirmer que ce jour la c'était vraiment craignos, Robin, lui, m'affirme le contraire... Qui dois-je croire, celui qui était dans le couloir et qui a taté la neige tout du long ou celui qui était seulement "dans le coin"?
Y'en a marre des donneurs de leçon. La plupart du temps (pas toujours) ces gens la ne savent pas de quoi ils parlent... De plus ils ont l'impression d'être les seuls avoir eu des expériences malheureuses en montagne, se targuent d'une conscience supérieure, c'est génial!!!!!
Quant à savoir où se situe les niveaux du raisonnable, du sûr, de l'engagé, de l'inconscience, la certitude avec laquelle vous les situez me laisse pantois.
D'autre part, c'est bizarre, plus d'une centaine de pentes raides dans les Alpes, pas de réaction de ce type. Des guides, gardiens ou autre skieurs expérimentés, plutôt des encouragements ou des conseils. la première dans les pyrénées et c'est l'aggréssion généralisée!
Pour finir, Robin n'est pas du 33, il y est depuis 10 jours ! et d'ailleurs quelle importance. Celui qui a insulté gratuitement ceux du 33 ne se fait vraiment pas honneur. Quelle crédibilité à un tel niveau?
Je suis assez déçu de vos réactions. C'est dommage.
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